Never Chance||o.d

Never Chance chapitre 11

Chapitre 11
Je l'aurais mes dis-je dans ma tête en boucle, je l'aurais...Je ne savais pas qu'il pouvait avoir un regard su dur, si menacent, si violent, si agressif, si brusque. Il a des changements d'humeurs très exessifs. Je ne m'entends pas trop avec ce genre de personne même si je l'avoue que je suis un peu une saute d'humeur en puissance. C'est généralement quand j'ai mes règles que c'est comme ça. Je penses d'ailleurs qu'elles vont bientôt passées se mois-ci si elles ne sont pas encore passées. Je n'ai plus la notion du temps. Je sais juste que cela fait 3 ans que je errais dans la rue à la recherche de l'impossible qui ce-'est maintenant réalisé.
Moi: Tu mes fais mal...
Lui: Tu n'es pas si forte que tu en as l'air.
Son regard est comme le feu, il me brûle. Son regard est rempli de haine. Je sens aussi le regret et les rancoeurs qu'il cache.
Moi: Oui. Je ne te reconnais plus...
J'émis un petit cri de douleur. Tout petit, tout faible, tout innocent et plaintif. J'aimerais criée la douleur que je retiens depuis toutes ses années mais rien ne sort, que des petits cris de douleur physique et aucun psychologique. Je n'ai laisser échappée que deux cris de douleur. Mes épaules me martirisent. Je suis sous la torture autant mentalement que physiquement.
Lui: Tu ferais mieux pourtant parce que je suis toujours le même.
Moi: Tu a changé. Tu n'as plus la même personnalité. Tu étais doux et maintenant tu es violent. Je te reconnais plus. Tu as changé. Tu es inconnu.
Son visage se détent d'un seul coup. La colère, la haine, la rage sont partits d'un coup comme la violence. Il a reprit le visage que je connais si bien.
Lui: Je suis désolé...
Moi: Cela n'en vaut plus la peine...pars.
Lui: Je suis sincérement désolé...
Moi: Le mal est fait, il n'y a pas de retour. Maintenant pars.
Lui: Je veux rester avec toi.
Moi: Je ne veux pas moi.
Lui C'est contradictoire ça.
Moi: J'ai dits pars.
Lui: Je sais mais je n'en ai pas envie. Je préférais autre chose..
Son regard en dit long sur ce qu'il a envie de faire. Les mains sur mes cuisses et plus sur mes épaules, elles respirent enfin. Il caresse mes cuisses mais cela n'avait pas d'effet avant et maintenant non plus, je dirais même encore moins si cela est possible.
Moi: Je n'en ai pas envie.
Lui: Pourtant moi oui...
Moi: Toi c'est toi, moi c'est moi. Je choisies encore ce que j'ai envie de faire.
Lui: Tu ne vas pas me privé de ça quand même...?
Moi: Bien sûr que si alors maintenant va-t-en.
Lui: Tu es sûre?
Moi: Sûre et certaine.
Il essaye encore de me convaincre. Il part vers son suçon et continu. Je ne vais pas me laissée faire cette fois. Je continue le mien aussi mais avec beaucoup de violence. Je lance toute ma haine, ma rage et ma colère dans ce suçon. Il l'aura voulu. Il arrête et porte une de ses mains sur son suçon.
Lui: On est violente maintenant...
Moi: Pars maintenant.
Lui: Non.
Moi: C'est chez moi et je décide si tu pars ou non.
Lui: Je ne vais pas partir.
La main qu'il avait à son coup est sur mon ventre. Il essaye d'allé sous mon t-shirt. En retour je lui fous une gifle. Il retire immédiatement sa main de sous mon t-shirt qui commencais à monter un peut trop haut à mon goût, est sur sa joue. Je le pousse vers l'arrière. Il est confus. Je suis aussi capable de faire mal. Je le pousse jusqu'à la porte. J'ouvre la porte, le pousse à l'extérieur et referme la porte. Je colle mon dos à la porte et me laisse tomber terre. Les doigts de ma main droite sur mes lèvres, le regard à moitié dans le vide, une larme coule sur ma joue. Je replie mes jambes sur mon ventre. La tête sur les genoux, je respire du mieux que je peux. La tête pleine de dégoût et de rêve, tout se mélange et me donne un mal de tête insoutenable. J'entends des pas qui partent. Il part, enfin. Je laisse un torrent de larme dégouliné de mes yeux rougis maintenant. Je n'avais pas pleurée depuis longtemps et cela fait du bien. Je me relève, essuies les larmes de chaque côté de mes joues d'un revers de manches et ouvres la porte. Je regarde à gauche et droite pour voir si quelqu'un est là mais personne tant mieux. Je referme la porte derrière moi et m'enfonce dans le couloir. Je sors pas le porte de secours et monte sur le toit du bâtiment. Je me positionne au milieu du toit, j'hurle un bon coup. J'hurle tout mon désarroi, ma douleur, ma rage, ma colère, ma haine, ma pitié, mes larmes, ma tristesse. Il n'y aucune notion de bonheur, de joie, de rire, de sourire dans mon cri. Il est vide et ne continent aucun signe de propabilité qu'un espoir existe. Je reprends la route vers mon appartement. Je pars directement vers la salle de bain. Je regarde l'était de mon visage: lamentable. Le suçon est très visible, je vais devoir mettre une écharpe demain ou un foulard. Je passe mes doigts dessus, ce qui me produit un petit piquotement. Je me brosse les cheveux et les attaches en une couette. J'ouvre le robinet et m'asperge d'eau. Le visage trempé, je recommences plusieurs fois. J'espère à chaque fois que je relève la tête versle miroir que mon visage change, que je ne suis plus la même mais cela est impossible. Je suis celle que je suis, une pétasse, une gagnante, une perdante, une joueuse, une déspérée, une espérante. Je suis au milieu de tout. Je suis ntre la vie et la mort. Je me change en pyjama, un simple legging noir avec un t-shirt large. Je me couches dans mon lit, m'enroule dans la couverture, la tête pleine de rêves et de pensées, je mets mon alarme pour me réveillée demain matin et m'endors dans l'heure qui suit. Je me réveille d'en la nuit plsuierus fois à cause de cauchemars. Je me réveille souvent un peu en sueur. Je me rince cette fois-ci la visage. Cela fait la quinzième fois que je me réveille. Il est 4h58 alors que je dois me réveillée à 6h55. Je finie par retournée dans mon lit et ne dors plus de la nuit. J'éteinds mon alarme quand elle sonna. Je sors de mon lit, la tête dans le cul et l'esprit fatigué. J'entre dans la salle de bain et me déshabille. Je découvre sur moi quelques choses...
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