J'avais de plus en plus mal à la tête , les cachets n'arrangeaient rien. Alors , je m’étais recoucher , emmitouflant mon visage dans ton oreiller. Le doux parfum que tu decrivais comme « un champs d’oranges» m'apaisait.
« Je n'aime que toi. »
« Je n'ai pas toucher cette personne. »
« Et je ne suis sûrement pas un pervers. »
Sans attendre de réponse, je cliquais sur l'onglet appel. Ta messagerie me répondait encore. Mais cela n’egalerait jamais un véritable contacte.
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Passionnel |TaeKook|
Hayran KurguParfois , on ne se rend compte de rien. Parfois , cela nous est fatal.