Liaisons dangereuses.
J'ai baigné dans le ciel d'obscure pensées qui s'était un jour ancrées dans tes yeux.
J'étais si proche de ton regard, mes yeux se sont tant plongés au fond de tes paupières , mes mains proches de tes hanches galbant tes courbes.
Depuis l'éternité, l'aurore n'a jamais rejoins le crépuscule et moi je n'ai jamais su te garder dans mes bras.
Je me souviens qu'il t'arrivais de te perde dans ton propre fond ,et dans une mégarde qui t'étais presque singulière ,tu attrapais cette fièvre de ne jamais te savoir heureux.
J'ai contemplé, à mon tours ton esprit, comme quand l'on regarde la mer s'écraser sur la rive sans avoir la force de stopper cette vague.
Lorsque que tu es partie, il ne me restais plus que le ciel.
Ce ciel que j'ai tant de fois foulée en un battement de cils comme si je voulais t'y retrouver
