NDA: Ceci est un chapitre « transitif », il n'est pas incroyablement intéressant mais il est tout de même nécessaire à l'histoire !
🛑 Attention il faut être vigilant lors de votre lecture parce que, qui sait, peut-être aurais-je laissé des indices concernant la fin de l'histoire ? (:Donghyuck
Je me cache encore une fois entre deux murs, tentant misérablement d'échapper aux mains des policiers qui me connaissent par cœur désormais.
Dissimulé sous la casquette de Minhyung je tente de m'enfoncer un peu mieux dans l'allée que je viens de trouver.Et je pourrais m'amuser.
Mais aujourd'hui je n'ai pas mon allié.
La météo se lamente déjà depuis un mois sur la ville et cela fait également une semaine qu'ils ont tous disparus.
Alors je me retrouve seul à errer après minuit passé comme le somnambule que j'ai toujours été.Et je pourrais m'en contenter.
Si je n'avais pas l'impression que mon cœur était en train de geler.
La solitude me porte compagnie car ils sont tous partis, Jisung le premier puis les autres ont suivi.
Je me surprends à penser que la vie est absurde sans amis, sans connaissances et sans famille.Alors en cet instant je dois être la figure même de l'absurdité.
Je marche et rampe en repensant au passé pour finalement me rappeler de ses nombreux baisers. Je me rappelle de ses lèvres tremblantes contre les miennes et de son cœur menaçant de sortir de sa poitrine alors que finalement, c'est son rire qui s'échappait le premier.
Son rire si apaisant lors des douze coups de minuit.
Son rire qui me servait de parapluie lorsque le temps pleurait au-dessus de nous en pleine nuit.
Mais je me rappelle surtout de son regard, son regard lumineux et plein de vie.
Ses pupilles qui ne brillaient que pour moi et non pour autrui.Où es-tu Minhyung ?
Reviens-moi je t'en supplie.Il y a encore une averse aujourd'hui. La pluie est omniprésente et il pleut également dans mon cœur meurtri. Il couine sous la création du ciel et de ses grosses larmes naissantes.
Le vent semble soudainement s'accorder avec mes pas, un accord muet scellé entre nous me permet d'avancer.
Mais pour aller où ?
Je me retrouve encore dans les ténèbres les plus convoités par les mal-aimés et le temps d'un instant j'ai l'impression d'en être le prisonnier.
Les voitures grondent au loin, leurs sons se confondent et habitent mes oreilles au bord de la mort. Elles créent un embarras particulier.
La ville est si triste.
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You're My Fear [MARKHYUCK] [CHENSUNG] [NOMIN]
FanfictionSes lèvres avaient le goût du sang. Markhyuck Son toucher me brûlait, me détruisait et me divisait au nombre de cent. Chensung Son odeur de cannelle me rendait fou, je ne pouvais plus vivre sans. Nomin . . .ɯɐǝɹp ʇɔu. . . Chapitres pas très lon...