Je regarde mon petit sac posé sur le lit,pour la quinzième fois déjà. Je veut être certaine que je n'oublie rien pour le week-end.
-Tu est certain que je n'ai besoin de rien d'autre? Je ne voudrais pas être prise au dépourvu.
-bébé, si jamais il te manque quelque chose... On auras qu'à aller l'acheter au magasin.
-Arrête de m'appeler comme ça, je ne veux pas de Romy pense qu'on est en couple...
-Oh Aller Max! Tu me laisse dormir dans ton lit mais je ne peut pas t'appeler bébé?
Il s'avance sur le lit, appuyé sur ses mains. Il me regarde avide de quelque chose que je lui refuse.
Je ne peut nier que si Romy étais entrée dans la chambre ce matin et nous avais vue enrouler l'un autour de l'autre, endormie, elle aurais pu croire qu'il était plus qu'un ami. Mais elle n'en avait rien vue, et je voulais que ça demeure ainsi.
Il s'approche toujours de moi, souriant et l'air vicieux dans le regard. Il mordille doucement l'anneau à sa lèvre. Juste à le regarder, je sent une chaleur naître dans le bas de mon ventre. J'ai autant envie de lui hurler dessus d'une rage inexplicable, que de lui sauter dessus pour lui arracher ce jean moulant de son corps.
-Samuel! Arrête un peu de jouer les lubriques! Si tu est pour agir ainsi tout le week-end je vais rester ici! Ont a dit AMI!
Je roule les yeux d'exaspération et je passe mes doigts dans mes cheveux pour les retirer de mon visage en soupirant. Je sent que ma volonté va être mise à rude épreuve durant c'est trois jours avec lui. Il se redresse, et me regarde droit dans les yeux avec un air de défiance.
- Et bien chère « amie »... si tu roule encore une fois des yeux devant moi... Je jure que tout L.A. vas croire que je suis plus qu'un ami tellement je vais te faire crier de jouissance. Tu as de la chance que je sache si bien me contrôler parce que je te baiserais comme un malade toute là journée!
Il se laisse rouler sur le lit les mains derrière la tête et j'éclate de rire. Même si ça façon cru de me dire son désire pour moi me choque un peu. J'aime ça façon de me faire ressentir à quel point il me veut malgré mon refus. Je remarque le renflement dans l'entre-jambe de son jean et je comprend que son corps aussi me désire.
Je me retourne vers la grande porte miroirs de la garde-robe et j'observe mon reflet. Je ne comprend toujours pas pourquoi il me désire à ce point. Je n'est rien d'extraordinaire du haut de mon un mètre soixante-deux. Mes seins ne sont pas très gros dans leur bonnet B mais il sont encore, grâce au ciel, bien rebondi malgré la maternité. J'ai les hanche peut-être un peut trop large à mon goût et les fesse un peu trop ronde. Mes cheveux brun sont ondulé, et la pointe dépasse maintenant la base de mes seins. Mes yeux vert non rien d'extra et j'ai le nez un peu retroussé. J'ai l'impression d'avoir un petit nez d'elfe.
J'aime bien mes lèvres par contre, bien définie avec ma lèvre inférieure juste un assez pulpeuse pour être sexy. J'ai un style vestimentaire très ordinaire, très Casual. Il y a déja un moment que j'ai opté pour des vêtements plus confortable que beau. Mon maillot de basket rouge en guise de tunique superposer a mon legging capris noir en témoigne assez bien.
Il y a une chose que j'adore sur moi et se sont mes tatouages sur mon bras gauche. Un tourbillons de fleurs, sept, toute en noir et blanc pour chaqu'une des années de couple avec Lucas, et quatorze petit crâne de squelette dessiminer au travers de la foret de fleur, pour la date de sa mort, le 14 novembre. sur mon poignet il y a aussi le nom de Romy et la phrase '' Tu n'est plus la ou tu était mais tu est partout ou je suis'' juste dessous. Il n'y a aucune couleur, que du noir et du gris mais je les adores tous.
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Dans tes yeux {En Cours}
General FictionAprès avoir subit la perte tragique de son amour de jeunesse il y a 5 ans, Maxim 27 ans, mère monoparentale d'une fillette de 7 ans, vie encore difficilement son rapport à l'amour. Croyant sa vie amoureuse terminée à jamais, elle vie enfermée dans s...