Mini-fiction: Never Chance
Chapitre 22
Nous allions s'embrasser quand...un oiseau vole juste au dessus de nous. Un sourire au visage, on se redresse. Lui assis et moi entourant se taille de mes jambes. Je joue dans ses cheveux, c'est si doux. Il utilise un bon shampoing, ces cheveux sont souples. On parle d'un peu tout. Il n'y a pas de suit précis. Le passé revient souvent ...mais repart aussi vite qu'il n'est arrivé. C'est fascinant de comment il parle de nous. Tout se mélange dans ma tête. Le passé, le présent, le futur. Je repense au passé, le présent n'y ressemble pas et il me parle du futur. Il nous voit encore ensemble avec des enfants, une vie parfaite, une grande maison. C'est le futur qu'il envisage et je suis totalement pour. On est jeune et stupide on ne sait pas ce que nous réserve encore la vie. Peut-être nous séparera t elle à tout jamais ou nous rapprochera. Il est si mignon quand il parle, ces joues rougissent un peu. Il s'excuse plusieurs pour quelques choses du passé dont je n'en plus rien à faire. J'ai comme rayé de ma mémoire ces moments-là. Je me sens invincible avec lui. Plus rien ne peut m’atteindre. Le monde est comme de mon côté. Je suis un ange, un ange à ces yeux. Il ne me faut que ça pour être heureuse. Qu’il soit mien et que je sois sienne, qu’on soit nous deux contre le monde et le paradis est présent à dès cet instant-là. Je ne me suis jamais dîtes que tout pourrait se finir d’un seul coup. Je sais que sans lui, je me sens vide. Je suis remplie d’impureté sans cet être vivant à côté de moi. Je rêve de lui nuit et jour. C’est l’homme parfait pour moi, à mes yeux il vaut plus que tout l’or du monde. Je suis pour lui une princesse et pour moi c’est mon prince. Il entoure le bas de mon dos de ses grands bras et y rejoins ces mains. La beauté et la tendresse est quelques chose chez lui d’inouï. Je ne sais pas si je pourrais être à nouveau heureuse sans lui, sans cet homme à qui je dois tout, sans cet homme sans lequel je serrais déjà morte, sans cet homme qui m’a appris à vivre et non à survivre, sans cet homme que j’aime, sans cet homme avec tout est beau ou presque, sans cet homme avec qui le futur se promet favorable, sans cet homme à qui je lègue tout mon amour, tout mon cœur, sans cet homme avec qui je me sentirais seule, sans cet homme dont je me noies dans ces yeux, sans cet homme dont les cheveux sont si adorable au toucher, sans cet homme à qui je dévoue tout, sans cet homme qui est le seul sur terre à qui je montre que je suis acquise, sans cet homme oµ j’aurais abandonné l’amour, sans cet homme où je serais morte à cette heure. Je voulais tant le revoir, il y a des années, mon vœu a été exaucé. Je vis heureuse avec l’homme que j’aime, c’est cliché ? Pour moi non parce que c’est la réalité. Une réalité enfin heureuse pour moi. Je satisfais mes envies, je fais ce que je veux, je suis libre, je suis heureuse, je suis aimée, je suis avec la personne qui est tout pour moi. Il est plus important que quiconque sur cette terre. Sans lui, je ne serais pas où j’en suis maintenant. Je suis heureuse. Il me parle déjà de mariage c’est si beau. Un magnifique mariage, une robe blanche, un costume cravate, une cérémonie mais plus entre amis et en famille. Ce ne sera pas trop sérieux, on est encore jeune. On a juste 20 ans et encore toute la vie devant nous. L’enfer est derrière nous, l’enfer mélangé au paradis est avec nous, le paradis est devant nous. Un mélange que nous prenons peut-être trop à la légère mais plus on est fous plus on rit, non ? Je me sens poussée des ailes. Je sens que je vais pouvoir volée à ses côtés. Un papillon en moi, je me sens comme lui, perdue entre désir et passion, entre amour et pulsion, entre attachement et envie. Un papillon voyageant dans le monde sans son compagnon pour le trouvant, il termine son parcours avec. Nous sommes deux papillons, nous nous sommes cherchés, nous nous sommes trouvés, nous nous sommes attachés, nous nous sommes perdus, nous nous sommes manqués, nous nous revus, nous nous sommes ignorés, nous nous sommes rêvés, nous nous sommes rattachés, nous nous sommes plus qu’un. Avec lui à mes côtés, le monde ne peut plus me touché. Je suis infroissable, intouchable. Je suis moi tout simplement avec une personne sur terre qui m’a accepté comme je suis autant avec mon caractère, qu’avec mes qualités, qu’avec mes défauts. Je ne pourrais pas être plus heureuse. Je suis dans un bain mousseux de bonheur, dans un bain rose de paradis, dans un bain vert de jalousie, dans un bain rouge de colère, dans un bain bleuté de ciel. Nous nageons dans le paradis comme dans l’enfer. Je préfère le paradis honnêtement mais je pense que je ne suis pas la seule sur la terre. Le monde