sᴛᴏʀɪᴀ ᴅᴇ ᴀᴍᴏʀ | LUCAS HERNANDEZ ✓

capítulo diecinueve.

Storia de amor
capítulo diecinueve.
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El día del suicido.

Le corps d'Adèle était couché sur le sol, le sang s'échappait de son corps, salissant le carrelage. La vie s'était échappé de son corps. Derrière elle, elle venait de laisser son amant, sa vie, ses amis, sa famille dans un deuil et une tristesse sans fin. La belle n'était plus rien, un trou sanglant dans sa tempe gâché son si joli visage. Les pompiers et les gendarmes ne devrait plus tarder, appelés par les voisins, ayant entendu la détonation. Une lettre était posée sur la table, tâchée de larmes. Elle était noire, une écriture féminine dessus remplissait le recto et le verso de la feuille.

_Nom de la victime ?

_Adèle Santíag, vingt et un ans.

_Cause du décès ?

_La balle s'est logée directement dans la boîte crânienne, aucune chance de survie au vue de l'angle de tir. C'est un suicide.

_Je vais prévenir la famille.

Le commissaire appela directement la mère d'Adèle. A travers le téléphone il entendit la femme s'effondrer en larmes. Elle le prévient d'appeler le petit-ami de sa fille, Lucas.

_Allô ?

_Monsieur Hernández ?

_Oui.

_Commissaire Agüeiro à l'appareil.

_Quelque chose de grave c'est passé ?

La voix du jeune homme était couverte d'inquiétude.

_Je suis désolé monsieur Hernández. Mademoiselle Adèle Santíag s'est donné la mort ce matin dans son appartement. Toute mes condoléances.

Et pour la seconde fois, la personne au téléphone s'effondra. Un cauchemar pour la famille venait de débuter. Alessandra fut elle aussi mise au courant. Les pompiers recouvrirent le corps de la jeune femme et l'emmenèrent avec eux.

*

Lucas venait d'arriver au commissariat espagnol. Il se présenta et fut directement prit en charge par le commissaire en charge de cette affaire. Ce dernier le fit installé dans son bureau.

_Monsieur Hernández. Toute mes condoléances.

_Merci.

_J'aurai deux trois petite question à vous poser. Savez pourquoi mademoiselle Santíag à fait ce geste ?

_Non. Hier elle allait pourtant bien.

Le cœur du défenseur se serrer quand il repensait à la veille. Il avait fait l'amour avec Adèle, ils avaient beaucoup parlé, ils s'étaient dit leur dernier je t'aime. Comment avait-elle pu faire ça ?

_Avait-elle des problèmes ?

_Non, Adèle était fleuriste elle n'avait aucun problèmes, elle travaillait avec une de ses amies quelques fois. Puis elle était très proche de sa sœur et de sa mère.

_Et son père ?

_Son père est mort il y a quelques années déjà.

_Merci monsieur Hernández. Bon courage.

Lucas serra la main de l'agent et sortit du poste de police. Adèle lui manquait déjà, le voilà seul dorénavant.

*
Avant dernier chap :(((( (absolument pas relu oops)

corrigé.