Voici le premier extrait écrit par Flora Esperandieu.(aucune reproduction n'est autoriser si l'oeuvre et l'auteur n'apparaissent pas, je vous met quelque ligne et vous laisse découvrir la suite sur le site.
Untitled 4
Assise au pied des vieux immeubles avachis, des cirques idiots et des cinémas borgnes suite à l'éruption des maisons vers l'ancienne cathédrale industrielle je vois autour des artères froides des rues des arbres en sommeil et des usines mortes dans le béton désarmé des trottoirs divaguant, il y a des hommes titubants aux cotés des lampadaires échasses regardant une jeune femme. Une trois quarts blonde à la peau brulante, suite au soleil invincible, au regard terne et mélancolique devant une porte qui, par pénitence sciée, ne lui sourit plus. Elle se questionne face à la voiture de police à la jambe de bois, aux taxis à contre temps et des vélos en arrêt sur image près des terrasses de café en rafale.
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Les Heurts Propices
PuisiC'est ouvrage n'est pas une histoire mais un recueil de poésies, cette année je suis en seconde dans un lycée de Corse, au cours de cette année notre professeur de français, qui était en contact avec un de ces proches amis qui c'est lancé dans la...