Karen Swanson n'a qu'un but dans la vie, pourtant en croisant la route de Drogo quelque chose va changer... Tout ce qui faisait sa vie bien définie est remis en question. Mais pourquoi ? Comment ? 300 ans ont passés pour Drogo depuis l'histoire orig...
Elle entre dans la salle si naturellement que ça en est troublant. Je la regarde si belle dans cet uniforme et je n'ai qu'une envie aller dans une classe seul avec elle. Ou peut-être bien à la piscine de la fac je n'ai pas encore décidé. Ce qui est sûr c'est que nous explorerons chaque pièce de cette fac pendant son année. Soudain, son regard de braise tombe sur moi. Ça y est elle m'a repéré. J'esquisse un sourire carnassier et passe doucement ma langue sur mes lèvres. Rapidement elle va voir le prof qui l'emmène à l'extérieur. Je tends l'oreille mais n'entend pas leur conversation. C'est étrange, d'habitude je peux entendre jusqu'à l'entrée de la fac. J'essaierai de comprendre pourquoi plus tard car elle vient d'entrer. Elle se dirige directement vers moi et pose ces jolies petites fesses sur le siège à côté de moi.
Moi : Tu es vraiment bandante dans cet uniforme... Tu m'as trouvé... Je vais devoir te récompenser...
Un large sourire étire ces magnifiques lèvres, elle les lèche délicatement et s'approche de mon oreille.
Karen : Tout ce que tu voudras mon mignon.
Moi : On en est au petit surnom alors ? Dans ce cas tu seras ma petite chose !
Karen : Petite chose ?
Oh je crois que ça l'a énervé... C'est pourtant la première que j'ai envie de surnommer ainsi depuis Ankara. Merde ça veut dire que je tiens déjà à elle ?
Moi : Oui parce que c'est ce que tu deviens entre mes bras, ma petite chose...
Elle se met à rougir et je sais à ce moment-là quelle ne diras plus rien sur ce surnom.
Moi : J'adore te voir rougir... Tu es si belle Karen... Il y a tant de choses que j'ai envie de te faire... Si tu savais...
J'ai terriblement envie de goûter son sang... Je sais qu'avec elle je prendrai le temps de regarder chacun de ces souvenirs...
Moi : Alors petite chose, dis-moi qui tu es ?
Pourquoi je lui demande ça moi ? Si je commence à la connaître je vais encore plus m'attacher à elle que je ne le suis déjà...
Karen : Il n'y a rien à dire... J'ai 19 ans, je n'ai plus de famille... Tu sais que je ne suis plus vierge depuis longtemps... Sinon je t'aurais pas fait tout ça cette nuit... J'ai aucune passion, ni de loisirs... Et pas de petit copain.
Moi : Tu viens de me briser le cœur.
Je mets la main sur mon cœur et fais mine de mourir. Elle se met à rire doucement pour que le prof ne l'entende pas. Elle a un rire vraiment magnifique. Il n'y a pas de doute en fait, tout me plaît chez elle. Je suis déjà en train de tomber amoureux. Me voyant soucieux, elle pose sa main sur ma joue. Je l'attrape par la nuque et l'embrasse goulûment. Je ne sais pas combien de temps il me reste avec elle avant que Viktor vienne me la prendre. Alors je ne veux perdre aucune seconde. Après notre baiser je me lève et l'entraîne à ma suite. Je desserre ma cravate, et là laisse pendre. Nous sortons du cours sous les hurlements du prof.
Emmanuel :RETOURNEZ À VOS PLACES IMMÉDIATEMENT !
On l'ignore et poursuit notre chemin. Une fois devant la fac je me retourne et la regarde elle est souriante, visiblement elle n'a aucune envie de rester ici elle aussi.
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