Merveilleux à Cid pour MONTI

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J'étais devenu un autre homme. Plus fort et plus déterminé à réaliser mes objectifs. Je sentais en moi une force qui avait renforcé mes capacités intellectuelles d'analyses et de discernement. Cela ne fit point une quelconque inquiétude à toute la famille. Personne n'était au courant à part les personnes qui étaient présentes dans la pièce. Je me demandais ce que j'allais faire avec toutes ces nouvelles capacités.

Une nuit, Soya, Moya, DRAZE et moi avions décidé de sortir manger un truc au restaurant. Arrivés à l'entré, il y'avait une voiture de luxe garée. Nous étions rentrés prendre place. Nous avions été servis et je cherchais à voir la personne à qui cette voiture appartenait. Je ne savais pas pourquoi cela me préoccupait mais je voulais quand même la voir cette personne. DRAZE était préoccupé à faire rire les filles et moi je regardais la sortie afin de ne pas rater cette personne. Après quelques temps, je vus quatre(4) garde-corps bien habillés qui marchaient en regardant partout et qui me cachaient de pouvoir voir le visage de la personne qu'ils protégeaient. Ils se déplaçaient vers la sortie. Du coût, ils s'arrêtèrent et prirent la direction de notre table. Il y'avait deux gardes devant et les deux autres derrière. C'était là que je vus qu'il s'agissait d'une fille ou d'une femme. Arrivés, les gardes de devant s'écartèrent et je vus enfin le visage de la femme. Devinez, il s'agissait de MONTI. Enfin je ne savais pas trop, mais c'était son visage. Elle nous salua et nous demanda s'il s'agissait de la famille de Monsieur CALIN. Nous lui répondîmes. Elle nous demanda si elle pouvait voir Hakeem. Qu'elle venait de loin pour le voir. Que c'était très important. Moya qui ne pouvait pas se taire lui dit : « Madame, vous êtes bien tombés, voilà Hakeem et sa femme Soya ». La femme dit « Ah bon ? C'est vous Hakeem de Hakeem IDEAS ? ». Pendant tout ce temps je ne disais rien, je n'arrivais pas à comprendre comment MONTI n'arrivait pas à me reconnaître, enfin si c'était vraiment elle. Je lui répondis « Oui Madame, c'est moi ». Elle nous disait de ne pas l'appeler une dame. Qu'elle n'est qu'une jeune fille de 25 ans et qu'elle n'était pas encore mariée.

Elle demanda à me voir en privé. Soya n'était pas d'accord, certainement une crise de jalousie mais moi-même, je voulais qu'elle nous dise sur place ce qu'elle voulait de moi. Elle dit alors : « Je m'appelle Béa. Je suis la fille unique du Président Directeur Général de FASHION INDUSTRIES. Je vis à « Cid » avec mes parents. Mon père s'appelle ELFE et ma mère MONTI. Ils dirigent ensemble notre entreprise. Ma mère m'avait dit que si un jour elle ne se réveille pas de son lit, je n'avais qu'à me rendre dans cette ville et demander à voir Hakeem. Elle m'avait dit que si je prononce son nom, vous comprendrez. Ce matin elle ne se réveilla point jusqu'à cette soirée. Cela m'a pris des heures pour me déplacer jusqu'ici. » Etonnés, nous restons muets pendant un certain moment et je lui dis : « Est-ce que tu peux m'amener voir ta mère ? » Béa répondit ensuite « elle m'avait prévenue que vous alliez me poser cette question ». Et elle dit oui, bien sûr. Si nous quittons cette nuit, nous pourrions y être vers 4h du matin. Pour moi, c'était trop long de prendre une voiture. J'ai donc décidé de prendre mon nouveau Jet que mon entreprise venait de fabriquer. Nous y allions tous. Moya avait prévenu les parents de notre départ. Dans l'avion, elle me raconta tout ce qu'elle savait sur ses parents. Voici notre conversation :

- Comment connaissez-vous ma mère ?

- Humm ; il s'agit d'une longue histoire. D'ailleurs, tu ne me croiras pas. Raconte-moi plutôt cette histoire avec ta mère. Pourquoi ne se réveille-t-elle donc pas ?

- Je n'en sais rien. Je m'apprêtais pour aller au travail quand j'entendus subitement un bruit dans sa chambre. Mon père est en voyage d'affaire, donc on était toutes que nous deux. Arrivée dans la chambre, elle était couchée par terre. Elle respire mais elle avait les yeux fermés. Elle n'entendait rien. Je l'ai donc amené à l'hôpital et je suis venu vous voir.

- Ce n'est pas possible. Où était-elle pendant tout ce temps et comment savait-elle que tu me trouveras dans ce restaurant ? Je ne comprends rien.

En moins de 45 minutes nous étions arrivés à « Cid ». C'était ma première fois de sortir d' « Au-delà des Merveilles » Nous nous rendions rapidement à l'hôpital. Arrivés nous rentrâmes dans la pièce où MONTI était couchée. Les docteurs avaient autorisé que l'entré de deux personnes : Béa et moi. J'avais enfin retrouvé ma sœur mais dans quel état ? Je l'appelai plusieurs fois mais elle ne m'entendit point. Je ne savais pas absolument ce qu'il fallait faire donc je demandai au docteur ce qu'elle avait. Le docteur me dit qu'il n'en savait rien. Qu'ils ont effectué plusieurs examens mais qu'ils ne savent pas exactement ce qu'elle avait. Je demandai à Soya de jeter un coup d'œil. Elle aussi me dit qu'elle n'avait jamais rien vu de pareil. Elle me dit que ma sœur était dans un état profond de coma et qu'elle devrait normalement être morte à cette étape. J'étais vraiment en panne d'idées. Je dis à Béa d'emmener les autres dans leur maison pour qu'ils se reposent. Soya avait insisté de rester avec moi mais je lui dis ne pas s'inquiéter et de rentrer se reposer.

Je restai proche d'elle et je lui tenais par la main. Il y'avait une voix intérieure qui me disait « Tu peux la guérir, tu peux la guérir. » Comment peut-on guérir une personne si on ne sait pas ce qu'elle a. Je réfléchissais beaucoup et à un moment je pris sa main entre les miennes et je me concentrai. Je l'avais fait plusieurs fois mais cela ne donnait absolument rien. J'étais resté à l'hôpital pendant plusieurs heures et je ne savais même pas qu'il faisait nuit. J'y restai dormir. Le lendemain, réveillé par l'aller-retour des médecins, je vis le lit de MONTI vide. Elle n'était plus là. DRAZE et les autres étaient là aussi. Je courus et le premier docteur que j'avais vu, je lui demandai où était ma sœur ? Il me dit qu'elle avait fait une attaque et qu'on lui avait transporté vers le bloc pour un examen. Nous étions tous inquiets et tourmentés. Malgré tout le pouvoir que je disposais, comment ne pouvais-je donc pas sauver ma sœur ? L'examen suivi d'une opération devraient durer deux(2) heures. Je pris donc un café avec Soya. De retour, le docteur nous dit que tout s'était bien passé mais elle n'ouvre toujours pas les yeux. Nous y reviendrons pour la suite.......................

AU PAYS DES TITAZAKPIWhere stories live. Discover now