Apocalypse Tome 1 L'Ultime Alliance

Chapitre 43: Se sentir vivant

PDV de Diane

Je m'étais rendue dans la salle de bain de mes appartements pour prendre une douche. Je regardai mon reflet dans le miroir. Mes cheveux étaient colés par le sang, j'avais des égratignures sur mon visage qui commencaient à cicatriser et mon genou, bien que je n'ai plus mal grâce à la magie de mon père était couvert de sang séché. J'allais avoir un plaie pendant plusieur semaines peut-être. Je rentris sous la douche et savoura ce moment ou l'eau chaude carressait mon corps. Une fois sortit je m'habillia rapidement d'un pantalon noir et d'un haut rouge après avoir désinfecté les plaies de mon corps. Je séchai mes cheveux et les attachai en une queue de cheval haute. Je sortit ensuite de mes appartements pour regagner le bureau de Lucifer. Cependant dans le couloir je surpris une conversation venant de Samaël et de Perséphone...

-Je suis désolé... dit le démon à la cape noir, je me suis sentit obligé d'aller la revoir, je voulais voir si Théo était capable d'un tel acte.

-Et tu était obligé aussi de l'a courvir de cadeaux? répliqua la démone à la tenue provocante, j'ai toujours été sincère avec toi!

-Je le sais c'est pour ça pour ça que je te demande pardon!

-Et tu crois que je suis prête à l'accepter ton minable pardon?!

-Voyons Perséphone c'est pas comme si que j'avais couché avec elle! Il n'y a rien eut entre nous!

-Mais tu as essayer de la séduire! Toute façon je me casse.

Alors que la démone descendit les escaliers je décidai de rentrer dans le bureau.
Des bouteilles d'alcool étaient posés sur le bureau, un silence lourd et pesant y régnait. Les regards se tournerent vers moi. Je leur souris poliement. Luicfer me rendit mon sourire alors que je vis son regard me dévisager entièrement.

-Nous allons y aller assura Raphaël en se levant suivit de Michel.

-Merci pour ce remontant, souria poliement Michel en déposant le verre sur le bureau.

Lucifer hocha de la tête. Raphaël ouvrit la porte de la pièce et Michel me serra la main et me dit.

-À plus tard Diane, tu t'es bien battu.

Je lui souris et le saluai à mon tour.
Mon père se leva suivit de ma mère. Il lui sourit alors que les deux autres archanges étaient déja sortis dans le couloir.

-Je plaiderais ta cause auprès de Théo dit mon père d'une voix douce à ma mère, tu redeviendras bientôt une démone

Celle-ci hocha la tête et le prit dans ses bras. Mon père s'approcha ensuite de mon moi et déposa un baiser sur mon front.

-Je t'aime ma chérie.

-Moi aussi Papa.

Une fois les trois archanges sortis ce fut au tour de Léviathan et de Samyaza. Nous étions plus que trois dans cette pièce.
Ma mère s'approcha de moi et pris mon visage entre ses mains.

-J'ai eut si peur pour toi ma fille... J'ai crut que j'allais te perdre, tu ne peux pas savoir comment c'était horrible d'être le jouet de ce monstre. Je ne contrôlais plus rien...

-Je le sais Maman... souriais-je en passant une main dans ses cheveux immensement longs.

Je regardai Luicfer prendre la direction de la sortit.

-Ta chambre est au bout du couloir Helena, annonça t-il avant de s'éclipser.

Ma mère murmura un merci.

Je regardais ma mère dormir paisibment dans son lit. J'étais assise en face d'elle sur un fauteuil. Il était onze heures et quart. Nous avions parlé pendant plus d'une heure et elle avait succomber aux bras de Morphée. Avoir été possédée avait du la priver d'une partie de sa force vitale. Je sortis donc à pas de chat.
La chambre de Lucifer n'était pas très loin et je distingai la porte entre-ouverte. Je décidai de passer le voir. Je poussai doucement la porte. Je le vis assis sur un fauteuil, un livre à la main. Il s'était changé et été en peignoir. Il leva la tête dans ma direction. Il parut surprise. Agréablement surpris.

-Diane?

-Lucifer, le saluais-je en souriant et en entrant totalement dans sa chambre, un livre de sort c'est cela?

Il éclata de rire.

-Pas vraiment non...

-Je ne te savais pas "rat de bibliothèques" me moquais-je en m'approchant davantage de lui.

Il esquissa un sourire et me montrit la couverture: Manuel des Sept Péchés Capitaux
J'haussai les sourcils intriguée et le pris dans mes mains lorsqu'il me le tendit. Je feuilletai quelques pages et me souvins d'un livre que m'avait parlé Damien lorsque nous étions sur Terre. Un livre que Luicfer avait écriy.

-Je ne te savais encore moins écrivain ajoutais-je.

-Comment tu sais que c'est moi qui l'ai écris!

-Parce-que l'on m'a vanté tes talents d'écrivains mais aussi parce-qu'il n'y a que toi qui pour écrire un truc pareil

Il riatde nouveau et je repris.

-Ce n'est pas un narcissique de ta part de lire ton propre livre?

-Le Diable à besoin d'être narcissqiue m'assura t-il.

Je posai l'ouvrage sur le petit bureau et contournai le fauteuile pour venir me retrouver derrière lui. Je me penchai et déposai mes mains sur ses épaules.

-Mais Lucifer, lui qu'est-ce qu'il à besoin?

Il tourna sa tête dans ma direction. Je commença doucement à lui masser les épaules.

-D'un peu de compagnie peut-être? me dit-il d'un air innocent.

-De la compagnie? c'est tout?

Il posa sa tête sur le fauteuil et fermai les yeux. Au moment je m'en attendait le moins il m'attrapa et me posa sur ses genoux. Je poussai un petit cri de surprise. Dans la brutalité de son geste son peignoir s'ouvrit quelques peu et je vit son torse musclé. Une vague de chaleur s'empara de moi.

-Et cette compagnie là, elle te plait? me demanda t-il d'une voix rauque.

-Je ne sais pas... sussurais-je en posant mon index froid sur son torse, il faudrait peut-être me montrer concrètement à quoi elle ressemble cette compagnie...

Il affichait un regard brulant d'envie et d'un geste de la main la porte se referma grâce à sa magie.
Ses main vinrent se poser sur mon haut rouge et il déposa ses lèvres sur les miennes. Je répondis à son baiser en savourant ce contact. Je sentis sa langue carresser mes lèvres et je les ouvrit afin d'approfondir notre baiser. Et puis je me levai doucement et il me suivit. Nous nous dirigeâmes auprès de son lit. Nous avions besoin de nous sentir revivre après ce que nous avions vécus aujourd'hui. Je n'étais pas passé loin de la mort et j'avais envie de me prouver que la vie méritait d'être vécue.