T'es Qui ?

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Pdv Prune

Trois jours plus tard

Ça fait trois jours depuis la petite balade avec Daryl, on s'est revu une fois mais c'est toujours pas clair, pour changer...
Va sérieusement falloir qu'on se décide car ça devient invivable, faut-il qu'on fasse notre vie chaqu'un de notre cotés ou qu'on tenter le diable..

Depuis trois jours, je me sens suivi et quand j'appel les amis de mon frères pour savoir où ça en est avec César, rien ils décrochent pas, je me demande ce qui se passe, me l'ont-ils fait à l'envers ?

Je sors de mon appartement pour aller à Carter Corp mais j'étais pas tranquille, je regardais de gauche à droite, tout devenait suspect.
Soudain je sens une présence derrière moi je n'ai pas le temps de me retourner que je vois un mouchoir se poser sur ma bouche puis trou noir.

Je me réveille avec un mal de crâne carabiné, je cligne des yeux et me rend compte que je suis dans une cave, ça pue, une seule ampoule éclair la pièce, aucune fenêtre et je suis attaché avec des riselants.
Putain de merde ! J'avais raison on me suivait.
Pourquoi on m'a kidnappée ?

La porte s'ouvre sur un homme que je vois très mal à cause de la faible lumière.

-: t'es enfin réveillé.

Sa voix est grave.

Il s'approche près de la lumière et je peux le voir, il est grand, baraqué, métisse, cheveux très court, il porte un pantalon en jean noir qui épouse ses jambes et un tee-shirt blanc moulant son corps.

Moi : t'es qui ? Qu'est-ce que je fous là ?

Il rit, ce qui laisse apparaître ses dents blanches.

-: tu poses trop de questions. Le patron veut te voir, je vais te détacher et tu vas me suivre gentiment, sans poser de questions, j'ai aucune envie de frapper une femme.

Moi : tu viens de m'enlever manquerait plus que tu me tape, tu sais on est plus au moyen âge. Dis-je en haussant les sourcils.

-: tu vas souffrir. Je serais toi, je me tairais.

Oui alors là ça va pas être simple, il me lève, j'ai la tête qui tourne, je me retiens de tomber à son avant bras.

-: ça va ?

Je ris nerveusement

Moi : tu me demande si ça va ? C'est une blague ?! Je viens de me faire kidnapper, j'ai la tête qui tourne et tu me demande si ça va ?! Dis-je ironiquement.

-: calme toi , je te le dis je suis pas ton pote pour que tu me parles comme ça. Dit-il durement.

Ouais bah ça j'avais compris, on avance puis on arrive dans une pièce et j'ai vu sur un immense salon où je vois pleins d'hommes entrain de compter des billets,en train de fumer et de boire puis d'autres qui s'occupent de drogue et des putes, il y a pas d'autres mots hein, quand ta jupe te serre de sentir, excusez moi mais pour moi ça n'insiste pas au respect.

Je sens les regards se poser sur moi et putain ça me gêne.
Il m'emmène dans un bureau, il toque et on entend une grosse voix qui nous dit d'entrer.
Cette voix je l'a connais, l'homme qui est avec moi, ouvre la porte, je vois César assis dans son fauteuil en cuir noir, derrière son bureau en chêne.
Mon sang pulse dans mes veines, il se lève puis s'approche de moi pour me faire face.

César : c'est bon Samir dégage maintenant. Dit-il durement et sans me quitter des yeux.

Donc l'homme qui est venu me chercher dans la cave s'appelle Samir, celui-ci s'exécute immédiatement, soumis va !
Il referme la porte, un sourire malsain s'installe sur le visage de César.

César : enfin ! C'est le grand moment, ça pas été facile de t'avoir ma belle surtout quand tu envois tes soumis s'occuper de moi.

Moi : tu leurs a fais quoi ?!!

César : ils reposent en paix maintenant, t'inquiète tu ira les rejoindre bientôt mais pour le moment tu vas souffrir les larmes me montent les gars sont mort putain de merde !! En essayant de me protéger. J'ai la rage. Ta petite bite de Daryl a tenté de m'avoir avant que je t'ai mais j'ai été trop rapide pour lui, crois moi bien elle est tout sauf petite, bref c'est pas le moment Prune. Trop occupé à se bourrer la gueule à s'envoyer la moitié de New-York il remue bien le couteau dans la plaie.

Moi : arrête de jackter et mets moi une balle dans la tête qu'on en finisse.

César : ça va pas être aussi facile, je t'ai l'ai dis je veux que tu souffre, que tu me supplie de t'achever. Je veux que tu ressente ce que j'ai ressentit quand tu as tué Lana.

Moi : je l'ai déjà ressentis quand tu as tué mon frère comme un chien. Crachais-je avec haine.

César : j'espère que tu es mentalement prête. SAMIR hurle t-il, il arrive.
Emmene la à la cave et éclatez vous avec cette chienne.

Quoi ???!!!Non non ! Tout mais pas ça !!!
Il me traîne par le bras, j'essaye de me débattre mais avec mon corps de langoustine face au sien qui est stock, ça sert à rien.

Il me descends à la cave et me jette sur le matelas moisi, puis cinq hommes rentrent, il me regarde tous avec leurs regards de pervers, ça me dégoûte, je cherche tant bien que mal une issue pour me sortir de là.

Un homme s'approche de moi.

Homme 1 : alors ma petite salope prête à te faire sauter dans tout les sens dit-il en souriant en coin.

Putain de merde ! Les larmes me montent, ils peuvent pas me faire ça, je pourrais être leur petite sœur, ils aimeraient pas qu'on fasse à la leur.
Je me recule contre un mur quand un autre homme arrive, il empoigne mes cheveux et me tire pour me remettre sur le matelas.

Homme 2: tu crois que tu vas t'en sortir comme ça, t'es beaucoup trop bonne. On va te faire du sale ! Dit-il en me touchant de partout.

Je me débat et lui envoie mon genou dans ses couilles, il se touche sa partie et intime et se pli en deux.
Il se relève et me gifle, ma tête est partit jusqu'en France, la joue me pique énormément, je porte ma main à celle-ci.

Il revient à la charge en m'imbolisant les mains, je peux plus me débattre, je suis pas du genre à prier Dieu mais là je le prie, je prie pour que quelqu'un me sorte de là.
Il défait mon jean et le baisse, je pleure en le suppliant de s'arrêter mais il s'en fou complètement, il enlève mon shorty en se mordant la lèvre.
Plus je pleurais, plus je me débattait plus ça l'excitait.

Homme 2 : tu m'excite tellement quand tu te tortille dans tout les sens.

Il me dégoûte à un point, putain de merde.

Il s'apprêtait à me pénétrer quand la porte s'ouvre violamment....

Destructeur //Is It Love DarylOù les histoires vivent. Découvrez maintenant