De retour de concerts, le groupe GOT7 assiste à une scène extraordinaire d'une jeune femme se battant avec un voleur dans l'aéroport de Bangkok pour l'empêcher de dérober son sac. Pendant le combat, son sac est éjecté vers le groupe, son portefeuil...
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MARK :
Je suis heureux d'être avec elle chez nous. J'aimerais lui avouer que c'est notre appartement, mais elle va encore mal réagir. Je vais être patient, et je lui proposerais plus tard de vivre avec moi. Je caresse ses cheveux, mon cœur déborde d'amour pour elle. Elle se douche, je passe ma main à la place qu'elle occupait sur le lit. C'est la première fois que je vais dormir dans cet appartement. Je l'ai acheté dans cet état, et je le gardais pour plus tard. Je ne savais pas que plus tard serait aujourd'hui. Elle n'a plus trop de place chez elle, je devrais officialiser notre relation ? Je me mords la lèvre inférieure, j'hésite ! Je ne veux pas qu'elle me quitte à cause de mon impatience. J'aimerais tellement que notre relation devienne plus sérieuse. J'adorerais la présenter à ma famille.
Son téléphone sonne pendant qu'elle est sous la douche. Je consulte et décroche. C'est son père. Il me demande qui je suis. Je me présente comme son fiancé pour le refroidir. Il s'énerve au téléphone et me rappelle qu'il m'avait demandé de ne plus tourner autour de sa fille. Il ne m'apprécie pas parce que je suis une célébrité. Il oublie que tout le monde n'est pas aussi méchant que lui. Je ne fais pas souffrir sa fille puisque je l'aime. Et je suis avec elle moi !!! Voilà tout ce que je souhaiterais lui dire, mais je me calme. Je l'informe que j'informerais sa fille qu'il avait appelé. Je raccroche.
Kalyian sort peu de temps après. Elle s'est enroulé une serviette autour du corps. Je la contemple. Elle se sent à l'aise ici ? J'aimerais que ce soit effectivement le cas ! C'est également chez elle ! Je songe sournoisement. Elle vient s'asseoir près de moi. Elle embrasse ma joue, j'aime cette spontanéité qui la caractérise tant. Je lui rapporte la conversation que j'ai eue avec son père. Elle fronce les sourcils.
"- Je ne l'appellerais pas ! Et la prochaine fois, ne lui répond pas non plus !" Elle me conseille.
Je la fixe étonné. Elle devra pourtant l'affronter un jour, surtout s'il ne veut pas de moi comme gendre.
"- Gendre ?" Elle répète.
Je sors de mes réflexions et je la regarde. Elle me fixe et poursuit :
"- Pourquoi tu parles de gendre ?" Elle me questionne.
"- Heu..... On dirait que j'ai pensé à voix haute. En fait, j'espère bien t'épouser un jour ! Et comme ton père ne m'apprécie pas, cela risquera d'être problématique !" Je lui confie hésitant.
Elle me sourit.
"- J'espère bien que tu m'épouseras ! Regarde moi bien ! Je suis parfaite pour toi ! Tu m'as déjà vue me battre, voilà ce qu'il t'attend si tu t'avise de me décevoir !" Elle me menace en riant.
Je suis heureux qu'elle le prenne de cette manière. Elle a avancé sur ce sujet pour mon plus grand bonheur. L'espace d'une seconde, j'ai eu peur d'avoir dit une énorme bêtise. Elle embrasse mes lèvres, elle se libère de plus en plus de ses frustrations avec moi. Et c'est tout simplement génial. Mais, notre bonne humeur est vite coupée par son téléphone.
Elle décroche à son père. Il la menace si elle ne permet pas à ses sœurs de revenir à la maison. Elle l'écoute s'énerver, puis elle l'achève :
"- Qui êtes vous ? Je ne vous connais pas ! Excusez moi, il s'agir d'une erreur !" Et elle raccroche triomphante.
J'en reste bouche bée. Comment a-t-elle pu parler ainsi à son père ? Elle pince ma joue pour que je décontracte mon visage. Mais, c'est qu'elle devient insolente ! J'apprécie son côté espiègle ! "Mademoiselle Kalyian si vous évoluez de cette manière, vous n'avez pas fini de me supporter à vos côtés !" Je songe.
Elle est trop mignonne. J'attrape sa taille, et la bascule sur le lit. J'arrache sa serviette, et je pose mes lèvres sur les siennes. Nous devons plus passionnés. Il existe un lien très fort entre nous. Et je crois que Kalyian en est au même niveau que moi dans notre relation. Je le sens dans son attitude envers moi. Est-ce que je peux tenter de lui demande de vivre avec moi ici ? Je l'observe, elle me taquine. Je me laisse séduire sans résister. Je me lance ? J'ai peur, à vrai dire de tout gâcher entre nous. Je pense que je dois attendre l'occasion, le moment propice pour cela. Nous nous endormons entrelacés. C'est la plus merveilleuse nuit que je passe avec elle, chez nous. Même s'il n'y a que moi qui le sait. Elle s'est endormie, la tête posée sur mon épaule. Je la contemple amoureux et séduit. Elle est ma petite amie. Je suis heureux et fier en ce moment.
Plus ou moins rapidement, je l'amène là où je veux. Je ferme également les yeux. Nous dormons tous les deux.
Encore ce téléphone qui vibre sur la table de chevet. Il a vibré toute la nuit. Kalyian ne se réveille pas, pourtant il s'agit de son téléphone et il vibre à côté de ses oreilles. Je m'approche lentement pour répondre. Elle arrête ma main.
"- Ne répond pas. Je sais qu'il s'agit de mon père. Il n'a pas arrêté de m'appeler de toute la nuit. Je règlerais ce problème avec lui, plus tard. Je ne souhaite pas te mêler à mes histoires familiales !" Elle m'informe.
Je comprends. Je la serre, donc, dans mes bras. Que c'est merveilleux de se réveiller près de l'être aimé ! J'y prendrais vite goût. Elle se love contre moi, telle une splendide déesse. Je souris, elle me rend fou. Je bloque son corps contre le mien, et je dépose une multitude de micro-baisers sur sa peau, un léger frottement, une légère brise qui la fait frissonner.
Je me lève pour lui préparer un petit déjeuner. Que vais-je bien pouvoir cuisiner ? J'ai demandé à notre assistante de faire les courses pour moi. Kalyian me rejoint dans la cuisine :
"- Peut-être vaudrait-il mieux me laisser préparer le petit déjeuner ? Tu n'as pas l'air très familier avec la cuisine, je me trompe ?" Elle me taquine.
Je me gratte la tête et baisse la tête. Elle m'a pris au piège. Je lui avoue que je ne cuisine pas. Elle rit. Quel adorable son ! En fait, elle est une autre personne, beaucoup plus aimante, plus joyeuse. C'est moi qui la rend ainsi ? J'embrasse son front avec affection, je lui laisse la place dans la cuisine. Pendant ce temps, je cherche un programme télévision.
