The Maid

CHAPITRE 26

Dans cette rue, la journée commence avec une tasse de café. Certaines la boivent en se rappelant un amant qui a compté pour elles, d'autres la versent dans un thermos en pensant à leur patron à qui elles doivent mentir, d'autres encore en boivent une gorgée en songeant à l'homme dont elles pourraient bien être amoureuses. 

Après que ma mère m'ai appelée, je suis partie à mon appartement pour y déposer ma valise et pour retrouver mon chez moi, il faut vraiment que je réfléchisse à déménager dans un appartement plus grand, l'espace manque de plus en plus.

Durant l'après midi, Harry est partit à la salle de sport du centre ville, j'en ai profité pour visiter Ellen, je l'attend et comme d'habitude, elle est en retard.

Je la vois finalement arriver, un grand sourire s'installe sur son visage parfaitement maquillé.

Sans rien dire elle m'étouffe en me serrant dans ses bras.

-Je suis sûr que tu as plein de choses à me raconter ! dit-elle en insistant sur le mot plein

-Si tu savais.

-Raconte, raconte ! dit-elle avec enthousiasme

Nous nous sommes finalement arrêté dans un café, après que l'on nous ait apporter nos commandes, nous nous installons sur un table en dehors du café.

-Alors ? dit-elle visiblement impatiente

-Par où commencer...

-Le début.

-Ok, et bien je me suis partie vers quatre heures du matin, puis il est venue me chercher.

-C'est pas vrai, c'est adorable ! dit-elle en joignant ses mains

-Après on à pris son jet privée.

Je la regarde et sa bouche forme un 'o'.

-Et puis on est arrivée, on est allée à sa villa, et il y avait la plage juste à côté.

-Et ?

-Un soir il m'a invité au restaurant.

-C'est charmant.

-Un soir je n'arrivais pas à dormir, donc je suis sortie sur la plage et,

-Je sens un gros truc arriver là. dit-elle en souriant

-Il m'a rejoint, et on a discuter, il m'a dit que je lui plaisait.

-Continue. dit-elle ébahie

-Je l'ai en quelque sorte...embrassé. dis-je en m'enfonçant dans ma chaise

-Oh mon dieu ! C'était comment ?

-C'était wow. c'est ce que Harry avait dit juste après

-Victoria, je t'en pris fait attention, tu sais que c'est ton employeur et que c'est interdit.

-Je sais.

-Et si celui là te brise le coeur, je jure que je vais lui crever les yeux avec mes talons. dit-elle sérieusement en levant une jambe

-On n'est pas ensemble, on n'en à même pas discuter, et je ne pense pas qu'il ait les mêmes sentiments envers moi.

-Je pense que si il n'en avait rien à faire de toi il s'en ficherait de se faire pardonner ou non.

-Tu crois ?

-Ouai, il est entouré de gens riches, et c'est toi qui lui plaît, tu devrais en être fière.