Lettre n°4 : Réponse

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Bizarrement, ma lettre est arrivée fermer. J'ai demandé au gardien pourquoi elle n'avait pas été ouverte. Il m'a répondu que le directeur avait dit qu'il n'y avait aucun danger sur le contenu de tes lettres. Donc j'étais m'allonger sur mon lit, le dos face aux grilles. Putain ! Quand j'ai lu sa lettre, j'avais une érection d'enfer.
J'ai pensé à cette feuille que j'avais laissée dans une de mes poches toute la journée. Vu que les gardiens faisaient souvent des fouilles dans les cellules, je ne voulais pas qu'ils la trouvent . Cette nuit, je me suis touché en pensant à lui. En m'imaginant avoir ma queue profondément enfuie dans sa gorge. C'était bon ! Si bon ! Trop bon ! Que j'ai éjaculé en quelques minutes. Mais pas une fois, plusieurs fois.

« Siorenzo

Ta lettre m'a fait bander comme un cheval. Tous ce que tu as écris était bandant.

Je me suis masturbé en pensant à toi. Il ne m'a fallu que quelques mouvements avant que je n'éjacule comme un puceau. Oh, c'était trop bon ! Je dois t'avouer que je ne suis pas quelqu'un de brusque dans mes rapports sexuels. Je suis doux, attentionné et attentif au désir de l'autre. J'espère que tu n'as pas un penchant pour les dominants au lit qui n'ont aucun respect pour leur compagnon. Car je ne pourrais devenir comme cela. Je suis un sentimentaliste dans l'âme. C'est à mon tour maintenant de t'écrire. Tu es prêt à cela et à bien d'autres choses :

Pendant que tu prends ta douche, je te regarde assis sur une chaise dans ta salle de bain. Tu te laves le corps et pour ton cul tu prends un peu plus de temps. Plus je te regarde et plus je suis excité. J'ai une trique d'enfer. Je me sens de plus en plus à l'étroit dans mon boxer.
Alors que tu es dos à moi, je me lève et j'ouvre la porte de la douche. Je me mets à genoux derrière toi. Je plaque mes mains sur tes fesses que j'écarte doucement. Ma langue les effleure avant de descendre vers ta rosace. Là, je la caresse tendrement. En entendant tes gémissements, je plonge la langue dans ton petit trou serré.

Puis je la ressors et je lèche. Je le suce plusieurs fois d'affilée. Tu gémis de plus en plus et ça m'excite comme je n'ai jamais été.
Je relâche ta fesse droite pour venir caresser ton ventre tout en descendant vers l'objet de mes fantasmes. J'empoigne ton pénis, le serre et fais des mouvements de haut en bas. Ta respiration se fait de plus en plus rapide.
Ton trou se dilate quand j'enfonce encore ma langue. J'aime comme ton trou se resserre autour d'elle. Je la fais bouger à la même cadence de ma main sur ton pieu. Tu me dis que c'est bon ? Et tu en réclames toujours plus. Tes cris et tes paroles incompréhensibles que tu lâches sans t'en rendre compte, me rendent fou de désir. Je sens ton cul se resserrer violemment sur ma langue et ton dard se contracter méchamment dans ma main. D'un rapide mouvement, je retire ma langue et je te retourne. Tu grognes de frustration. Je continue à faire des va-et-vient sur ton sexe tout en te regardant droit dans les yeux. Ta respiration est douloureuse et tu essaies de parler mais tu n'y arrives pas. Brusquement, tout s'accélère et tu éjacules. Je reçois ton fluide partout sur mon visage. Je m'empresse de le lécher sur ma bouche.

De mon autre main, je le ramasse sur mon menton et mon torse et je le prends dans ma bouche tout en te fixant. Tu émis un petit bruit de la gorge. Je te lâche enfin tout en me relevant. Je te laisse sur ta faim.
Et comme tu l'as si bien écrit, nous en restons sur une fellation pour le moment.

PS: Oui, je peux recevoir des visites. Pourquoi tu voudrais venir me voir ? Pour pouvoir vraiment le faire ? J'ai hâte de lire ta lettre brûlante, mon ange gardien.

Sharkan. »

Je plie la feuille et je la place dans l'enveloppe que je peux refermer maintenant que le directeur ne souhaite plus vérifier les contenus des lettres. Etrange ?!

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