19. Samuel

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Je regarde cette femme, si petite et si fragile à la fois, qui se trouve entre mes bras. Il y avais bien une heure qu'elle c'était endormie, sa tête appuyé sur moi.
Bon Dieu qu'elle est belle cette femme! Ses traits si doux et fin. Elle a mon âge, mais elle semble tout juste au début de sa vingtaine. J'adore tout chez elle, ses yeux gris-vert qui semblent changer de couleur selon son émotion du moment, et qui dans certaine occasion laissais paraître une petite tâche presque rouge dans l'un d'eux. J'aime passer mes doigts dans son épaisse tignasse brune un peu bouclée, elle me fait penser à une lionne. Tout à fait en harmonie avec son tempérament de feu qui pouvais me pousser dans mes derniers retranchement quand elle le voulais. Cette fille pouvais réveiller en moi des sensations et des émotions que j'avais repousser depuis longtemps.

Je la regarde dormir, toujours sous le choc de ses dernières révélations. Je n'arrive pas à croire que cette femme avais pu en arriver au point de vouloir mourir. Elle parait si forte, toujours en contrôle de son univers. J'avais l'impression que la perte de se contrôle était la raison de ses colère. Apprendre que la douleur et la peur en étais la raison m'avais perturbé.

Je savais bien que tout le monde avais ses problèmes, mais je n'aurais jamais deviné qu'elle avais un tel mal être en elle. Elle en avais tellement baver déjà, avec tout ce que la vie lui avais envoyer sur la tête. Elle méritais d'être couverte de diamant comme une reine. D'être le centre de l'univers de quelqu'un qui prendrais soin d'elle jour et nuit. J'ai réellement envie d'être cet homme, mais le connard que je suis en était-il seulement capable? Et autant dire que la barre est haute si je me fie au description de Lucas.

Je caresse les petites marque bleutée sur son poignet, elles sont discrète presque imperceptible, mais je me maudis en silence. J'étais la cause de c'est horrible traces sur sa peau légèrement hâler de sa semaines passer à Los Angeles.

J'étais tellement stupide quand je m'y mettais, j'ignorais pourquoi j'avais tant abuser de l'alcool, l'habitude peut-être? je l'avais laisser seule à elle, même au travers de cette meute de loup affamé. J'avais tellement eu envie d'éclater la belle gueule de connard de Dom lorsqu'il l'avais remarquer une lueur de désir dans les yeux. Il avais grave abusé lorsque je l'avais présenté au groupe de mec qui étais là, à lui mater le décolleté son air lubrique à la gueule. Ce salopard désirais toujours ce que je possédais et l'éloigner d'elle avec une série de shots de tequila me semblais la solution la plus simple.

Si j'avais su que Masha allais la faire chier avec ses conneries. J'aurais dû l'amener marcher sur la plage, sous les étoiles... ou direct la ramener à la maison et lui faire comprendre avec des gestes ce que je n'arrivais pas à lui dire.

Je n'arrive pas à croire que j'ai pu lui faire mal et la menacé comme elle me l'avais décrit. Forcément j'avais du admettre que les traces sur ses poignets avais la parfaite symétrie avec mes propres doigts.
Et ma mère qui l'avais découvert. Il y avais des années que je ne l'avais pas vue aussi en rage contre moi. La dernière fois c'était lorsque j'avais foutu une branler mémorable à ce salopard qui me servais de géniteur.

Ce soir la il étais rentré à la maison encore bien bourré, et ma mère ne l'avait pas attendue pour ce coucher, pour une fois. Et ce salaud l'avais réveillée en pleine nuit pour lui donner une correction. Le gamin de 17 ans que j'étais avait complètement perdu les pédales et c'était les policiers qui avaient dû m'arrêter de lui taper sur la gueule.

Un mois plus tard nous étions dans un avions en direction de l'Amérique. J'avais tellement de rage. Tellement de haine, envers lui qui tapait ma mère, envers elle qui était faible face à lui, et envers moi qui n'avais jamais rien fait avant.
A mon arrivée au état-unis, mon accent bien audibles et mon physique avantageux, je dois l'avouer, avaient tout de suite susciter beaucoup d'intérêt envers les filles. J'avais commencer à m'en faire un exutoire, baiser des filles me permettais de me sentir fort, important, et jouer de la musique me permettais de canalisé ma rage.

Dans tes yeux {En Cours}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant