Chapitre 1

50 6 9
                                    

Encore seul dans les couloirs, adossée au mur, les genoux à niveau de ma tête enroulée par mes deux bras ma tête posée sur ceux-ci, les larmes ruisselant sur mes joues puis s'écrasant au sol. Les souvenirs refaisaient surface, les coûts, les insultes sous ces pensées mon cœur se serraient. J'étais seul complètement seul. Seul face au autre. Seul face au monde. Est-ce qu'un jour la douleur se stopperais pour laisser place à un sentiment que je n'ai que trop peu connue: le bonheur. Le bonheur d'avoir des gens qui m'aiment, me protègent, avec qui je pourrais ressentir de l'amour et me sentir en sécurité. Ne pas vivre dans la peur, les pleurs. Je sortis vite de mes pensées quand j'entendis des pas surgirent du fond du couloirs et ce rapprocher de plus en plus de moi je n'eut pas le temps de comprendre qu'une personne se mit devant moi m'empêchant de bouger, je relevas la tête et vis une personne que je ne connais que trop bien une personne qui me fait vivre un enfer depuis deux ans. Une personne assez forte pour avoir réussi à embarqués tout le monde dans sa haine envers moi. Je n'ai jamais compris pourquoi moi ? Je sortis rapidement de me pensées quand elle attrapa mes cheveux et les tiras pour que je me retrouve allonger sur le côté, elle commença à me donner des coups dans le ventre des gouttes de sang sortait de ma bouche ma tête commença à me faire mal et je commençais à voir du noir mais j'entendis tout de même une voix assez grave et des pas tapant sur le sol ce qui fit résonner les murs. Puis soudain, plus rien plus de coûts, le noir total. Serait-je morte ? Serait-ce la fin de l'histoire de ma vie ? Mais ma vue reprit son cours et commençait à distinguer des silhouettes qui ne devenait qu'une. Je commençait à me lever très difficilement avec le mal de côtes. Je sentis une masse et de bras s'enrouler autour de moi et un souffle chaud s'écraser au creux de mon cou. Je ne bougeait plus j'étais figer une personne était en ce moment en train de me faire un câlin. La personne s'écartât. Je vis un jeune homme sensiblement du même âge que moi, un sourire rectangulaire scotchés au visage, un sourire je dirais rassurant et plein de compassion. Il avait des cheveux noir qui contrastait parfaitement avec sa peau clair mais sans imperfection les traits fin comme si on les avait si dessiner au crayon, ses lèvres roses mais fines. Et ses yeux bridés jusque comme il le faut, noir profond t'entraînant au fond dans laquelle tu te reflétais à merveille, son visage inquiet et tout mignon à la fois semblait passer par toute les émotions, je réussi tout de même à distinguer du soulagement dans son regard une lueur.

Un dernier soupire Où les histoires vivent. Découvrez maintenant