La Potter délaissée...

Chapitre 11

PDV Satis
Cette pièce n'était pas juste magnifique, elle était resplendissante. Une légère lumière verte transperçait la pièce. Elle avait l'aire de venir des grandes fenêtres de l'autre côté de la salle commune. Bizarrement, elles étaient elles aussi vertes. Comment la lumière peut elle traverser cette couleur foncée qui es le vert? Et ça m'avait l'aire opaque... Drago, ayant vue mes cheveux devenir blancs, avait tout de suite fais le lien avec l'étrange lumière que dégageais l'endroit, il me répondit a la seconde.

- La lumière viens des fenêtres, elles ont l'aire opaques, mais c'est l'eau du lac en réalité. C'est pour cela qu'elle bouge un peut. Me dis le grand blond. Je répondis.
- Nous sommes en dessous du lac! Il ne le disait pas dans « l'histoire de Poudlard », tout comme le fait que nous sommes dans les cachots de l'école. Disais je surprise et choquée. Je ne m'attendait pas a ce que le livre ne dise pas toute la vérité a propos du sujet dont il parle. Je continua d'évaluer la place. Elle était magnifiquement chaleureuse, mais vraiment. Sachant que le vert est ma couleur préférée, je mis sentirais probablement comme chez moi très rapidement. Je mis un certain temps a reprendre mes esprits, grâce à Drago qui venait de bailler.

