Chronique - Kidnappée À La Place De Mon Frère -

✨ CHAPITRE 31✨ -Torture-

PDV RÉMIE:

   Yasmine: Allé! Dis-moi tout depuis le début!! Qu'est-ce qui t'est arrivé chez Cell! -elle dit une fois qu'on nous assois sur mon lit- 

 Je prends un grand souffle et j'ferme les yeux. Ce que j'dois dire maintenant m'a fait trop de mal. Sentimental que ça soit ou physique. 

 Flashback

Je croise mes mains juste quand la voiture démarre pour que les gens assis dans la voiture avec moi, ne puissent pas me voir trembler. 

 J'ai peur. J'ai tellement peur. 

Même plus que le jour ou j'étais kidnappée par Rahim et Raaouf. J'ai un mauvais pré-sentiment. 

 L'homme devant moi, l'espagnol qui doit bien être le Chef, n'arrête pas de me regarder cheloument. J'ferme les yeux et prend un grand souffle avant d'tourner mon regard vers la vitre. J'regarde l'auto-route isolée, vide de tout mouvement sauf le notre. 

 Personne ne peut m'aider maintenant. 

 J'sens le Rythme de ma respiration augmenter avec les battements de mon coeur. Puis comme si mon souffle s'était attaché à mes poumons, je n'ai pas pu réspirer pour quelques secondes quand j'ai senti une main sur mon genou. J'tourne mes yeux à peines et j'vois que c'est la main du Chef. 

 Chef: Et bien, tu dois être vraiment bon pour que le Chef de Mafia le plus connu en France s'intéresse à toi -j'comprends seulement ce qu'il voulait dire quand il finit par lécher sa lèvre inférieure à la fin de sa phrase- 

  Moi: -J'bouge mes genoux loin de lui et je crie- JUDE N'EST PAS COMME CA !  

 Chef: Es-tu sur mon beau? Je croyais que personne ne savait son vrai nom. Même pas son bras droit ou les putes qu'il baise. 

 Face à mon expression de dégoût, il continue.

 Chef: Mais je crois, que pas tous les gens sont comme moi. Mais ne t'inquiète pas on s'amusera bien...ensemble. 

 Son accent espagnol lourd me donne des nausées. Après ça, le trajet se fait en silence. 

 Une fois arrivés à une grande villa, l'homme assis près de moi me prend le bras et me fait entrer.

  Il me fait monté jusqu'au premier étage. En passant par les plusieurs portes des chambres de chaque cotés des couloirs, j'entends des sons. Des sons de gens entrain de...baiser. J'crois qu'il y en a même qui se faisaient violées. Mon corps tressailli complètement. L'homme ouvre une des plusieurs portes pour montrer une chambre plutôt normale de l'autre coté. Il me pousse dedans puis ferme la porte à clés et s'en va. 

 J'reste debout près de la porte entrain de regarder la chambre. Une table de chevet, une table ronde près d'un petit canapé  et un lit. Je m'approche du lit pour voir ce qu'il y avait attaché aux bords et j'vois des menottes. 

 Des...menottes. La panique m'enveloppe. J'cours vers la fenêtre et essaye de l'ouvrir mais elle est fermée avec des clous. J'regarde les mures et remarque qu'il y a une horloge. Il est 18h. 

 Mon regard tourne subitement vers la porte quand celle-ci s'ouvre. 

 Le Chef espagnol entre dedans, cette fois-ci sans veste de costume mais seulement sa chemise. Il ferme la porte derrière lui et m'regarde avec un sourire effrayant. Je m'adosse contre le mur pour rester le plus loin que possible de lui. Il commence à déboutonner les manches de sa chemise autour de ses poignets en prenant plusieurs pas vers moi.