Chapitre 8: Une journée paisible

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Rita-Maria a été embauché par une dame vraiment bizarre. Elle va s'occuper de son petit de cinq ans.

La suite...

Rita-Maria

Il est maintenant vingt-trois heure, je suis rentrée depuis près de deux heures à la maison, sous la surveillance de monsieur Mcdean.

Maman a voulu que je lui raconte tout malgré ma fatigue. Ce que j'ai fait pour me débarrasser d'elle au plus vite.
Maintenant que je lui est tout conté j'ai vraiment besoin de sommeil.

« Maman s'il te plaît je vais dormir. On laisse les commentaires pour demain. D'accord » je lui dis toute endormie.

Elle me répond que oui, je lui fait un gros câlin et me dirige vers ma chambre.
Une fois que j'y suis, j'ai l'envie de me jeter sur ce moche lit. Mais je me retiens. Vu la vieillesse de ce truc, je décide de me coucher tout doucement, il ne faudrait pas que celui-ci s'écroule.

Je suis tellement épuisée, que lorsque je ferme les yeux je sens Morphée m'accueillir dans ses bras. Vu la fatigue que je ressens, je répond à son câlin. Et elle m'emmène loin dans le pays du sommeil.

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J'entrouvre les yeux. Je peine à me lever alors je décide de rester allongée sur mon lit.
Mon regard se pose sur mon sac, ah oui celui de la dernière fois. Cela suffit à me donner de la force pour me relever.

Je vais prendre le sac, je l'ouvre pour voir si mes deux milles dollars y sont toujours. Je suis rassurée d'appercevoir la somme alléchante.

Je me rappelle immédiatement de ce monsieur. Il faut dire que de un c'est un vrai malade, dépenser deux milles dollars pour juste coucher avec une fille, c'est fou comment les hommes riches sont idiots !!
De deux il s'est salement fait berné par moi. Et je ne suis pas du tout fière de moi.
Je pris juste le bon Dieu qu'il m'arrive jamais, alors la jamais de le revoir.

Je crois que actuellement j'ai trois milles au total en seulement deux mois, il faut dire que l'escroquerie rapporte plus que ce travail de boniche la. Mais bon il est correcte donc je vais faire avec.

Je regarde l'heure sur mon téléphone. Il est quatorze heures.

Hein!! Quatorze heures. Je sors de ma chambre en trombe et sens aussitôt une bonne odeur. Je suis l'odeur jusqu'à la cuisine.

« Bonjour maman » je dis en l'enlaçant fort ce qui l'a fait sourire.

« J'aimerais bien te demander si tu as bien dormir, mais vu le temps que tu as mis je pense que oui tu as bien dormi. » me dit-elle en m'embrassant sur le front.

« Oui comme un bébé. Qu'est ce que tu prépares ?? » je demande.

Elle ouvre le récipient et me montre. Je savoure l'odeur. J'ai toujours été une grande fan de la cuisine de maman.

« Maman, j'ai réussi à avoir un peu d'argent » je lui dis toujours contre elle.

« Ah bon et combien ?? » me demande t-elle tout en cuisinant.

« Trois mille dollars » je chuchote.

Elle s'arrête net. Et se retourne pour me regarder.

Connaissant ma mère, elle va surement me poser un tas de questions. Ceux auquel je vais devoir répondre malicieusement et intelligemment pour ne pas m'enfoncer.

« Rita-Maria Sanchez, ou avez vous eu cette grosse somme d'argent »

Elle me questionne sévèrement, mais pourtant confuse.

No One But YouOù les histoires vivent. Découvrez maintenant