Relive *Yoonmin*

𝐃𝐢𝐬𝐜𝐨𝐯𝐞𝐫𝐲

Un gamin nu était là, étendu au sol, ne montrant aucun signe de vie. Je me précipite vers lui pour voir comment il va. Rendu à côté de lui, je m'accroupis et mon doigt sous son nez pour voir s'il respire encore. À mon plus grand soulagement, un vent chaud parvient à ma main, me montrant qu'il est toujours dans notre monde. Bon il était en vie c'est au moins sa, mais il est dans un piteux état. Son corp était recouvert d'hématomes, un liquide blanc transparent, surement du sperme, mélanger avec du sang coulait le long de c'est cuisse. Mais ce qui m'inquiète le plus, était sa cheville. Elle était d'une teinte bleu, penchant vers un dangereux mauve. J'ai bien peur qu'elle soit cassée. Je pris mon cell et j'appelle Nam.

Nam: Oui Yoongi?

Moi: Euh, on a comme un problème, je viens de trouver un gamin évanouit dans une des pièces de la maison. Il est gravement blessé et j'aurais besoin d'une ambulance de toute urgence!

Nam: D'accord je t'en envoi une! Arrêter aussi Park Jeong-a, nous allons la mettre en garde à vue.

Moi: D'accord!

Je range mon cell et rapporte mon attention vers le gamin. Je prend la seul couverte qui avait sur le lit, qui puait vraiment d'ailleurs, puis je la dépose sur son faible corps. Par la suite, je décide de descendre avec lui, dans mes bras, pour rejoindre Jin et la femme, jugeant que la pièce était trop froide pour laisser un jeune dans cette état.

Rendu dans le salon, où ils se trouvaient, je dépose le blessé sur un des divans, puis décide d'interroger la propriétaire de cette maison.

Moi: Madame, j'ai trouvé ce jeune dans une des pièces de la maison, vous pouvez m'expliquer pourquoi il est dans cette état?

F (Femme): Mêlez-vous de vos affaires.

Moi: Justement, c'est de nos affaires maintenant.

F: Je ne vous direz rien!

Je lance un regard à Hoseok, qui compris tout de suite ce que je voulais dire.

Moi: Vous voulez pas nous parlez maintenant, pas de problème, mais peut importe quand se jeune homme se réveillera, nous allons l'interroger lui aussi. Mais à attendant, nous allons vous mettre en garde à vue.

Hoseok s'approche d'elle pour lui mettre les menottes, quand tout à coup, elle se rut vers le gamin. Je la rattrape juste avant qu'elle ne l'atteigne et lui planque les bras derrières le dos.

F: TOUT ÇA C'EST DE TA FAUTE SALE MIOCHE!

Hoseok arrive et lui passe les menottes.

Hoseok: Vous êtes en état d'arrestation. Vous avez le droit de garder le silence. Tout ce que vous direz pourra être retenu contre vous. Veuillez me suivre maintenant.

F: TA GUEULE JE TE SUIVRAIS PAS!

Hoseok: Ne nous forcez pas à employer la manière forte, sa ne ferait qu'aggraver votre cas.

J'ai dû aider Hoseok, car la femme se débattait toujours. Après l'avoir mit dans la voiture, l'ambulance arriva.

Moi: Tu peux y aller Hoseok, je vais embarquer avec les ambulanciers. Je vais t'appeler quand j'aurais besoin de quelqu'un pour venir me chercher.

Hoseok: D'accord!

Après qu'il soit parti, je me dirige vers les deux ambulanciers qui avait fini de décharger leur matériel.

Moi: Le gamin est pars là, suivez-moi.

Ils me suivent et nous nous dirigions vers le salon.

Arriver à celui-ci, ils se précipitèrent sur lui, le déplacent à terre pour mieux l'examiner.

Am(ambulancier)1: Il faut l'emmener au plus vite à l'hôpital va chercher la civière!

Il partit de la pièce en courant. Je quitte le cadre de porte où je m'étais appuyé et me dirigea vers l'homme qui examinait toujours le gamin.

Moi: Qu'est-ce qu'il a?

Am1: Je ne peux pas le dire pour le moment, mais chose sur, c'est qu'il est en hypoglycémie et déshydratation. C'est pour ça que nous devons aller le plus vite possible à l'hôpital. Pour le reste, je ne peux rien affirmer sans les tests.

Moi: D'accord...

Après cette petite discussion, l'autre ambulancier arriva avec la civière. Ils mirent délicatement le gamin sur celle-ci et partir vers l'ambulance. Arriver au pied du véhicule, ils mirent le jeune à l'intérieur. L'ambulancier qui était parti chercher la civière alla en avant pour conduire, tant dit que moi et l'autre ambulancier restons avec le blessé.

Quelques minutes plus tard, le véhicule arrêta. Nous étions sûrement arrivés... La porte s'ouvrit brusquement, me faisant un saut, pour laisser place à 4 infirmier, venant prendre la civière. La civière rendu à terre, ils partirent en courant, me laissant seul avec l'homme qui était avec moi en arrière.

Am1: Suivez-moi...

Moi: D'accord...

Je lui suis. Nous descendons de l'ambulance et partons vers l'entrée. Rendu à l'intérieur, nous rentrons dans un pièce, où il avait plein de chaise, disposer le long du mur. Quelques personnes étaient assis sur celle-ci. Certaine lisait, d'autre était sur leur cellulaire où dormait. J'en conclu donc, que s'était la salle d'attente.

Am1: Vous pouvez attendre ici, quand nous aurons des nouvelles, le médecin chargé de lui viendra vous voir.

Moi: D'accord merci.

Il quitta la pièce. J'analyse la pièce du regard, cherchant un endroit où il n'avait pas trop de gens. Car oui, bizarre comme que c'est, j'aime pas trop le contact humain. Pas que ça me dérange, mais j'aime pas trop voilà tout. Je vis une chaise solitaire dans un coin de la pièce. Cette chaise était destiné pour moi, elle n'attendait que moi! Je me dirige vers celle-ci, d'un pas rapide pour être sur que personne ne me la vole. Arrivé à celle-ci, je m'assis lâchant un énorme soupire. Il n'était que onze heures du matin, car oui pour moi onze heures, c'est encore le matin, et j'avais déjà vécu tout sa. Pas que je n'étais pas habitué, mais je n'étais pas prêt mentalement. Je veux dire, au départ, c'était supposé être seulement une inspection de maison, et me voilà dans une hôpital, assis dans une salle d'attente, entrain d'attendre pour un gamin que je ne connais... Mais bon, ce gamin m'intriguait quand même... Comment s'était-il ramasser là? Pourquoi était-il dans cette état? Pourquoi il n'était pas marqué dans le dossier de cette femme? Car oui, je me doutais bien que c'était le fils de cette dame... Mais bon, je vais devoir attendre son réveil pour avoir des réponses...

Bon bin... Tant qu'à perdre du temps, je vais en profiter pour faire un petit somme. Je m'installe dans une position plus confortable sur la chaise, puis ferme les yeux. Le sommeil ne tarde pas à venir vers moi, dormeux comme je suis. 

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