La bagarre

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8h30.

Je me lève la boule au ventre, je sais pas se que j'ai mais cette boule ne me quitte pas. Comme si quelque chose aller se passer ou c'est peut-être juste du stresse. Mais depuis le coup de fil de la mafia je ne suis pas bien.

Je me prépare, mange un peut même si j'ai pas faim et je quitte mon loft pour rejoindre ma voiture garer dans la rue un peu plus loin.

Plus je marche, plus cette boule augmente en moi, la seule chose qui m'apaise c'est Laura rien que sa présence arrive à me calmer. Mais ce matin elle n'était pas avec moi elle devait être au lycée tôt ce matin pour préparer les contrôle de sa classe de seconde. Je suis un peu frustrée qu'elle ne soit pas avec moi, que je n'ai pas pus l'embrasser en me réveillent, je deviens complètement accros à cette femme, elle devient comme une drogue pour moi.

Je suis presque arriver à ma voiture j'ai juste à traverser la rue mais je sens une présence derrière moi, je me retourne et vois deux hommes grand musclé habillé de noir et cagoulés, je commence à marché plus vte, à la limite de courir, je me retourne une nouvelle fois ils marchent eux aussi plus rapidement, je commence à courir je sais qu'ils font partie de la mafia italienne je reconnais leurs vêtements leur manière de chasser leur proie.

On s'engage dans une course poursuite mais malheureusement pour moi un mafieux m'attrape par les cheveux et me tire en arrière, j'atterris au sol le souffle couper par la violence du choque, je me relève, je sais que vais devoir me battre pour survivre. Un des hommes le même qui m'avait mise à terre commence à avancer devant moi les points serrés dans une position de boxeur, il a un air menaçant sur le visage je s'en la peur s'emparer de mon corps mais je ne laisse rien paraître. Je n'ai pas peur de mourir mais j'ai peur de laisser mes proches dans toute cette pagaille. L'autre homme reste un peu plus en retrait.

Victoire :  - Vous voulez vraiment vous battre ici alors qu'on pourrait nous voir ?

Mafieux :   - Tu peux te rendre tous simplement sa évitera de nous salir les mains.

Dit-il avec un accent italien.

La colère monte très rapidement en moi. Il faut que je sorte de ce plan foireux mais le seule moyen c'est de les mettre KO et m'enfuir ensuite.

Victoire :  - Plutôt mourir que me rendre à des bâtards.

Mafieux :  - Sale pute de lesbienne.

Il aurait jamais du dire sa.

Victoire :  - Tu diras à ta mère que je suis d'accord pour la baisé comme une chienne, elle avait adoré la première fois.

Un peu violent je vous l'accord mais il l'a cherché.

Il court vers moi et me plaque au sol (un peut comme les rugbymans oui), il me frape à l'arcade et je s'en du liquide coulez sur mon visage, il a du m'ouvrir l'arcade cette abruti. Je lui mets une droite et le pousse pour pouvoir me relever, il tombe à côté de moi, je commence à le ruer de coup, il ne bouge plus je croix qu'il c'est évanouie je me retourne vers l'autre hommes bizarrement il ne bouge pas, il avait toujours sa cagoule sur la tête. Il l'enlève et je vient d'avoir un choque, la personne qui était caché sous cette cagoule m'est très familière je comprends mieux pourquoi il n'avait pas aidé son collègue.

Victoire :  - Salvatore !

Salvatore :   - Salut ma belle - sœur préféré !

Salvatore est le copain de ma sœur. Oui j'ai une sœur qui vie en Italie et qui elle aussi fais partie de la mafia mais je vous parlerai d'elle plus tard. Pour en revenir à Salvatore il est châtain, yeux marron, musclé et il est très belle homme. Il est italien, très gentil, mystérieux et protecteur.

Joueuse et DangereuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant