Never Chance Chapitre 18

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Mini-fiction: Never Chance

Chapitre 18

Je vais donc le rejoindre et vois devant moi...Selena Gomez. Je n'arrive pas en croire les yeux. Elle est encore plus magnifique en vraie qu'en photo. Je l'aime bien depuis que je suis petite. On a à peu près le même âge.

Simon: Je te présentes Selena Gomez, vous allez faire un duo ensemble pour ton deuxième album. C'est elle qui a t...enue à faire un duo avec toi. Elle m'a supplier et hacelé pour que j'accepte.

Moi: Merci. Je ne sais pas quoi dire.

Selena: Ce n'est pas grave. Bonjour, je suis ravie de te rencontrée c'est un honneur.

Moi: Bonjour, je suis ravie et honnorée de faire ta connaissance.

Selena: Ca va?

Moi: Oui et toi?

Selena: Oui et si nous nous mettons au travail?

Moi: Avec plaisir.

On écrit la futur chanson. Elle parle d'amour. D'un amour déchu, d'un amour destructeur. On est un peu dans le même cas. Pour elle avec Justin Bieber ca ne va plus, ils ont rompus. Elle hésite à retournée vers lui ou à attendre qu'il vienne par lui-même. Je lui ais conseillée d'aller vers lui parce qu'il est rempli de fierté et n'osera pas venir vers elle. Ils s'aiment tout les deux, ils ont besoin l'un de l'autre. C'est comme pour lui et moi. La chanson sera calme, posée, triste, douce. Elle sera ténébreuse et mystérieuse comme ça. Ce sera une chanson d'amour triste. Nous avons presque terminé d'écrire la chanson. Il ne manque plus que deux rimes dans le dernier couplet. On va essayer de trouvé pour demain. On a bien rigole et on c'est beaucoup rapprocher. Je rentres chez moi complétement morte. Je suis de plus en plus fatiguée. Je ne fais que commencer ma carrière. Ce n'est pas normal. Je suis peut-être en manque de lui, en manque d'amour, en manque de vitamines, en manque de nutriments, en manque de quelques choses de vital. Je tombe dans une follie meutrière qui va m'anéantir plus que je ne le pourrais être. J'y suis tombée il y a longtemps et je ne m'en rends compte que maintenant. Me faire du mal parce que j'en fais autour de moi est une follie qui me tue dans tout les sens possibles. Je me suis remise à faire des petits points avec une lame sur ma peau, à gratter jusqu'au sang, à me faire vomir, faire trop de sport. Je me fais du mal sans même le vouloir, je me fais du mal inconsciament. Je ne l'ai pas croiser. C'est mieux parce que je ne dois pas avoir une belle tête. Je ne dois pas du tout être présentable. J'entre dans mon appartement, pose mon sac et m'allonge sur mon canapé. La main sur mon front brûlant, je respire de manière saccadée parce que je n'arrive pas à avoir un rythme régulier. Je sens quelques choses montés dans ma gorge. Un liquide provenant de mon estomac. Je me lève te cours jusq'au toilette et y régurgite dans les WC tout de ce que j'ai mangée aujourd'hui. Je m'essuies et me rinces la bouche, je tire la chasse et prend un seau et des essuies et pars dans ma chambre. Je pose un des essuies sur mon lit, un autre au sol à côté de mon lit et un autre de l'autre côté de mon lit et un dernier sur mon oreiller. C'est comme ça que mettais ma mère, les essuies quand j'étais malade. A chaque fois que je me sentais pas bien, ils sortaient la panoplie. Mes parents ont toujours été surprotecteur contre les maladies. Il suffisait que je tousse et il me préparait déjà tout contre la brique. Je trouvais que cela m'éttoufais mais maintenant je suis un peu en manque de cette attention. Je repars dans la salon, allume la télévision. Je m'allonge dans le canapé et dépose une couverture sur moi. Le seau à mes pieds en cas d'urgence. Comme je me sens pas trop bien allongée, je m'assoies en petite boule dans un coin du canapé. La sonette retentit. Je pars ouvrir avec mon seau dans les mains. J'ouvre et vois que c'est...

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Suite à un commentaire et un vote. :) Il est court, et le suivant aussi, mais les prochains seront plus longs. :) Désoler pour les fautes d'orthographes.

Never Chance||o.dOù les histoires vivent. Découvrez maintenant