CHAPITRE 22

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L'intérieur est magnifique, lumineux,il y avait un peu du monde.

On dirait que tous les puissants de New York se sont donné rendez-vous au même endroit, pour pouvoir se mesurer financièrement.

James me présente comme  sa femme a quelques personnes que je  ne connais pas , je me sens stressée et surtout pas a ma place.

Même je l'ai épouser, je me suis jamais senti a l'aise dans ce mon de bougeoirs.

James sent mon mal aise , il enlace mes doigts et me murmure à l'oreille.

- allez ma puce, détend toi ,je sais que sa n'a jamais été ton truc ,mais c'est juste pour quelques heures .

Tout a coup! sa voie me rassure ,et je me détend, je lui réponds avec un sourire timide.

- je vais essayer.

Pendant qu'un couple un peu âgé s'approche de nous avec un grand sourire, en s'approchant, je l'ai reconnais, c'est  le couple COOPER, des amis de la famille, c'ést des gens bien  dans  mes souvenirs.

Arrivée a notre niveau ils nous saluent chaleureusement, la femme me prend dans ses bras.

- Jessica !  tu es toujours aussi belle, comment tu vas ma chérie?

- bien Madame COOPER , je vous retourne le compliment, et vous ?

Pendant que je répondais a la femme l'homme vient me fais la bise.

- ma chérie je me porte bien ,alors tu es revenu totalement de l'Afrique? où tu es juste en visite ?

- de l'Afrique ! 

Je me tourne vers James,  il me fait un signe discret.

- oui, oui, rassurer vous, je suis revenu pour de bon .

- ça  me fait  vraiment plaisir, parce que, je n'étais pas rassurée de voir mon petit James, toute seul, si tu le voyais, il faisait tellement la peine a voir.

Hum ! Comme ça, il était, triste en mon absence, je ne sais pas pourquoi, mais je une joie en moi.

- En plus je ne suis plus jeune, et vous non plus, alors a quand les enfants ?

James répond a ma place.

- Diane t'inquiète, on a une fille.

Le visage de Diane s'illumine.

- oh! elle doit être magnifique.

James répond encore a ma place.

- oui Diane, jolie comme un petit cœur, elle a 7 ans tu auras l'occasion de la  voir.

On discute un peu avec eux, et ils s'éloignent en promettant nous rendre visite.

Pourquoi James ne me laisse pas parlé, 

je murmure a l'oreille de James

- j'espère que tu ne pense pas me forcer la main en faisant cela ,parce que tu me connais, je suis assez têtue.

Il fit mine de ne pas comprendre.

- loin de moi l'idée de te fais sa.

Le reste de la soirée sait bien passé, ils ont récolté assez de fond pour la fondation qui traite les malades atteints du cancer du sein ,mais qui n'ont pas les moyens ,j'ai trouvé sa honorable et généreux.

- James il se fait tard i,l faut que je rentre.

- oui je pense que tu as raison.

Il prend ma main, et on se dirige vers la sortie

Au moment où la voiture démarre ,il dit quelque chose au chauffeur que je n'est pas entendu,sur le chemin du retour, j'étais si fatiguée que je m'assoupir,je me réveille quand je sens une main posée sur moi , j'ouvre les yeux  remarque que je ne suis pas devant chez moi, mais dans la résidence de James.

- mais quesque je fais ici ce n'est pas chez moi.

- oui je sais, mais comme il se fait tard, je me suis dit que c'était pas la peine d'aller déranger Alice, en plus demain c'est samedi.

- et tu n'as pas jugé bon de m'en parler d'abord.

-tu dormais, je ne voulais pas te réveiller, aller! descend,  Fred aussi doit aller se coucher.

Il parlait du chauffeur, je descends ,il sortit ses clés et nous rentrons.

Ma dernière visite me revient en mémoire ,je commence à me sentir mal à l'aise , je ferme le yeux pour essayer d'oublier ces images, mais peine perdu.

James disparaît et réapparaît, quelques minutes plus tard, vêtu juste d'un bas de pyjama,le voir sans beaucoup de tissus sur le corps me fait rougir, ce n'est pas que je ne l'ai jamais vu comme sa, c'est parce-que la dernière fois que je l'ai vu ainsi il y a environ huit ans . Car depuis qu'on sait revu ,je dois dis qu'on prenait pas la peine de se déshabiller avant d'aller a l'essentiel.

Il vient se placer derrière moi, et m'enlace par la taille, je commence a senti des frissons dans tout mon corps, il parcourt mon cou ,ma nuque mes bras, de petit baiser, et murmure a mon oreille.
- Avoue , depuis que tu m'as quitté,  il n'y a pas eu d'autres hommes dans ta vie.

Sa question me prend au dépourvu, comment a t'il sue ,peu être a la façon dont je réponds quand il me touche, m'embrasse ou me faire l'amour mais je suis pas obligée de lui dit la vérité.

Sa main était déjà entrain de titiller le bout de sein, en me procurant un plaisir inouï, et il continue de me le murmurer
- aller !bébé ,dit le ,je veux l'entendre.

- quesqui te donne cette impression

- tu es sur de ne pas savoir.

Maintenant il me torture, ses mains ont quitté mes seins et sa bouche prend la place, il me suce me mord d'un sein a un autre, sa main est en bas de mon bas ventre ,a la partie la plus intime de ma féminité, entrain de faire de lent va et vient , je sens le plaisir monté en moi , au moment où je suis sur le point d'atteindre la plénitude,il s'arrête.

Plaisir Du Passé ( EN Réécriture)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant