CHAPITRE 12: DES LARMES COULÈRENT

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Rosalie était toujours sous le choc, elle ne comprenais pas pourquoi cette femme avait cette photo...
La vieille tante, était a présent impassible, elle récupera la photo et la rangea rapidement de nouveau dans la boîte. Elle dit alors qu elle ne voulait plus en parler.
Elle demanda a Rosalie de partir mais celle-ci sous le choc ne bougeait pas, les larmes continuer de couler sur ses joues sans qu'elle puisse s'en empêcher.
Olivia assistait à la scène mais elle ne savait pas quoi faire, elle regardait, les yeux vides d'émotions les visages des personnes qui l'entouraient.

Rosalie ouvra légèrement la bouche et murmura entre deux sanglots a la tante:
-" Pourquoi... pourquoi... Avez-vous...vous...cette...cette photo...?
-"je te demande une seconde fois de partir de cette endroit et de plus tu ne reviendras plus jamais dans cette endroit."
-"par...pardon ? Mais....pour... pourquoi ?"
-"tu n'as pas a savoir pourquoi vas t'en !"

La tante venait de crier cette dernière phrase, elle se leva et entraîna Rosalie vers la porte extérieure de la maisonnette.
Olivia essaya de l'en empêcher et de comprendre la raison mais elle fut elle même bloqué pas un homme se trouvant non loin d'elle. Elle hurlait a l'unisson avec Rosalie, toutes deux était impuissante face à ces adultes.
On fit respirer a Olivia un morceau de tissu qui l'endormi presque instantanément, pour éviter qu'elle se blesse. Ils ne voulaient que son bien.
Rosalie était a présent trainé par deux femmes qui l'insultaient et la menaçaient.

Quand Rosalie se retourna, la maisonnette n'était plus là, elle avait disparu...

                                     ***
Olivia se réveilla dans un lit, la pièce était faiblement éclairée, Oli' entendait des voix derrière la porte, elle se redressa, sa tête lui faisait légèrement mal, elle attendit un instant que ça aille mieux puis elle se leva et se dirigea vers la porte.
Sa main s'apprentai à touché la poignée mais elle arrêta son geste pour écouter les voix des personnes qui se trouvaient de l'autre côté du mur, une femme pleurnicher.

"Ce...c'est de notre .... notre faute "
Les autres gens qui l'entouraient lui expliquer que non, qu'il n'était pas responsable que eux ils n'avaient rien fait.
Oli' entendit une voix de plus en plus forte, elle se rapprocher.. Olivia se dépêcha de se recoucher dans le lit et fit comme si elle n'avaient rien entendu au moment au l'homme ouvrit la porte : " bonsoir Olivia "

Un Amour de SangOù les histoires vivent. Découvrez maintenant