entier dont désiré le paradis plutôt que l’enfer, le bonheur plutôt que la malheur. C’est naturel nous souhaitons plus le bonheur que la malheur. Ceux qui préfère le contraire ne vont pas bien et sont généralement exclu. J’ai peur. Je suis heureuse maintenant et c’est toujours quand je suis heureuse que quelques choses de mal se passent. On appelle ces personnes dépressifs mais pourtant ils ne sont pas tous à désirés la fin du monde. Le monde s’acharne sur eux comme sur nous mais ils sont moins forts. Je lui offre mon plus beau sourire tant que je peux. J’ai le pressentiment qu’une averse de problèmes va nous atterrir dessus. C’est une injustice de nous retiré le bonheur aussitôt trouvé. Les mutilations sont de plus en plus fréquentes dans le monde. On se plain de tout alors qu’on devrait en profiter. On vit dans un monde de râleur parce qu’ils n’ont pas ce qu’ils veulent et de fainéants parce qu’ils ne se bougent pas pour l’avoir. Le bonheur se trouve dans les choses les plus simples et dans la difficultée. Peu de monde on comprit mais moi j’ai compris. Je vis heureuse en me contentant de ce que j’ai et rien de plus. Le bonheur ne se trouve pas dans l’argent, dans la richesse, dans le luxe, il se trouve partout mais encore moins dedans. Je suis heureuse d’être heureuse, ça fait bizarre je trouve de dire ça. Je suis en plein rêve, j’espère qu’il ne va pas devenir cauchemar. C’est peut-être mon rêve le plus fou, le moins réalisable. Le malheur finit toujours par tomber. On ne sait pas l’évité. Il est comme il est et on finit toujours par se prendre dans la figure qu’on le veuille ou non. Il finira toujours pas arriver, rapidement comme lentement. Il arrivera toujours à destination et prendra un peu de nous au passage. Je ne lui fais pas confiance. Je ne lui ais jamais faits confiance. Je n’accorde non plus pas ma confiance facilement et surtout que ce n’est qu’un événement qui nous détruit. Je ne vois pas en quoi je devrais aimer quelque chose qui me détruit. J’aime pourtant l’homme qui est devant moi malgré qu’il me fasse du mal, qu’il me détruit, qu’il a tué mon cœur dans le passé. Mais c’est un humain, un homme et je l’aime et lui aussi. On se fait du mal inconsciemment. On se fait du mal alors qu’on ne veut pas. C’est ça l’amour, se faire du mal alors qu’on ne veut pas, s’aimer jusqu’à n’en plus finir, avoir la peur de perdre l’autre nous rongeant le cœur et l’estomac, un sourire réel pour cette personne, des souvenirs que nul ne sera effacer, la jalousie que quelqu’un puisse prendre ta place dans son cœur alors que jamais quelqu’un ne la prendra, rigoler jusqu’à en avoir mal aux ventres et des larmes dégoulinant sur les joues, pleurer de joie mais aussi de tristesse, jouer dans ses cheveux, lui montrer qu’on va bien, lui donner ce qu’il veut, vivre sans avoir peur que la mort nous sépare parce qu’elle n’y arrivera pas, jouer comme des enfants, se chercher pour finir par s’embrasser, chercher cette personne, se disputer pour avoir par la suite un câlin, s’embrasser jusqu’à ne plus avoir d’air, chasser tout les mauvais moments d’un trait de crayon, tracer sa vie jusqu’à une mort certaine mais plus inutile, être la prunelle de ses yeux, se sentir aimer et important, à pouvoir tout lui dire, à ne plus rien avoir à garder pour soit, à avoir quelqu’un pour la vie, à ne plus se sentir critiquer, à avoir le regard plein d’attention, à avoir quelqu’un avec qui le futur réserve tellement, être à jamais avec lui, surmonter les problèmes à deux, être à deux contre le monde et plus seul, plus rien ne pourras nous arrêter, plus rien ne pourra nous stopper, pouvoir réfléchir à deux, pouvoir avancer à deux, mourir heureux, vivre la joie sur le bord des lèvres, ne plus mentir pour se cacher, plus rien ne pourras nous séparés, être encore ensemble malgré les disputes, toujours se réconcilier, rester à jamais dans son cœur, avoir le cœur déclinant de bonheur et de battements et aussi d’amour envers cette personne, avoir le cœur qui vrombit à sa seule présence, se sentir pousser des ailes, se sentir heureux comme jamais, accepter les critiques pour s’améliorer, vivre sans complexes, sourire face à la vie, se tenir la main devant tout le monde, n’avoir aucune honte, ne plus avoir peur de se cacher, crier au monde qu’on est heureux, ne plus savoir compter le nombre de problèmes survolés et puis mis à la poubelle. C’est ça l’amour. Ne plus avoir la peur de mourir avec des regrets et sans être heureux. L’amour compte des peurs comme celle d’être remplacer, celle de perdre cet être chère. L’amour a ses conditions à accepter. L’amour est comme beaucoup de choses de la vie, il faut les acceptées telles qu’elles sont et ne pas les sous-estimées. L’amour a