Luna, vingt deux ans, part vivre son rêve dans la merveilleuse ville de Londres. Elle y fera des rencontres pas toujours très bonnes mais Caspar Lee, lui deviendra un de ces meilleur ami, et l'aidera plus ou moins dans ce mystère qui porte un visage...
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– Luna Delacour PDV –
Quelques heures plus tard,
Je me réveillai doucement, ayant perdu tout sens d'orientation. J'ouvris les yeux enfin essayai avec cette lumière blanche qui me faisait limite fondre la rétine, ressentant une douleur au niveau de mon avant-bras et venant aussi de mon épaule. En tentant de lever ce fameux bras, je vis des branchement et des perfusions reliés à ce dernier. J'en concluais donc que j'étais à l'hôpital du moins, c'était le plus logique, les murs étaient blancs et un autre lit était sur la droite. Je voulais tellement me lever et partir mais une personne toqua et entra, une femme surement infirmière mais qui ne portais pas de tenue montrant son statut, étrange...
- Je suis Maria, l'infirmière du repère. Je te fais une dernière prise de sang et tu peux rejoindre Joe.
Ah d'accord, tout s'explique maintenant.
- Il m'est arrivé quoi ?
- Tu t'es pris de jolie entaille dans le bras et à l'épaule mais ne t'en fait pas, je t'ai mis des fils et tu n'auras pas de cicatrice ma jolie.
Très bien, maintenant je me souviens c'est les hommes de Wilkins et lui-même quand ils m'ont enfermée comme une bête sauvage. Maria avait l'air sympa, courageuse de faire ce métier entourer de personnes qui se font la guerre toute les trente secondes.
- Et voilà ! C'est fini, tu peux rejoindre tu hombre, il t'attend dehors.
- Merci Maria.
Je ne comprenais pas vraiment l'espagnol mais j'ai vite compris que mon « hombre » était Joe puisqu'il était limite derrière la porte quand je suis sortie. Honnêtement j'étais heureuse de le voir et en même temps pas plus que ça, ce n'était que Joe Sugg.
- Je te ramène chez toi.
- Chez moi ou chez toi ?
Il affichait un sourire en coin, pourquoi j'ai sorti cette phrase... Je le laissais imaginer trop de chose, et mes joues commençais à me chauffer légèrement.
- D'abord chez moi puis réellement chez toi, il y a une personne qui t'attend là-bas.
Je lui frappai l'épaule avec le peu de force qu'il me restait, et sourit bêtement. Mais qui m'attendais ? On croisa Le Cheat en allant vers le chalet de Joe, il me prit dans ces bras comme si on était amis de longue date et Caspar était lui aussi là, m'entourant de ces bras et me soulevant.
- Luna ! Je suis tellement heureux que tu n'aies rien.
- Casp' tu m'as manqué !
- Bon les retrouvailles c'est pour plus tard, on file. Dit Joe d'une voix glaciale
- Oh ça va mate ! On a plus le droit de la toucher avec toi autour.
