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Le temps passait vite, c'était le week-end suivant. Mes parents étaient sortis pour le week-end. Je flânais déjà depuis l'aube. Fatigué, de ne pas nourrir mon cerveau constructivement, je m'attelais à l'écriture de ce poème laissée en suspend. Je me fais couler un bain, j'aime écrire dans l'eau. Le bain est prêt, je me déshabille. Je suis en caleçon lorsque mon téléphone vibre. Je m'en saisis.

Bérénice - Je suis devant ta porte.

Sans prendre la peine de me couvrir, je dévalai les escaliers. La main sur la porte, le cœur battant plus fort que jamais. Son visage m'apparaît comme une douce image. 

Je l'embrasse, elle pose ses mains sur ma taille, mon corps frissonne. Je la tire à l'intérieur et referme la porte et mon bassin collé au sien, on s'embrase.  A bout de souffle je romps la passion.

"-Je me faisais couler un bain, et la baignoire est plutôt spacieuse..." murmurai-je dans le creux de son oreille.

Elle n'avait pas gravi la totalité des escaliers qu'elle était déjà nue. Un soutien-gorge rose pâle à ma droite, un jean à mes pieds, satisfait, je pousse le verrous de la porte et pars la rejoindre.

BéréniceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant