Commande de wendy5990
Les âges ne sont pas respectés mais bref, vous vous en remettez, je pense.Mots : 968
Je m'étais mise en colère récemment auprès de mon merveilleux copain Kang Daniel. J'avais une confiance inouïe en lui mais ces derniers temps, cette confiance s'effriter peu à peu en le voyant sortie avec ses collègues et surtout sa collègue, une très belle femme, un peu plus âgée comme il m'avait confiée les aimer.
Il rentrait toujours vers une heure et j'étais généralement déjà couchée. Il prenait sa douche, se glissait dans le lit, embrassait mes hanches avant de s'endormir.
En clair, le matin était le seul moment que nous pouvions passer ensemble mais il restait sur ton téléphone. J'avais pour habitude de préparer son petit déjeuner en même temps du mien mais aujourd'hui, aucune envie alors je préparai mes propres tartines et les mangeai.
Je sentis le regard surpris de Daniel sur moi, bien qu'un peu agacé tout de même, avant qu'en passant devant lui, il attrape mon poignet.
- Qu'est-ce qu'il t'arrive ? M'avait-il demandée en fronçant les sourcils.
- Je suis vraiment occupée, aujourd'hui, désolée. Tu vas devoir te débrouiller seul.
Pur mensonge mais j'en avais « jusque là ». J'attrapai mes chaussures et un léger manteau avant de sortir pour me rendre au travail. Je saluai mon ami d'enfance qui travaillait avec moi, au bureau, Yoon Jisung, dont la merveilleuse épouse était aussi notre collègue.
Quand il vit mon visage, il éclata de rire avant de frapper mon épaule amicalement mais il n'avait visiblement toujours aucune idée de comment gérer sa force puisque j'avais l'impression qu'il venait de me déboîter l'épaule.
Il me demanda ce qu'il m'arrivait avant de Je ne déclare en soupirant d'un ton sarcastique que je vivais un super relation avec les murs de ma maison le soir parce que mon copain m'abandonnait sans aucun soucis.
Il haussa les sourcils avant de les froncer. Il me demanda si j'avais déjà pleuré et je lui répondis que non, mais que dans l'état psychologique où il m'avait mise, ça n'allait pas tarder.
Il me proposa de sortir un peu, de me détendre et de faire comme lui.
- Et tu sais quoi, rentre encore plus tard. Ça pourrait être marrant.
- Jisung, t'es vraiment un génie.
Ce fut donc ce que je fis tu sortis le soir avec lui et quelques autres collègues que nous connaissions depuis trois/quatre ans. J'envoyai un message à Daniel pour le prévenir que que je rentrerais pas aussi tôt que d'habitude mais que je ne savais pas encore à quelle heure je rentrerais.
Nous nous assîmes à une table extérieure d'un petit restaurant du quartier. L'ambiance était joviale et sympathique, nous avions délaissé nos habitudes de bureau et les discussions professionnelles ennuyeuses pour laisser place à de la rigolade et des sujets parfois plus privés et plus sérieux.
Je semblais redécouvrir Sungwoon. Il avait été à l'école avec nous mais étant de un an moi aîné, je n'avais jamais vraiment fait connaissance avec lui. Il avait marrant, avant un rire ultra communicatif -une horreur pour mes abdos, ma bouche mais un rayon de bonheur pour mon cœur enfin légèrement heureux- et était vraiment vraiment amical. Et strictement amical.
C'était un bar dansant où nous nous amusions jusqu'à trois heures du matin avant de tous plus ou moins nous séparer. Jisung, Sungwoon et moi rentrâmes tous les trois ensemble, et ils me raccompagnaient. « Hors de question qu'une femme qui a bu, même avec modération, rentre seule chez elle à trois heures », il valait mieux ça que des amis qui n'en avaient rien à faire, n'est-ce pas ?
Je questionnai mon ami d'enfance sur sa relation, et apparement, un nouvel habitant ne devrait pas tarder à voir le jour. Cette nouvelle me réveilla plus que je ne l'étais déjà et je sautais dans ses bras, ultra heureuse pour lui.
- Par contre, lui dis-je, que je t'explique un peu, je suis marraine, et c'est un ordre non rejetable.
- Tu étais prévue ainsi, ne t'en fais donc pas.
Enfin arrivée devant chez moi, je saluai les deux garçons avant de rentrer chez moi, déverrouillant la serrure de mes clés. Les lumières étaient encore allumées et la télévision aussi. Sur le canapé, Daniel, réveillé, semblait impatient et m'attendre.
Je m'approchai après avoir enlevé mes chaussures. Il avait une canette de bière d'ouverte et une bouteille vide de soju. Je déposai une main sur son épaule, le faisant sursauter.
En voyant son regard, je me rendis compte que cette sortie des plus agréables était censée être penchée vengeance. Je m'approchai de lui et m'assis à ses côtés sur le canapé. Il ne m'en voudrait pas d'être sortie une fois après le nombre de fois où il l'avait fait, si ?
- Est-ce que tu te sentais aussi vide et inquiète ?
A ses mots, je fronçai les sourcils instantanément. Je penchai ensuite la tête sur le côté, l'incitant à développer sa phrase encore assez mystérieuse.
- Quand je sortais, est-ce que tu étais aussi mal ? À avoir aussi peur que j'aille voir ailleurs ?
J'esquissai un sourire. Je ne voulais pas qu'il ait cette impression mais si il l'avait alors tant mieux, probablement qu'il ne sortirait plus autant sans prévenir. Je me lovai contre lui en ne pouvant réprimer les coins de mes lèvres se soulever davantage encore.
Il entoura ses bras autour de mes hanches puis embrassa gentiment mon cou. Il s'allongea sur le canapé et m'allongea sur lui, me faisant déposer la tête sur son torse large et musclé.
Ses mains jouaient dans les cheveux. J'effleurais sa peau de la palme de mes doigts en chuchotant à son oreille d'un ton taquin que c'était bien fait pour lui. Il échangea quasi instantanément nos places, lui au dessus de moi et il fit glisser ses mains jusqu'à mes hanches, sous mon haut.
- Je ne te laisserai plus jamais seule comme ça, mais promets de ne jamais m'abandonner.
- Promis.
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Wanna One Imagines
RandomJuste un recueil d'Imagines sur le groupe Wanna One qui s'est formé suite à Produce 101 Korea Season 2. Terminé.