Never Chance||o.d

Never Chance chapitre 12

Mini-fiction: Never Chance

Chapitre 12

Je découvre sur moi quelques choses...des ématomes. Des traces bleux virant déjà au mauve sur mes épaules. Elles ressembles à des traces de main. C'est lui qui m'a fait ça. Il rajoute encore une raison pour que je le déteste. Malgré tout ce qu'il me fait, je l'aime encore. Je suis parfois si pitoyable. Le problème dans tous ça c'est q...u'on est en été et que mes ématomes sont juste totalement visible. Je vais peut-être mettre du fond de teint dessus pour cacher même si je ne sais pas si cela va marcher. Je vais essayée de trouvée un moyen demain matin, je suis fatiguée. Tout ce qui venait de se passé m'a fatiguée d'un coup. J'ai vécue en très peu de temps beaucoup de choses, je suis claquée. Je sais à peine tenir debout. Je mets mon pyjama mais mes épaules me font mal. La douleur est intérieur, la couleur est extérieur. Je cherches dans tout l'appartement en partant de la salle de bain après de la crème anti-afflamatoire ou quelque chose du genre. Je trouves dans une armoire qui est dans le salon/cuisine, tout les médicaments et crèmes possibles. Je prends celle qui convient pour ma blessure et l'applique sur ma peau. Je masse avec douceur pour que la crème entre dans ma peau doucement parce que cela fait mal. Depuis longtemps je ressens une douleur physique. Aussi, je suis fragile, je suis une larve, je suis presque avec que de la peau sur les os. Mes épaules sont vraiment sensible. Je suis une gringalette. Mes épaules sont les parties les plus faibles de mon corps. Je mets enfin mon haut de pyjama. Heureusment qu'il n'y avait personne d'autre parce que la poitrine à l'air n'aurait rien arranger à mon cas. Les rideaux sont fermés donc personne n'a rien pu voir. Je finie d'enfiler mon haut et me couche dans mon lit. Je fais doucement parce que mes épaules me torturent. La crème brûle. Je mets mon alarme et m'endors par fatigue et par forte émotion boulversant mon équilibre.

Je me réveille par cette alarme stridente. Je l'éteinds directement. Premier sentiment, douleur. Mes épaules dès le réveil me font attrossement mal. Je sors de mon lit. Je vais dans ma salle de bain. Je me déshabille, entre dans la douche, me lave, sors, me sèche doucement les épaules et puis le reste du corps, m'enroule d'une serviette, sèche mes cheveux, m'habille, mets du fond de teint sur mons suçon, mets de la crème sur mes épaules et un peu de fond de teint aussi. Je cache ce qu'il faut caché. Le fond de teint marche bien pour une fois, enfin sur mon suçon. Sur mes épaules ce n'est pas ça mais sa cache comme même un peu.

(Ma tenue: http://www.polyvore.com/tenue_21/set?id=120562822 )

Je prends mon sac et pars. Je ferme la porte à clé et pars définitivement. Sur la route, c'est toujours les mêmes regards insésents. Tous ses regards immatures, jaloux, rageux, déspérés, sans espoir, sans joie. Tous ses regards sans sens, sans vie. Je ne baigne pas dans le même bain qu'eux. je n'ais pas le même regard, le mien l'était avant mais des étoiles l'ont embellis et le font briller. Je marches jusqu'au studio. Il n'y a pas de fans devant aujourd'hui. C'est parfait. Aujourd'hui est une journée comme les autres que je vais rendre différente, je vais la changée, je vais travaillée mais surtout détruire cette personne. Je vais le détruite plus qu'il ne m'a détruit. Je remarque alors que j'ai mis un legging Batman et qu'il adore ça. Je vais jouée avec ça aussi. C'est la fois une bonne et une mauvaise idée. Je fais un passage rapide au toilette. Mon suçon n'est pas visible, et j'ai un pull donc je ne peux pas vérifiée si on voit mes mauves. Je ne l'enlève pas, j'aurais trop mal. Je sors des toilettes et pars dans le studio d'enregistrement. Je pose mon sac. Je dits bonjour. Aujourd'hui: écriture et chanter une chanson ou une partie. On commence par l'écriture. L'inspiration sur la langue et au bout des doigts, je dessines des mots sur les feuilles, une encre noir écrivant mes mots cherchés et sortis à peine pensée. J'en écris une et puis deux et pour finir trois avant le repas de midi. Je finie tout pile avant la seule pause probable de la journée. Je pars prendre quelque chose à manger dans un café pas très loin du bâtiment. Je ne vais pas retournée chez moi, de toute façon je n'ai rien à mangée. Il serait peut-être temps que je fasse un peu les courses. J'entre dans la café et un homme m'ouvre la porte. Je regard qui c'est et non pas lui. Pourquoi moi? Pourquoi lui? Pourquoi tout simplement?

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