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Je retournai à la base, prit une arme, un couteau et quelques vêtements de rechange pour commencer

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Je retournai à la base, prit une arme, un couteau et quelques vêtements de rechange pour commencer. Je pris les clés, fit signe à mes confrères et me voilà partis, je mis mes affaires dans le coffre de mon autre véhicule, la plus belle mon Audi R8, démarrai le moteur en appuyant sur Start, et comme d'habitude entendit ce bruit sourd et puissant, cette voiture ne me décevais jamais, chaque instant où j'étais dedans me remplissais de bonheur. Enfin, passons sur ce détail. Il devait être vingt-trois heures passées, je devais aller la chercher, du moins l'embarquer de force car je ne pense pas qu'elle veuille encore cavaler avec moi mais elle n'a pas le choix, je ne lui laisserais pas. J'étais élancer à vive allure sur l'autoroute qui me menais à Londres, environ trente minutes si tout vas bien me séparais d'elle. Mes pensées étaient du moins perturbées, il ne fallait surtout pas qu'ils soient déjà venus me la voler, je serais un homme mort sinon et elle aussi par la même occasion. Cela n'arrivera pas, je ne doute jamais de moi, ces situations me sont désormais familières, la mort, la douleur, la crainte, l'angoisse sont devenu des sentiments banals. En revanche, l'amour, l'amitié, la passion, le désir sont quant à eux partit. Bien sûr j'ai des fans mais avec eux c'est virtuel, je ne les rencontrerais jamais ou du moins quelques-uns par-ci, par-là et pour un court terme. L'adrénaline c'est tout ce que je ressens, et j'aime ça bien plus que tout, c'est une drogue. Me voilà à quelques milles de son appartement, encore quelques dizaines de minutes et j'y serais enfin. Il m'arrive de penser à ce que ma vie serait sans que les Nigrum Anguis aurait fait pour moi, je leur dois tout, c'est eux ma vraie famille. Me voilà, je rentrai ma voiture dans le parking souterrain avant de sortir je mis ma capuche, casquette et mes lunettes de soleil noir pour ne pas me faire remarquer, malgré qu'il fît déjà sombre et monta à l'appartement 36D de Caspar. Arriver sur le pas de la porte, je ne sonnai pas, et rentra dans la pièce voyant Caspar extrêmement confus de mon arrivé.

–  PDV Luna Delacour

J'étais à moitié endormie, quand j'entendu Caspar limite en train de crier tout seul car personne n'était là à part lui, je décidai d'aller voir pour lui faire part qu'à cette heure contrairement à certain, il y en a qui aimerais faire leur nuit paisiblement et non être réveiller à minuit passée. Je me levai donc, il était encore en train de s'énerver, j'en suis sûr pour rien. J'ouvrit la porte, le son des voix dans la pièce était particulièrement élevé. Je ne distinguais pas à qui il parlait, le mur me bloquant la vue... Après m'être approchée un peu plus, j'eu le temps de voir la silhouette de vous savez qui maintenant, c'est toujours lui qui vient. Je n'étais même pas surprise, j'espère qu'il ne m'a pas aperçu. Je fis demi-tour, pour aller chercher sa veste ça doit être pour ça qu'il est là, vu que monsieur est « recherché » il se déplace comme les animaux de nuit. Quelques secondes plus tard, je fis apparition pour lui rendre ce qu'il avait omit de reprendre, je m'interposai dans leur conversation.

-          La voilà ta veste, maintenant rentre chez toi, je t'en supplie.

-          Parfais, tu vois qu'elle est là.  Il jeta un regard noir à Caspar

Strange Encounter - Joe SuggOù les histoires vivent. Découvrez maintenant