AU PAYS DES TITAZAKPI

Merde

Le lendemain matin, je me suis réveillé avec une gueule de bois comme si j'avais bu la veille. Ce jour là, c'était comme si je ne me reconnaissais plus. Je me douchai, j'embrassai Soya et je lui dis:" On quitte Cid aujourd'hui. Mon entreprise me manque". Elle s'étonna. Puis elle se rend dans la chambre de MONTI pour lui dire que j'avais décidé de partir pour « Au Delà des Merveilles ». Elles ne comprenaient pas pourquoi j'ai pris subitement cette décision. A vraie dire, moi-même je ne savais pas pourquoi je l'avais fais. On se dit au revoir. Je dis à MONTI et à sa fille de ne pas s'inquiéter et que je reviendrai leur rendre visite un jour. La route n'a pas été longue et nous avions passé le temps dans l'avion à parler de tout et de rien.

Après 5 heures de vol, nous étions arrivés chez nous. M. CALIN et sa femme nous attendaient. Après avoir discuté de long et en large dans la voiture, nous étions arrivés à la maison à 11h00'. Dès que j'ai mis pied dans notre chambre avec Soya, on a soudain tous eu envie de faire l'amour. C'était comme si on l'avait jamais fait. Pourtant j'avais une folle envie de le faire. Je la désirais comme jamais et elle me voulait aussi comme jamais. A nous voir, on pourrait dire que c'est ce jour que je la voyais pour la toute première fois. Mon cœur battait et elle tremblait. Ces signes qui étaient pourtant ceux ressentis par des amateurs dans le sexe nous consumaient comme des adolescents qui n'avaient jamais fait l'amour.

MOI : « Soya ça va ? »

ELLE : « Oui nickel. Et toi ? J'entends ton cœur battre rapidement. Tu vas bien ? »

MOI : « Oui je vais bien, mais j'ai comme l'impression de te vouloir, de te toucher tendrement, t'embrasser, te caresser et faire l'amour avec toi. »

ELLE : « Bizarre, nespa ? J'ai la même sensation depuis qu'on a mis pied dans notre chambre »

Pendant le temps que nous passâmes à discuter, on s'approchait peu à eu l'un de l'autre. J'ai rivé ms yeux sur les siens. Je me suis approché plus près et je sentais toujours mon cœur qui battait à 100 à l'heure. Une situation plutôt bizarre puisque j'avais un rendez-vous très urgent au boulot avec un partenaire qui n'aime pas qu'on le fasse attendre. Je pris sa main et je la posai sur ma poitrine et tout de suite elle s'est jetée sur moi comme TER STEGEN sur une frappe de Di Maria. On s'est embrassé pendant des heures. J'avais ma langue qui se promenait partout dans sa bouche et elle savourait ce moment avec la sienne qui touchait la mienne pleine de salive. Mes doigts caressaient tout doucement son corps de haut en bas, de gauche à droite etc. Elle aimait ça et cela ne la gênait pas de me le faire savoir avec des mots tendrement formulés. J'ai enlevé son haut et il ne restait que le soutien gorge. Elle fit la même chose. Elle desserre ma ceinture, plonge sa main dans mon pantalon, prend dans sa paume si fraiche et douce mon « Baba » et le caresse confortablement comme un artiste des pots en argiles. Pendant ce temps, j'enlevai son soutien gorge et plonge ses têtons dans ma bouche. Elle me poussa sur le lit soulève sa jupe et enlève son slip. En ce moment moi j'étais observateur couché et attendant que les choses se passent aussi doucement possible. Elle descend mon pantalon et elle s'est mise à me caresser. Elle plonge mon « Baba » dans sa bouche et me fait voir de toutes les couleurs. Elle me suçait comme jamais. Après cela, elle grimpe sur mes cuisses et fait pénétrer mon « Baba » dans sa « City ».

C'était intense, doux, savoureux et c'était le coup le plus long de toute ma vie. Elle allait et revenait tout doucement sur mes cuisses et je la tenais par la hanche afin de renforcer la cadence. ELLE : « Dis moi ce que tu veux Hakeem »

MOI : « Je veux que tu me fasses l'amour comme jamais. »

Elle accélère et ralentie et répétait ce mouvement. Je repris les reines et cette fois ci, c'était elle qui regardait le plafond. Je la pénétrais tout doucement et avec beaucoup de tact afin de la mettre hors d'elle-même. J'allais et je revenais avec beaucoup de finesse et de tendresse avec ses têtons toujours dans ma bouche. Elle avait jouit plus de dix (10) fois et c'était à mon tour de jouir.

MOI : « Huun...Ayiyoo.Ayaaa waouh »

ELLE : « Hahahahah »

MOI : « Sérieux, t'as le temps de rire toi ? »

ELLE : « Humm, cela me dépasse vraiment. T'es une machine à baiser toi. J'ai aimé. »

MOI : « Ah bon ? J'en suis ravi. T'es une flèche. Et tu m'as eu à tous les coups »

On se reposait enfin sur le lit quand soudain mon téléphone se mit à vibrer. Je le pris et c'est là que je me rends compte que j'ai eu plus de 250 messages de DRAZE au boulot. Bizarre parce que je n'avais pas entendu cela depuis. Bon cela n'a rien de bizarre. J'étais super occupé. Il est temps de revenir sur terre car j'avais une entreprise à diriger.

Je me suis vite lavé et je me rendis très rapidement au boulot vers 14h. Soya était toujours entrain de dormir. Arrivé, on m'a réservé un accueil chaleureux. Le personnel s'était mis à m'applaudir et à me souhaiter une bonne arrivée. J'avais chaud au cœur. DRAZE me fait savoir en même temps que le partenaire avec lequel j'avais à conclure un gros contrat m'avait attendu fatigué et qu'il était parti. J'étais déçu car cela n'avait pas été facile d'obtenir un rendez-vous avec lui. J'avais donc commencé à réfléchir sur une nouvelle façon de le convaincre à obtenir un meeting. Je l'appelai donc....

MOI : Bonjour monsieur « CHOC ». Comment vous allez. Excusez moi, mon avion n'avait pas vite atterrit. Et j'avais certains documents à vérifier avant de vous voir. C'est pourquoi vous m'avez manqué tout à l'heure au bureau. J'espère sincèrement que vous serez dispo à m'accorder une autre réunion ?

M. CHOC : Oui ; vous m'avez fait attendre. Alors que vous savez que je n'aime pas ça. Je suis désolé mais j'ai proposé le contrat à « SAHIRI » et ce dernier à accepter les termes donc dorénavant vous pouvez aller vous faire voir ailleurs.

Et il m'avait raccroché au nez. Je ne comprenais rien. En passant, sachez que pendant mon temps passé à Cid, un concurrent du nom de SAHIRI avait reçu à s'implanter. On peut dire que DRAZE était doué avec les ordinateurs mais il n'avait pas les aptitudes d'un chef d'entreprise donc il avait commis quelques erreurs. Cela pouvait s'arranger mais je n'avais pas le temps pour ça. Après cet entretien sans réussite je rentrai à la maison.