𝖈𝖍𝖆𝖕𝖎𝖙𝖗𝖊 10 - un nouvel ami

5.4K 319 333
                                    

external point of view

Deku : HONEYY [prononcé « énii » ! On part deux semaines ! Tu vas pas prendre que deux boxer !

Deku criait a travers tout l'appartement de son tuteur contre son petit ami qui, visiblement, n'avait pas le sens de la propreté et de l'hygiène.

Katsuki : on les lavera t'inquiète

Deku : irrécupérable je vous jure..

Quand a lui, sa valise était deja prête :
Deux pantalons au cas où il ferait froid,
Deux pulls larges,
Quatre bermudas,
Deux shorts de bain,
Une dizaine de teeshirt,
Une trousse a pharmacie,
Ses bandages et pommages pour ses cicatrices

Et dans un sac a dos a part, il avait rangé son ordi portable, ses chargeurs et ses écouteurs.

Il etait organisé, LUI.

Deku : oh pire je fais ta valise ça ira plus vite

Katsuki : aide moi plutôt

Le vert sourit.
Il savait que ça demandait un effort surhumain a Katsuki de prononcer le mot « aide ».

Il mit alors dans la valise du blond les mêmes choses que lui, rapidement.

Deku : t'as préparé un sac a cote pour mettre les trucs dont t'aurais le plus besoin dans l'avion ?

Katsuki : ouais ça c'est fait

Deku : bon bah on est prêt pour demain alors !

Le temps avait vite passé et il était aujourd'hui le 13 juillet.
Leur avion decollait demain a 7h.
Ils arriveraient a Naha vers 9h20.

Katsuki s'affala sur le canapé, Aizawa etant parti Dieu seul sait ou et pour combien de temps.

Katsuki : bon maintenant tu ramènes ton joli cul par ici et tu viens m'embrasser

Deku rougit un peu puis ris.

Deku : toujours aussi aimable après un mois de relation à c'que je vois

Ce n'est pas pour autant qu'il ne se deplaca pas pour venir se mettre a califourchon sur son blond, les bras autour de son cou.

Katsuki : c'est comme ça que tu m'aimes

Deku : effectivement

Puis il se pencha et deposa ses lèvres sur celles de son petit ami, souriant contre ces dernières.

Ces moments étaient les plus tendres qu'il n'ait jamais connu et il aurait aimé que ça ne s'arrête jamais.

Le blond passa doucement ses mains dans son dos et le caressa.
Le vert fut un peu réticent qu'il sente ses cicatrices mais le blond fit taire ses doutes.

Katsuki : je me contrefiche de tes cicatrices honey, elles sont belles, elles montrent que tu t'es battu jusqu'au bout, que t'as pas abandonné. Laisse moi te faire du bien maintenant..

Le vert enfoui sa tête dans son cou et se laissa faire.
Le toucher de Katsuki était extra, merveilleux.

Le vert ferma les yeux et entrouvrit la bouche pour laisser tout sons confondus sortir.

ᴊᴜsᴛɪᴄᴇ ᵏᵃᵗˢᵘᵈᵉᵏᵘOù les histoires vivent. Découvrez maintenant