beaucoup de pouvoir sur le monde et sur les personnes. L’amour peut aussi bien faire que du bien. L’amour cache encore beaucoup de choses et de mystères. L’amour est différent pour chacun, un point de vue différent, une façon de le vivre différente, une façon de la survolée différente, une façon de la pensée et de la réfléchir différente, les sentiments différents eux aussi. Pour certains l’amour est quelque chose de léger, pour d’autres c’est leur monde, ce qui les fait briller. Certains se sentent seuls et d’autres épanouis et aimer. La vie à ses raisons. Il ne faut pas d’espérer, l’amour finit toujours bien par toquer à la porte. L’amour nous cherche, est derrière une porte, timide elle n’ouvre pas encore et puis un jour où on s’y attend le moins, elle ouvre cette porte. Il ne faut pas tombé du peu de terre qui sert de rebord pour nos pieds, il y a un manque d’espace que cette personne agrandit juste à son passage après la porte. La falaise devient un terrain plat, ce n’est plus des cailloux et de la terre sablée mais une prairie, un champ, d’herbe et de fleurs de toute les couleurs. Les nuages gris et orageux se dissipent pour laisser place à un rayon de soleil suivit d’une brise de vent faisant voler ses cheveux, le soleil devient entier, la chaleur se propageant dans l’air, les papillons dans le ventre. L’amour ne se représente peut-être pas comme ça. L’amour change. De nos jours il peut être très sérieux ou être foutu en l’air. Il peut se finir en un tableau mal effacé ou pas terminer comme un dessin où il manque les détails ou effacé, un dessin inachevé, un dessin tracer à la va vite, un dessin sans réel but, un dessin sans goût, sans passion ou l’amour pourrait se terminé en un dessin magnifiquement bien dessiné avec tout les détails, un dessin remplit de couleur, remplit de joie, un sourire visible au milieu du dessin. Un dessin dessiné avec soin et précision. Un dessin décrivant la vie de deux individus s’aimant comme si le monde ne pourrait jamais les séparés. La vie est dessin à dessiné, à tracer. La vie est un conte à raconté, à écrire. Le dessin de la vie se croise toujours avec celui de quelqu’un d’autre pour se mélangé à lui, dessiné une partie main dans la main et puis ou bien la tenir plus fermement ou la laisser s’échapper. Un conte à écrire, une histoire à criée au monde, des mots à placé l’un derrière l’autre, ne pas les mettre pour le plaisir leur donner à chacun une signification, une importance, un sens. Il ne faut en négliger aucun. Un mot mal placé et c’est la vie qui est déboussolée. La vie si tenace et fébrile en même temps. La vie change à chaque coin de rue, à chaque tournant. Elle n’est pas définie précisément. Il y aura toujours quelque chose qu’y changera son cours. Certaines choses sont comme même prédéfinie. La rencontre avec cette personne est tracée depuis notre enfance, elle change, elle recule, elle avance en fonction mais elle arrivera toujours. Toute notre vie on est à la recherche de cette personne, si on ne la trouve pas, on n’a plus qu’à espéré que c’est elle qui nous trouve. La vie est fabriquée ainsi. Elle n’est pas comme un texte que l’on peut toujours changer. Elle est unique, elle est comme chaque humain. On vit unique, on est une espèce rare, unique, on est en voie de disparition, on meurt et voilà une espèce rare de moins sur terre. Une autre prendra sa place par la suite. C’est une boucle sans fin jusqu’au jour où la terre explosera ou quelque chose comme ça. Ce n’est pas pour tout de suite. Nous ne devons pas vivre avec cette peur-là, on doit profiter de la vie pour être sûr que si cela arrive, on aura vécu sans regret. Je me détache de lui et me relève. Je lui tends la main qu’il prend. Je l’aide à se relevé. Juste debout devant moi, il me fait tourner sur moi-même et me renverse sur un côté. Un pas de danse que j’adore. Il le sait très bien. C’est si adorable qu’il fasse ça. Je reviens à sa hauteur et me laisse tomber dans ses bras. Je m’y sens tellement bien. Je m’y sens en sécurité. Plus rien ne peut m’atteindre, plus rien ne pourras nous atteindre. Il me prend dans ses bras comme une princesse, j’entoure son coup de mes mains et il nous fit tourner sur un tour. Il marche ensuite pour me redéposé au sol. Je le regarde dans les yeux. Son regard qui illumine mes journées est si magnifique. Il se rapproche de mes lèvres. Nous allions une nouvelle fois nous embrasser quand…
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Suite à un commentaire et un vote. La chapitre 23 est plus court. Merci de suivre la fiction. :)
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Never Chance||o.d
FanfictionThis is a fiction, with a guys of One Direction. ©Copyright 2014 [Hors-série]