sᴛᴏʀɪᴀ ᴅᴇ ᴀᴍᴏʀ | LUCAS HERNANDEZ ✓

capítulo once.

Storia de amor
capítulo once.
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Tres semanas antes.

Lucas s'entraînait avec l'équipe, le sourire aux lèvres, avant de commencer ses échauffements il avait vu Adèle dans les gradins du camp d'entraînement. Cela faisait longtemps qu'elle n'était pas venu, elle avait repris des couleurs, du poids et son sourire plus qu'angélique ne la quittait plus. Elle avait repris du poil de la bête. Cela faisait maintenant trois jours qu'elle ne prenait plus ses anti-dépresseurs, le lendemain de l'arrêt, elle avait ressentit les effets du manque mais cela était passé quand Lucas avait posé ses lèvres sur les siennes. Elle avait l'impression de vivre un rêve éveillé. Mais malgré tout cela, elle savait que sa dépression la rongeait toujours de l'intérieur. Elle n'osait dire ses doutes à Lucas, alors quand l'entraînement fut terminé elle se dirigea vers le vestiaire, il fallait qu'elle parle avec quelqu'un et elle savait parfaitement avec qui en discuter. Quand Saúl sortit du vestiaire elle l'intercepta. Il lui sourit chaleureusement.

_Tu vas bien Ad' ?

_Je voulais te parler de quelque chose.

_Vas-y je t'écoute.

_Et bien voilà, y'a deux semaines, je crois, j'ai fais une tentative de suicide, je sais pas si Lucas t'en a parler.

Le joueur opina la tête en signe de réponse, Bien sûr que Lucas lui en avait parlé, il avait d'abord était abasourdi puis l'espagnol lui avait dit d'être aux petits soins pour elle les quelques jours suivants.

_Je suis retournée voir le docteur. Il m'a juste dit que ma dépression était du à un problème ou beaucoup d'angoisse ou de stress.

_T'as peur qu'il parte n'est-ce pas ?

Saúl semblait lire dans les pensées d'Adèle.

_J'ai peur qu'il parte si je lui dit.

_Il ne partira pas, il t'aime trop pour cela. Dit lui. Vraiment Adèle, dit lui.

Elle hocha la tête et le remercia. Il la prit dans ses bras lui disant qu'il était là pour elle dès qu'elle avait un problème ou toute autre situation. Puis Lucas arriva et embrassa amoureusement Adèle. Il la prit sur son dos et le couple se dirigea vers la voiture du joueur, la jeune femme étant venu en bus. Les deux parlèrent et Adèle oublié de parler de ses problèmes à son petit-ami. Elle profitait juste de moment présent, sans vraiment se soucier de ce qui pourrait se passer. Mais une boule de stress régnait en elle, lui bloquant quelques fois la respiration. Il fallait qu'elle lui dise, que ses piques de dépression étaient revenus la hanter. Il fallait qu'elle lui raconte ses angoisses, ses démons, ses cauchemars.

Mais tout ce qu'elle trouvait à dire c'était : pas maintenant. Il est heureux alors pas maintenant.

corrigé.