FLASHBACK
Je ne pouvais rester calme, sachant que le petit gamin était entrain de se faire torturer par tous les moyens en ce moment même. Par ma faute!
On venait de rentrer, il y'a une heure, et depuis j'étais assis sur le canapé dans la salle entrain de regretter ce que je venais de faire. Ça n'a pas duré longtemps, car une fois que je m'étais assuré que mon fils était en sécurité, j'ai donné un ordre à Reda de ramasser tous les hommes et de m'attendre dehors.
Une fois dehors, j'ai vu tous mes hommes armés devant moi. Il y avait plus de quarante hommes mais le plus jeune d'entre eux qui était Yanis pouvait affronté 10 hommes tout seul. J'avais construit cette armée moi-même, je les avais entraîné moi-même, et j'en suis certain que même si on débarque chez la mafia espagnole qui devraient surement être plus nombreux, on allait gagner.
On avait même une chance de sortir de la-bas sans dégâts de notre coté.
Moi: Vous savez peut-être déjà pourquoi vous êtes tous réunis ici, armés. -Je dis, dans une voix sûre- On débarque chez la mafia espagnole pour sauver le gosse.
Aucun d'entre eux ne bat un cil alors que tous m'écoutent en silence.
Moi: Celui qui a quelque chose à dire, qu'il se présente avant que ça soit en retard.
Certes, j'étais leur Chef mais ça ne me donnait pas le droit de les envoyer vers une mort probable sans prendre en considération leurs avis et envies. Même après avoir dis ces mots, je savais que je ne faisais que perdre du temps cat nul d'entre n'allait laisser tomber ses frères. C'est comme ça que nous sommes: une famille.
"Je fonce vers l'ennemi droit devant en étant sur que TU protège mon dos" Tel est notre dicton.
Mais contrairement à ce que je m'y attendait, quelqu'un lève la main et demande la permission de m'adresser la parole.
Je lève les yeux vers lui, surpris. C'est Yanis qui parle.
Je lui fait un petit hochement de tête, façon de dire qu'il pouvait parler.
Yanis: Chef, je crois qu'on doit déjà être en route. On a un petit frère à sauver -il dit dans une voix certaine et calme-
C'est ce que je pensais.
On roule pendant quelques temps, un peu plus qu'une heure, puis on arrive à l'auto-route, presque jamais utilisé si ce n'est pour les mafieux espagnols et leurs potes.
De loin, on peu voir l'énorme Villa de Cell. Toutes les fenêtres sont en barreaudage. Je donne l'ordre d'avancer et précautionneusement, on avance.
On commence à nous avancer de plus en plus mais de plus je m'approche de la villa, de plus je sens que quelque chose cloche. Et mes prémonitions ne mentent jamais.
Je me retourne et j'hoche la tête vers Maxim, l'un des plus rapides de mes hommes. Il s'exécute instantanément en courant vers la porte d'entrée pour voir si y'a des gardes dehors.
Je le vois disparaître derrière les nombreux arbres à l'entrée puis après un moment il retourne pour se cacher derrière l'un de ces arbres. Il lève la main et me fait signe de sa main.
"six hommes. Tous Armés".
Je lève ma main et envoie trois autres derrière lui pour les exterminer à mon ordre. Puis je regarde Reda et l'envoie avec Yanis et cinq autres vers la porte de derrière. Je donne l'ordre au reste de nous suivre une fois les deux portes sécurisées et en chargeant mes deux Glock 17, je fonce vers l'entrée principale.
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Chronique - Kidnappée À La Place De Mon Frère -
Teen Fiction**** Chronique Fictive à 60% j'ai décidé de me mêler des affaires de Rémie Mdrrr **** Salem, mon nom c'est Rémie, jsuis algérienne, j'ai 18 ans pige et jviens de m'inscrire dans une fac d'médecine après avoir eu mn bac vec une bonne moyenne. Mon hi...