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Lundi 14 février 2000


Et nous y voila, j'ai l'impression de retourner des années en arrière, le jour où je suis tombé sous son charmes et que depuis je ne peux me détacher d'elle. Je soupire avant de m'approcher doucement. Elle est si belle dans cet ensemble rouge en dentelle. Il ne couvre que très peu sa peau pâle. Pour l'occasion elle porte des portes jarretelles qui la rendent horriblement sexy. Mon caleçon est tendu au maximum, la chaleur de la pièce est insoutenable. L'excitation peut se sentir entre nous, nous ne sommes pourtant pas coller l'un a l'autre mais nos corps se désirent.

Je fais un pas en douceur, elle est impatiente devant moi, elle n'en peu plus. Je lâche un petit rire, elle fronce les sourcils avant de me plaquer sur le lit. Je le savais elle ne pourrait pas résister longtemps. Elle me regarde dans les yeux, les lèvres tremblante, sa poitrine se gonfle faisant déborder sa chair de son soutient gorge. Mon dieu je vais déchirer mon caleçon si ça continu ainsi. Je passa mes mains avec douceur sur son corps, elle me regarde dans les yeux. Je le sais ce soir elle ne veut pas de douceur, je la fais languir un maximum, je veux qu'elle attende pour se délivrer. Elle pose ses doigts sur mon menton, elle est tellement irrésistible, je n'arrive presque plus à me contrôler.

Ma femme se penche posant ses lèvres sur mon oreille, son souffle chaud parcours mon corps.

-"Si tu ne me fais pas l'amour maintenant je te mord !"

Son accent me fais trembler à chaque mots. Je serre ses hanches avant de la faire basculer sous moi, je n'y arrive plus elle est bien trop excitée et moi aussi pour attendre plus longtemps. J'enlève son soutient gorge libérant sa poitrine bien trop serrée. Mes doigts ne s'attarde pas sur ses seins, je trace une ligne sur son ventre avant de passer mes doigts sur son bout de tissu rouge. Je l'étire avant de le faire claquer sur la peau, elle échappe un râle de plaisir. Elle est au maximum de son attente, je lui souri malicieusement avant de retirer son tanga et ses bats. Lucy est là, elle s'offre à moi. Je ne prend pas longtemps avant d'enlever mon caleçon laissant enfin mon sexe se dresser fièrement. Elle se lèche les lèvres, elle sait que j'aime quand elle le fait.

Je me penche doucement en embrassant son cou l'aspirant légèrement pendant que je rentre en elle d'un coup. Elle relâche la tête en arrière, elle ne tiendra plus longtemps, je le sais. Je commence à bouger rapidement, elle s'accorde à mes hanches. Elle pose ses ongles sur mon dos en me griffant, j'aime quand elle sauvage. Elle gémit à chaque coup de bassin que je lui administre, ses joues sont rouges, son intimité aussi. Quelques coups de hanches en plus, elle crie mon nom sans retenu le dos cambré, je me vide en elle en râlant de plaisir. Je la regarde le souffle court, elle est divine, les cheveux collé au visage, la bouche entre ouverte, sa poitrine se soulève à chaque respiration essayant de reprendre son souffle. Je me penche pour l'embrasser avec sensualité, ces moments de tendresses sont si agréable. J'aime être seule avec elle. Je me retire d'elle avec douceur avant de m'allonger à ses côtés. Elle me regarde dans les yeux en souriant.

-"Je ne me lasserais jamais de ton corps.

-Qui pourrait s'en lasser ?"

Lucy se mit à rire. Je l'embrasse sur la joue avant de me diriger vers la salle de bain et de rentrer dans la douche, elle me suit se collant à mon dos pour l'embrasser passant ses mains sur mon torse. Elle dessine de ses doigts les marques qu'elle ma laissée. Je soupire de bonheur, ces petits moments unique resteront à jamais dans notre mémoire.


Mardi 8 août 2000


Lucy est là devant moi, elle est divine, son chemisier blanc lui va à ravir son jean moule parfaitement son fessier sans être indécent et ses talons rendent le côté classe à sa tenue. Elle marche, faisant les cents pas tous en faisant claquer ses talons sur le sol titubant ses doigts le regard vers le sol. Je suis assis en la regardant, elle tremble, elle stresse, elle à peur. Je le sais à ce moment la seule chose qui pourrait la calmer son ses enfants, il n'y qu'eux qui arrive à la calmer. Même moi je ne peux avoir ce pouvoir sur elle. Je vais quand même tenter. Je me lève m'avance vers elle arrêtant ses pas et la prend dans mes bras. Elle regarde la porte avant de poser son regard dans les miens. Je lui embrasse la joue en souriant.

-"Tu as été divine, je suis fière de toi"

Elle baisse ses yeux sur le tas de feuille posé sur le lit, son livre celui que j'ai lu une dizaine de fois, un livre parfait dans tous les sens du terme. Elle se colle à moi le plus possible un grand sourire au lèvre. Oui, enfin elle a réussi, son livre va être publié dans un mois. Ca fais des mois qu'elle essaye, et enfin elle a réussi a avoir gains de cause. Elle se détache en attrapant son sac à mains, son sourire ne disparaîtra pas toute suite et ce n'est pas pour me déplaire. Elle inspire un grand coup avant de rentrer dans la pièce, elle va enfin pouvoir choisir la couverture de son livre. Je la suis, nous allons passer des heures dans cette pièce, j'adore être avec elle, l'aider, lui donner de l'espoir pour qu'elle réussisse. Je ne suis pas peu fière de moi. C'est moi qui lui ai donné l'envie de le publier, de l'aider et de lui faire aimer sa propre oeuvre.

Il est 22 heures, enfin nous sortons. Je marche avec elle main dans la main vers notre chez nous. Nos enfants doivent nous attendre et même si ils dorment j'irai les voir. Je suis tellement fière de nous, nous avons tout pour nous plaire et j'ai envie de continuer ainsi. Je me tourne vers elle avant d'ouvrir la porte. Aucun bruit, la baby-sitter nous adresse un sourire. Je sors des billets de ma poche pour lui donner avant qu'elle parte en souriant. Lucy ne perd pas de temps, nous n'avons pas manger pourtant mais elle pense avant tout à ses enfants. Elle rentre dans la chambre de Kasai, il est allongé ses yeux sont fermé, il dort paisiblement. Il est si, beau, mais il a grandi, trop vite à mon goût. Je me tourne vers Lucy, son sourire aux lèvres elle embrasse le front de notre fils avant de se diriger dans la chambre de Nashi. Elle a bientôt quatre an, elle est déjà tellement grande, trop à mon goût je ne veux pas qu'elle soit trop... j'ai peur, peur qu'elle aime quelqu'un, qu'elle s'éloigne de moi, je suis son père après tout. Je soupire avant de me pencher et d'embrasser ma fille en caressant ses cheveux, aussi doux que ceux de sa mère. Je me tourne vers elle, elle caresse mon dos en souriant. Elle me comprend, elle a les même crainte que moi.





🌻Et voilà un new chapitres ^^. Bon si je calcule bien il me reste deux chapitres (sauf si j'ai encore beaucoup d'inspiration et qu'il en reste trois). J'espère que ça vous a plus j'ai pris trop de temps à trouver la fin de ce chapitre, j'ai beaucoup hésité sur comment l'écrire. Merci de toujours lire, je sais pas, sans vous tous ça ne seras pas aussi magique alors un énorme merci.🌻🍆🌻

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