LABYRINTHE DE L'AMOUR

17-Assommement.

De l'autre côté, Marius était déjà sur le chemin à la recherche des deux confidentes. L'heure harassante filait comme l'eau de ruissèlement, Marius était à la plage mais aucune silhouette des deux ne fit remarquer. Il montrait même la photo de son enfant à tous ceux qui s'y trouvaient sur son chemin.

Incoercible était Marius à la quête de son enfant. Soudainement, son téléphone portable notifia un message.

Précipitamment, il ouvrit le contenu. Il n'en croyait, il fut hébété à tel point qu'il demeura planté sur ses jambes. Les pieds mollissant, il n'en croyait pas.

Ç'était la photo des deux copines allongés par terre avec un message en dessous dont le contenu est : « j'ai trouvé ces deux jeunes filles par terre auprès de l'océan atlantique sous le pont du marché Dantokpa, veuillez-vous rendre sur les Lieux pour les ramener à la maison. Le grand Marius, le temps file, viens vite au lieu sinon tu vas perdre ces deux innocentes filles».

Aussitôt fini de lire, il balança le message sur le portable de Huberte.

Elle et son Mari aussi n'avaient pas retrouvé les enfants sur les lieux. Elle tenait en ce moment le combiné téléphone lorsque le téléphone signala un message. Elle décachèta le fond simultanément lorsque ses quinquets vu la photo.

Pris au dépourvu, elle n'en pouvait pas supporter. Sa respiration s'est affaiblie. La bouche ouverte dans les nuages, elle s'est retrouvée dans une contusion à la panse qui lui a, enlevé la respiration et lui a fait presque perdre connaissance sur champs. Elle fût automatiquement conduite à l’hôpital le plus proche.
Son marie ne comprenait rien, il tourna et vu sa femme allonger par terre puis elle s'évanouit. Elle s'est évanouie comme un silphe.

Elle fût automatiquement conduite à l'hôpital le plus proche. Après avoir examiné la patiente pendant un laps de temps, elle s'est retrouvée enfin mais elle lui faut du repos laissa le docteur dans le lobe d'oreille de Léonce avant de rejoindre son bureau.

Le coup n'était pas assez moins pénible pour elle. Elle n'avait pas supporté juste cette photo qu'elle avait vue. Les yeux rivés sur sa femme dans le sérum, Léonce contemplait sa dulcinée.

Il faillit se pincer. Il ne rêvait pas ses situations, sa femme sur un lit d'hôpital au moment sa fille est portée disparue. Quel labyrinthe énigme pour Léonce.

Très pénibles, d'emblée il ne pouvait pas tenir aussi longtemps, qu'il l'aurait souhaité agripper compagnie à sa femme, qui aurait besoin de soutient. Un silence de plomb venait d'accueillir son physicisme absolue, le peu de confiance qu'il avait fut disparaitre en un si peu de temps mais aussi déterminé est-il maintenant. Ç'était au fait un silence qui lui a piqué juste les mots, qui lui a paralysé en un  tantinet de temps. Il venait de comprendre pourquoi sa dulcinée est dans cet état.

Se levant précipitamment au chevet du lit de malade de sa femme, Léonce se précipita pour se retrouver hors de la pièce sans prendre la peine d'expliquer ce qui se passait réellement au docteur sous l'effet de l'angoisse.

Le vent alizé glacial de le harmattan lui hautain et lui flagellait le visage mais Marius n'en avait cure. Il arpentait et patrouillait les stations aval à la recherche d'un véhicule ou moto.

La tournure et l'expression de son visage provoquait un grincement, un sur-relèvement tel qu'un haussement de sourcils chez les passagers et piétons qu'il apercevait. Il marchait d'un pas impulsif, fougueux, énergétique mais irascible.

Oublieux du reste du monde, ses pensées étaient uniquement sur sa fille. Comment s'y rendre au lieu.
Tout à coup par la grâce de Dieu, un taximan klaxonna et le ramena de ses pensées. Il indiqua sans attendre que le
chauffeur lui pose de question puis monta dans la voiture.

Après quelques minutes, voici Marius déjà sous le pont de Dantokpa à la recherche des deux copines. Il promenait ses regards au bord de la plage mais tourmenter, le cœur en mouvement si bien qu'il était impossible de connaitre sa trajectoire et son champ de vision. Tout était imprécis pour lui et l'environnement autour de lui.

Abstrait, il ne savait même plus où sa conscience était placée.

C'est extravagant de ne pas pu dire où était placé son Moi ! Embrouillé mais on pouvait imaginer qu'il est comme un assembleur de nuées au moment où sa jugeote s'est laissé envahir par le surmoi. Nonobstant ça, on sentait la flamme du courage en lui. Il prit le courage et agrippa son mobilophonie puis lança le numéro qui lui avait envoyé de message.

Ecœuré de constater que la ligne ne marchait pas même après plusieurs reprises. Il continua son aventure dans le sable de rivière malgré que l'obscurité y règne.

La lune projeta une lumière sur la planète en ce moment. Cette lumière rasante fait paraitre alors, la luminescence dans le noir ébène, très intense les nuées dans certains endroit de la plage. Toutefois il existait en réalité, une ombre qui le guettait. Une ombre qui le voulait dans son champ de gravité, dans son alpage clos, où elle sera digne d'être honorée caïd. Une ombre qui faisait partie de la bande des gangsters qui ont kidnappés les deux enfants.

Écumé, il ignorait qu'il devrait être prudent.

A sa pendule à main, il sonnait 21h 05' lorsqu'un message lui parvint. Comme guidé virtuellement selon ce qu'il a lu dans le message, il s'engagea donc dans son aventure à inconnue sans issue, pour se retrouver quelques minutes après dans une zone assez éclairée. Ignorant de toute manière qu''il est poursuivi par une ombre qui essayait de l'attirer dans un guet-apens.

N'ayant plus aucun recours que de se laisser amener lorsqu'il y a une lumière, il avança d'un pas, puis d'un autre. Déjà les battements veineuses ne sont plus à l'habituel. Mille films traversèrent son esprit en un éclat. Des questions à n'en plus dire, que va-t-il se passer, le monde changera-t-il de couleur dans quelques instants ? La meilleure manière de le savoir est de progresser plus vers la lumière qui tortillait juste à six coudés de sa rétine. Le jeu d'inspection auquel jouait, ses yeux fut interrompus. Soudain.

Les lumières se sont éteintes...... Non plutôt les yeux de Marius venaient de se fermer après qu'il est pris un violent coup de matraque sur la nuque.

Merci de laisser vos avis.

Bonne soirée.