The Maid

CHAPITRE 23

L'amour peut faire ressortir le pire chez les gens. Ils peuvent devenir radins, ou agressif, ou tout simplemnt indifférent. Mais au début, quand l'amour n'est encore qu'une promesse, les gens mettent le meilleur d'eux-même sur la table. Oui, la promesse de l'amour peut faire ressortir le meilleur de nous-même... Sauf si nous trouvons que nous manquons un peu d'entraînement. 

Plus que 3 jours, après il faudra repartir à San Francisco, cet endroit m'a fait réfléchir sur moi,  sur ce que je veux, sur mes sentiments, j'en ai beaucoup appris sur moi même.

-Hey ?

Harry est sur l'encadrement de la porte, je ne l'avais pas remarquer, j'étais assise sur mon lit à fixer le murs et à penser.

-Quelque chose ne va pas ?

-Tout va bien c'est juste que, je voulais te voir.

-Pourquoi ?

-Comme ça.

-Tu est flippant.

-Tout comme toi au réveil.

Je prend un coussin et je le jette sur lui. Il le rattrape avant qu'il ne le touche et il vient s'asseoir sur mon lit.

-Je plaisante voyons.

-C'est pas tout mais je dois m'habiller.

Il ne bouge pas.

-Maintenant.

Il se lève et sort.

Quand je suis enfin prête,  je descend en bas et je vais prendre mon petit déjeuner.

-Victoria ?

-Mmm ?

-Je...tu sais à propos d'hier.

J'ai longuement réfléchie sur cela, je pense que le mieux pour nous serais d'arrêter avant que ça n'aille trop loin, mais je craint que nous soyons déjà aller trop loin. Je prends mon courage à deux mains.

-Harry, tu sais j'ai réfléchie à propos de tout ça et je pense que le mieux pour nous serais d'en arrêter là, avant que cela ne va trop loin.

-N'agit pas comme si c'était une mauvaise chose d'être avec moi. dit il

-Bien sûr que c'est une mauvaise chose, il est question de mon travail.

-Ok.

Il se lève et s'en va, il à juste dit Ok. Rien que ça.

***************

Il est sortie sans rien dire, me laissant ici, je prépare le dîner, après l'avoir attendu pendant au moins une heure, je décide de manger sans lui, je ne vais pas m'afamer à cause de lui, il est minuit son plat est froid, j'abandonne, je pars sur ma terrasse, mon petit refuge contre la réalité et les problèmes du quotidien. Je m'endors enfin vers une heure.

***************

Je fus réveiller par un claquement de porte, et des talons qui claquent bruyamment sur l'escalier en marbre blanc, j'entends des rires féminin suivie par un claquement de porte, je sais ce qui va suivre donc je met mon oreiller sur ma tête, plus j'entends ces gémissement plus mon coeur se serre, je l'ai cru, comment ai je put être si stupide, ma vue devient floue, non, non ce n'est pas le moment de pleurer, par pour lui, il ne mérite pas mes larmes, il fait ça seulement dans le but de m'énerver où peut être pour me blesser.

Je l'ai attendu dans l'espoir qu'il revienne et que l'on dîne ensemble, alors que pendant tous ce temps, lui il m'avait déjà rayer de sa ligne de mire.