Mais cauchemar ont commencé il y a six mois. Ce ne sont que des cauchemars, rien d’autre ! Du moins c’est ce que le type de l’asile de fous me disait. Au début, ce n´était que de simple cauchemar. Puis ils sont devenus plus intenses. Il m’empêchait de dormir. Il faut dire que je n’ai jamais été de ces personnes qui ne réussissent pas á dormir la nuit ou qui prennent des heures á s’endormir. Moi j'ai toujours été la fille qui allait se coucher la première le soir du Nouvel An et qui était capable de s’endormir dans une discothèque avec la musique à fond. Au début cela n’inquiétait pas mes parents. Mais ensuite, j’ai commencé á leur raconter, mais rêve, ce qui s’y passait et ses choses finissait para comment dire s’en avoir l’air complètement barjo… et bien ces choses finissaient d’une manière ou d’une autre par arrivés. Au début je croyais que ce n’était que de simple coïncidence, mais finalement j’ai commencé à douter. Je ne suis pas le genre de fille qui crois á la, comment dit ont, la voyance c’est ça ? Ça me fait vraiment tout bizarre quand je le dis, mais je ne trouve pas vraiment d’autres explications. C’est la meilleure que j’ai trouvée. Au même tant ce n’est pas comme si un médecin, un psy ou un spécialiste quelconque, que moi et mes parents avons visité, avait réussi á m’expliquer ce qui m’arrivait. « C’est ton subconscient qui t’envoie des messages » disaient-ils ou encore « la voyance n’existe pas. Seule existe la science ! » Et même « De la voyance, vous êtes sur ? Non je vous crois ! Avez-vous des antécédents de schizophrénie dans votre famille ? » Sincèrement, moi schizophrène ! Pourquoi ne pas dire que j’ai un alter ego et que pendant la nuit, celui-ci va espionner les gens et ce qui se passe dehors et que, le matin quand je me réveille, je me souviens de tout ce que mon alter ego a fait dans la nuit comme un rêve et c’est pour ça que je crois que j’ai des dons de voyance ! Pourquoi pas tant qu’on y est. On peut inventer n’importe qu’elle théorie. En tout cas les spécialistes que moi et mes parents avons consultés ce sont bien remplis les poche, mais moi je suis toujours á la case départ. Au bout du deuxième moi, donc ça faisait deux mois que je faisais des cauchemars ou des prémonitions, je ne sais toujours pas comment je dois l’appeler, j’ai commencé á avoir comment dire … des flashs en plein milieu de la journée. Du genre je me rappelle, on était en classe et on avait cours de math. On était en train d’apprendre comment réaliser une fonction du second degré. Je me rappelle que j’avais vraiment du mal à apprendre cette matière. Tout d’un coup j’ai commencé à avoir mal à la tête. Au début j’ai cru que c’était les maths, mais après la douleur s’est intensifiée et c’est là que j’ai eu un flash. Comme mes cauchemars sauf que là j’étais réveillé. J’ai commencé à hurler. Tout le monde á eu peur. Ils ont cru que j’étais en train de mourir ! Ils ont tellement eu peur qu’ils ont même appelé l’ambulance. Quand je suis arrivé à l’hôpital, ils m’ont dit que c’était seulement un mal de tête très sévère et que ça devrait passer. Un mal de tête, vraiment !!! Il se fiche de moi ou quoi ! J’ai vraiment cru ma tête aller exploser et s’arracher de mon cou et eux me disent que ce n’était qu’un mal de tête sévère et qu’avec un ou deux Dafalgan ça devrait passez. C’est une blague !!! Après cet incident, les prémonitions (oui je les appelle comme ça maintenant parce que je les avais quand j’étais réveillé) ont continué plus fortes que jamais avec plus de détails. Elle venait á n’importe qu’elle moment de la journée, je n’arrivais pas á les contrôler. Je n’avais plus aussi mal, mais elles continuaient tout aussi dangereuses. Que ce soit ce que j’y voyais ou la peur qu’elles finissent par me tuer ou ne s’arrêtent jamais. Cela a encore plus préoccupé, mais parents. Ils n’avaient plus le choix. Enfin c’est une manière de voir les choses. Envoyer son enfant dans un asile de fou pour guérir ses supposées prémonitions. Je ne suis peut-être pas folle, mais pour les gens de l’asile l’effet était le même. Je n’étais pas considéré comme folle, mais je devais côtoyer les fous, manger la même bouffe dégueulasse qu’eux et j’avais droit au même dosage abrutissant de médicament qu’il donnait à ceux qui étaient vraiment fous. La première nuit. C’était la plus difficile. J’ai beaucoup pleuré. Je détestais cet endroit. Une semaine était passée et je n’en pouvais plus j’envisageais sérieusement de m’enfuir de l’asile. Mais les médicaments qu’on me donnait m’abrutissaient tellement que même si je l’avais voulu je n’aurais jamais réussi à m’enfuir. Jusqu’au jour où j’ai rencontré Véronica…
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Voilà :) Dsl pour les chapitres. Je comprends pas pq il sont pas dans l'ordre.
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Shade Side
ParanormalCette histoire n'est pas une histoire heureuse. Parce que qu'est-ce que une histoire heureuse ? Une histoire ou les "gentilles" gagnent aux "méchants "? Une histoire ou la confiance et l'honnêteté règnent et que rien n'est mensonge ? Mais pouvons-n...