[TERMINER][Katsudeku] amour secret Tome 1

Chapitre 9

PDV izuku;

Avant que katchann viennent habiter chez moi j'allais de temps en temps à un endroit magnifique. C'était une fontaine sous un arbre. L'arbre était immense. Je masseyer souvent au bord de la fontaine et je rêvasser pendant plusieurs heures. Ma mère me le reprocher souvent mais dans ces moments je ne pensait pas au problèmes qui m'entourait. Depuis que kacchan a disparu, j'y vais tous les jours. Aujourd'hui encore j'y vais. Je marche là tête basse en traînant des pieds. J'ai n'ai qu'une chose à l'esprit, mon kacchan. Je relève la tête lors ce que je le trouve à quelque mettre de la fontaine et trouve son corps allonger, inconscient, peut être mort. Je me rue vers lui en pleur, je vérifie qu'il soit toujours en vie, il l'est. Je prends son sac l'ouvre et sort des habits je ne peut pas le laisser en caleçon dans la nuit. Je pleure de joie, de tristesse, de confusion, de colère, d'anxiété... je le prend dans mes bras et le porte jusque chez moi. Quand me mère ouvre elle m'aide directement à rentrer le corps de katsuki. Je me remémore la scène où je l'ai trouver allongé tout en le regardant dormir sur mon lit. Ces jambes... il y avait des marques... jetait trop préoccuper de le revoir pour y prêter attention. Je m'approche du lit et baisse son pantalon. Si il se réveille à ce moment là il pourrait prendre les choses très bizarrement. Ses jambes sont parsemer de bleu et de griffure. Pourquoi ne l'ai-je jamais remarquer avant? Je lui retire son teeshirt pour voir si le haut de son corps et dans le meme états... c'est encore pire il a de grande tache violette. Mes doigts parcourt son torses et remonte petit à petit jusqu'à sa joue. Mon visage est très proche du siens et mes yeux dévisage ses lèvres qui on l'air si agréable.

Katsuki: t'a l'air de bien les aimer mes lèvres...

Je recule d'un bond et sent mes joues me brûler.

Katsuki: j'ai tord?

Je m'approche lentement de lui qui tente de ce redresser. Je plaque ma main sur son torse et le cloue au lit. Mon visage s'approche lentement du siens. Seul quelque centimètre sépare nos lèvres. C'est lui qui les brises.

Chapitre court désolé. Ciao les rheys