Chapitre 18 : Entente

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Précédemment :

PDV Reby

Nous zigzaguons dans toutes les rues du quartier, Grey au volant, Natus à coté, puis Gadjeel et moi à l'arrière.

En tournant un virage trop brusque, je tombe maladroitement sur Gadjeel, ce qui me procure des rougeurs intenses partout sur le visage. À ma grande chance, il me rattrape avant que je tombe sur une zone un peu plus malaisante, si vous voyez ce que je veux dire.

Reby (rougit) : Désolé, c'est de ma faute si---

Gadjeel (rougit) : T'inquiète, c'est pas ta faute si GREY SAIT PAS CONDUIRE !

Grey (se retourne) : J'tes entendus, connard.

Gadjeel (malicieusement) : C'était le but, justement.

Natsu (roule des yeux) : Mettez là en veilleuse, les gars.

Gadjeel (rigole) : Dit la flammèche.

Reby (roule des yeux) : Incorrigible, ces imbéciles.

Natsu (sourit) : Et fière de l'être.

Gadjeel (boude) : Pff, parle pour toi.

Soudainement, un téléphone se met à sonner. C'est celui de Grey. Peut-être que c'est des nouvelles de Jellal ?

Grey prends son cellulaire, et nous montre l'afficheur.

Grey (perplexe) : C'est un numéro masqué.

Hésitant, il répond.

Grey (curieux) : Grey Fullbuster à l'appareil.

??? : Serais-tu à la recherche de quelqu'un par hasard ?

Grey (froidement) : À qui je parle ?

??? : Tu devrais le savoir, après toutes ces années. J'avoue que je suis déçu.

Tout à coup, Grey freine brusquement, puis serre son téléphone tellement fort que je pense qu'il va clairement le briser. Son expression est ferme, froide et comme s'il s'apprête à exploser.

Grey (d'une froideur dangereuse) : Lyon.

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PDV Luxus

Je roule à toute allure dans les rues serrées de Magnolia, en essayant de trouver toute trace possible qui pourrait me permettre de retrouver Juvia et cette enflure de Lyon. N'ayant aucune piste, je décide de m'arrêter au 8 Island, un petit restaurant calme géré par un propriétaire très chaleureux.

J'y entre et balais la salle des yeux, espérant y trouver la personne que je cherche. L'apercevant enfin derrière le comptoir, je me précipite vers lui, non sans le saluer poliment.

Luxus : Bonjour, M.Yajima.

M.Yajima (sourit) : Ah, mon petit Luxus. Comment vas-tu ? Et ton grand-père, Makarov ? Toujours aussi vieux j'imagine.

M.Yajima est en fait un ami d'enfance de mon grand-père, Makarov Dreyar. Il est le directeur de notre lycée, et M.Yajima a toujours été un peu comme un membre de ma famille.

Luxus (petit sourire) : Oui, le vieux se porte bien. M.Yajima, j'aurais vraiment besoin de votre aide.

M.Yajima (sourit) : Bien sûr, n'importe quoi pour le petits fils de Mabo.

Amour sans limitesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant