Les perles de pluie scintillent sur le sol argenté.
Qu'auréole de splendeur ce bel astre enchanté.
Horizon qui ne craignait celui de la mort,
Si sûr de sa majesté et sans voir ses torts.Pourtant la fin approche, au passage des éons.
Sa lumière décline et son corps doré s'éteint.
Le noir entour le blanc, et l'ébène cercle l'étain.
Bientôt arrive l'heure des vieilles civilisations.Que sa mort plongera dans l'éternel chaos.
Et son beau miroir agonisera alors,
Cette Terre dont il ne sera plus que le bourreau.
Dans laquelle il ne pourra voir son renouveau.