8 : Frison

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Le sol est dur et humide. Je me relève péniblement, mon corps est engourdis par le froid.

-Elfie est à l'intérieur. 

Je sursaute et me retourne : le garçon à la veste en cuir de la photo !

-Sa...salut ! je murmure. 

Il soupire et me conduit dans une immense maison au briques blanches. 

A l'intérieur, Elfie demande a me voire en tête à tête.

-Il c'est passé quoi ? je lui demande, tandis qu'elle referme la porte.

-Je nous ais emmenés dans une photo de mon album, Mike est un ami, je pense qu'il accepterait de nous aider...il faut juste trouver le bon moment pour lui proposer. 

-T'inquiète, j'ai une idée... 


La nuit  est fraiche, nous sortons de la salle de fêtes où nous avons assisté à un spectacle et le jour à cédé sa place à la nuit. Je ne me suis toujours pas habituée au voyage entre photos. 

-Au faite Mike,demande innocemment Elfie. Tu te rappelles surement des...Criminals ? 

-Ouais pourquoi ? 

-Ho rien rien...  

Non continuons de nous balader un peu. Je frissonne, j'ai l'impression d'être suivis. Je me retourne doucement : rien, évidement...

Nous arrivons sur une route de campagne à l'orée d'un bois. Je n'aime pas du tout me balader en pleine nuit, j'ai l'impression de voir des ombres fantomatique sortir de n'importe où.

Un vague cri retentit, brisant alors le silence glaçant de la nuit. Nous sursautons et nous nous retournons : des hommes dont le visage est caché par un capuchon nous encerclent. 

Je panique, et serre très fort la main d'Elfie. Celle-ci me lance un regard ferme. 

Elle me lâche la main, d'un regard entendus avec Mike elle fonce droit sur un des hommes et lui balance un coup de poing. L'homme s'écroule sur le sol dans un gémissement, inerte.

Je recule, surprise. Quand à Mike, un homme se jette sur lui, Mike l'esquive et, d'un geste habile et précis, lui donne un coup dans le dos. L'hommes s'écrase par terre sans bouger. Je m'écarte. Elfie et Mike font tomber par terre les hommes un à un. Malgré tout, leur nombre ne sasse d'augmenter. Un des hommes s'écroule devant moi, j'ai à peine le temps de remarquer ses yeux sous sa capuche : des yeux de serpent. Je recule à nouveau et pousse cris. 

Je m'enfuis en courant à l'idée qu'un de ses hommes masqué sois en faite ma mère. 

Sans un regard en arrière, je cours à en perde haleine, m'enfonçant un peu plus dans le bois. 

Je m'arrête quelques secondes, histoire de souffler un peu, mais un craquement me fais reprendre ma garde : des hommes m'ont suivit ! Ils en sort de partout, impossible de m'échapper ! Je me recroqueville dans mon coin. Ils se rapproches de plus en plus, soudain un des homme derrière moi m'attrape fermement le poignet. Mes pensés s'embrouille, un brouillard opaque m'enveloppe et je m'écroule sur le sol.





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