- Fatigué? Demandais je.
- Un peu, je te montre les dortoirs? Les autres vont bientôt arriver. Dit Drago. Je répondis par l'affirmatif. Nous montâmes des escaliers en colimaçons qui m'avait l'air peut sécuritaire. Drago ouvra une des portes et dit.
- Ici, c'est le dortoir que je partage avec Blaise et un gars nommé Théodore Nott, il fait partit de mon groupe d'amis. Nous te le présenterons plus tard. Ce que je voulais te dire, c'est que si il y a un problème, tu sauras ou me trouver, soi ici, au terrain de quidditch ou dans la bibliothèque, d'accord?
- Oui, c'est d'accord. Répondit je.
- Maintenant les dortoirs des filles! Dit il enjoué. Je le regarda avec un regard suspect. Pourquoi était il si joyeux. Alors que nous montâmes les escaliers menant aux dortoirs des filles, il m'expliqua deux choses.
- Je sais que tu doit te demander comment je fais pour ne pas glisser à cause des escaliers qui n'acceptent pas les garçons du côté des filles (dans le livre) sachant que tu a lue l'histoire de Poudlard. Ici, à Serpentard, nous pouvons puisque le grand Salazar Serpentard trouvait que cela était du sexisme et que c'était comme si personne ne faisaient confiance au autre, personnellement je suis du même avis. Pas toi? Me demanda t'il.
- Oui, oui... Dis moi, Drago. Pourquoi être si enjouée du fait d'aller dans les dortoirs des filles? Demandais je, ne pensant qu'à cela depuis tantôt.
- Pour parler avec Pansy, bien sûr! Quoi d'autre?
- Rien, rien c'était pour savoir. Répondit je honteuse. Nous passâmes devant toute les portes une après unes, jusqu'à tomber sur une porte avec écrie sur petite plaquer argenté:
~Pansy Parkinson
~Astoria Greengrass
~ Satis P. Amderson
Drago eu un léger sourire en voyant la plaque, il cogna deux coup et la porte s'ouvrît sur une jeune fille blonde, du même âge que nous. Elle nous regarda et s'exclama.
- Bonjour Drago et toi tu dois être Satis c'est ça? Me demanda t'elle. Je n'eu pas le temps de répondre que j'entendis un crie venant de l'autre côté de la pièce.
- SATIS! ELLE EST ENFIN LA! Une seconde plus tard Pansy apparue dans mon champ de vision et elle se jeta dans mes bras. J'entendis Drago rigoler en arrière de moi. Une seconde plus tard il était trempée d'eau de la tête au pied.
- SATIS! Me cria le blond.
Je me retourna pour voir mon chef-d'œuvre... je m'attendais à le voir, presque en larme ou avec un regard assassin, mais non... il était vraiment beau... vraiment vraiment beau. Quand il vit que je le détaillais, maintenant depuis plus de dix secondes, il eu un sourire en coin. J'entendis Pansy laisser un rire s'échapper de la barrière de ses lèvres. Deux seconde plus tard, celle ci était aussi tremper de la tête au pied. N'en pouvant plus nous éclatâmes tous de rire en même temps. La situation était devenue extrêmement ridicule. Astoria, elle, ne comprenait pas. Pour lui faire un peut plus comprendre, je retira l'eau de Drago et de Pansy, fit monter mes bagages et me fit venir une bout de pain de la grande salle, qui atterrissa directement dans ma main. Je le porta à ma bouche comme si rien n'était. Elle eu cependant l'air surpris et s'écria.
- Tu est une Sin Varita! Woooouuuuaaa! C'est la première fois que j'en voie une!
- Oui, oui! J'en suis une, mais je ne suis pas un animal en cage non plus. Dis je un peu agacée de son comportement. Drago ayant vue que j'étais lééégèèèrement agacée, m'attrapa le bras et passa devant elle, Pansy a notre suite. Cette dernière me montra mon lit et je pus mettre ma valise en dessous, bien sûr avec ma magie sans baguette ou aussi appelée Sin Varita qui veut dire pas de baguette en latin. Quand j'eu fini de me placer, je me retourna.
- Est-ce que tu trouve ça de ton goût? Poudlard? Les professeurs? Me demanda Pansy.
- Oui je trouve la salle commune magnifique et les dortoirs extrêmement chaleureux. Pour Poudlard ça m'a l'aire d'être bien et les professeurs... cette Dolores Ombrage m'a l'aire détestable, pas vous? Répondit je.
- Oui et j'ai cru comprendre que le ministère surveille de proche Poudlard cette année. Répondit Drago. Il commençais à se faire tard alors Drago fini par partir et je pus discuter avec Pansy. Il fallait que je lui dise. Mais comment faire pour ne pas que Astoria nous entendre? Mais oui je peux faire toute sorte de magie sans ma baguette.
« Astoria ne peut plus entendre la conversation que j'ai avec Pansy pendant 30 minutes » Je fis signe à Pansy de venir sur mon lit et c'est ce qu'elle fit. Lorsqu'elle s'assit je dis à voix haute.
- Astoria? Dis je presque en criant. Elle ne se retourna pas et ne m'entendit pas. Parfait. Pansy me regardais avec un regard interrogateur. Je lui répondis.
- J'ai lancée un sort pour pas qu'elle entende notre conversation. Je ferma les rideaux de mon lit pour ne pas que Astoria nous voix parler dans le vide. Je repris.
- Je dois te dire tout sur moi, tu es d'accord?
- Oui, bien sûr. Répondit elle heureuse.
- Bien, comme tu le sait je suis la sœur de Harry Potter, donc mon nom c'est Satis Potter. Je ne voudrais pas que tu le dise à personne et surtout pas à Astoria.  J'ai aussi un chat, Moka, à qui je peux parler... c'est un autre de mes pouvoirs. Dès que j'eu dit ça, je vis Moka arriver. Ils se plaça rapidement sur Pansy en me disant.
- Bonsoir Satis et à toi aussi Pansy, j'écoutais votre conversation et j'en suis désoler, pars contre toi je t'aime bien et beaucoup même, je peux?
Je répondis.
- Momo, Pans ne peut pas t'entendre... il n'y a que moi... je me tourna vers Pansy et lui dis. En gros il te disais bonsoir, qu'il était désoler d'avoir entendue la conversation, qu'il t'aimais bien et finalement il te demandais si il pouvait se placer sur toi.
Pansy me regarda émerveillé. Elle regarda le chat et lui dit.
- Contente de te rencontrer Moka, je t'aime bien toi aussi et oui tu peux. Des qu'elle eu dit cela le chat se colla davantage à elle. Je continue se que j'avais à dire.
- Alors se que je disais, c'est que... tu doit faire comme si tu ne savais rien d'accord en présence de d'autre personne. Je dois compter sur toi pour dissuader les personnes qui me croivent être l'élue Potter. D'accord?
- Oui, bien sûr n'importe quoi pour une meilleure amie. Me répondit celle ci. Contente, je lui sourit et lui fit un câlin, avant de réouvrir les rideaux, je lui dis.
- D'ailleurs, essaye de ne pas trop attirer l'attention de Astoria sur toi parce qu'elle vas pas t'entendre si tu essaye de parler. Il doit lui rester 10 minutes à ne pas nous entendre. Pansy pouffa et rejoignis son lit mais avant que je ne referme mes rideaux elle me dit.
- De toute façons, elle dort déjà. Un peu prévisible en même temps. Pansy pris alors la voix d'Astoria, mais en la rendant plus aigu que de normal. Je dois me coucher tôt pour ne pas avoir de trop grosse cerne, cela ridiculiserait mon beau visage. Je pouffa de rire tellement fort que j'eu peur que Astoria puisse entendre malgré le sortilège. Je finis par m'endormir avec le sentiment, que pour une fois j'aimerais se qui allait se passer durant le reste de l'année.