Chapitre 18

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Bonjours ! Je préviens dans se chapitre il y aura de la violence ! Vous êtes prévenu bonne lecture !


PDV Murder (Le temps attendu !!!)


Je toise les idiots présent dans cette salle abandonné et je sens la rage faire pulser ma magie avec une subtile touche de... Tristesse.

Ma poitrine se sert et me brule. Ce.... Ce connard ! Je l'avais prévenu, je lui avais dit de ne pas faire de mal à Dust mais appartement il ne peut réfléchir qu'avec sa bite.... Pourtant.... Pourtant il avait l'air de tenir à Dust... Je sert les phalanges autour du manche de mon couteau fétiche. Je vais lui faire mal, lui faire très mal et peut-être qu'il comprendra un millième de la douleur qu'il a infliger à Mon Dust. Et a moi même...

Je fixe la.... Chose répugnante allonger sur une table qui quelque minute au paravent étais dans ses bras et la douleur et la rage monte encore d'un cran.

Je prend alors de l'élan et clou le Jock au sol d'un mouvement rapide pour ensuite m'élancer sur l'immonde créature de luxure.

Elle n'as pas le temps de supplié pour sa vie que j'enfonce d'un coup mon couteau dans la chaire tendre de son ventre. Et au moment ou le sang éclabousse mon visage je me laisse tomber dans la folie qui m'aie si familière. Mon corps bouge seul pour enlevé la vie a cet être qui n'aurais jamais du se mettre en travers de mon chemin. Et alors que je m'acharne sur l'écœurant cloporte, une pensé me vient a l'esprit : Qu'as tel de plus que Dust pour avoir attiré les yeux du stupide fuckboy ?

Rien ! Rien du tout ! Seulement sont corps vulgaire ! Juste une attirance physique !

*j'ai juste une question a te poser...*

Je m'écarte du corps immonde mutilé. Ses yeux sont vides, elle est couverte de sang et de coupure et son teint est devenu aussi blanc que neige.

*Est ce que tu la trouve belle maintenant ?*

Je pars alors dans un fou rire incontrôlable. Non non non non non non non !!!! Plus personne ne la trouveras plus jamais belle ! Elle n'as jamais étés autre choses et quand tu le lui enlève elle n'est plus rien ! Plus rien ! Plus rien ! Juste un tas de chaire encore chaudes !

Je reprend un peu de mes esprit quand on me tire en arrière dans une étreinte forcée.

Je me débat comme un beau diable et la personne me tenant se retrouve avec les bras en sang mais ne me lâche toujours pas. Cependant il est obligé de me lâcher quand je commence à essayer d'envoyer mon couteau dans sa tête.

Maintenant un minimum calmer je me retourne face au Jock et le transperce de mon regard.

- Toi....

- je sui-

- TA GUEULE !!! Ferme ta gueule ! Je veux plus entendre parler de toi ! Je veux plus que Tu m'approche ou que tu approche Dust ! Tu es immonde... Je t'avais donner une règle ! UNE ! Mais monsieur n'est pas capable de penser autrement qu'avec sa bite ! Quand je pense que Dust t'aimait, BORDEL !

Et que moi aussi me murmure une voix que j'essaye d'ignorer. Je ne dois pas être faible maintenant !

Je le vois commencer à pleuré ce qui me provoques un sourire sans joix

"Ta qu'as pleuré connard ! Si tu n'avais pas été si con peut-être que vous auriez pu être heureux toi et Dust Mais maintenant je sais... je sais que tu n'est pas une personne en qui on peut croire.
Tu n'approchera plus Dust et ca j'y veillerais personnellement.

Juste après ma dernière phrase je me dirige vers la porte. J'ai l'infime espoir qu'il me rattrape pour s'excuser et essayer de me prouver qu'il est une bonne personne...















































Mais rien ne se passe. Je sort alors de la salle et une fois dehors je sens de l'eau couler sur mon visage.

Bizarre... il ne pleut pas pourtant.

Amoureux de tes larmesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant