Awa: Isaïah elle va bien ta copine ?-: Non c'est fini
Awa: orh pourquoi
-: c'est long a expliqué mais bon c'est la vie
Awa: j'espère tu trouveras mieux
-: bas y'a toi aussi
Awa: ... travail sinon t'auras pas de pause
-: * en boudant * toujours quand j'essaye d'être gentil tu me dis d'aller travailler moi je parle plus
Awa: ok maintenant travail
On toque à ma porte c'est Awa qui est partie ouvrir et je vois que c'est Pérola aka première dame de Lucifer
Awa: t'as de la visite
-: Ouais je sais
Awa: bas parle non d'ailleurs toi t'es qui ?
Pérola: Pérola
Awa: aaannnnh c'est toi ?? Isaïah si c'est vraiment une Lucifer tu trouveras mieux t'inquiètes
Elle me fait un clin d'œil et part dans son bureau. Il ne reste plus qu'elle et moi
Pérola: on peut parler s'il te plaît ?
-: Non
Pérola: sérieusement Isaïah on peut parler il faut qu'on discute
-: je t'écoute
Pérola: bas voilà excuse moi de ne pas avoir été avec toi, de ne pas avoir pris de tes nouvelles quand tu étais à l'hôpital mais comprends moi aussi j'étais vraiment m-
-: ça ne t'a pas empêché d'être avec Doumam's
Pérola: mais c'est parce que j'avais besoin d'un appui je te jure que je ne voulais pas
-: et ton gars là Djibraltar il va bien ?
Pérola:... s'il te plaît on peut au moins être amis ?
-: Non
Pérola: mais po-
-: t'as fait quoi à Junissah ?
Pérola:... ri-
-: t'as envoyé qui ?
Pérola:....
-: * en s'approchant d'elle et là prenant par le cou * écoutes-moi bien je vais parler qu'une seule fois ... je ne veux plus jamais avoir à faire à toi il n'y a plus et il n'y aura plus jamais de nous deux tu me supprimes de tes pensées tu m'oublies comme moi je suis en train de t'oublier et sur ma vie je ne pensais pas que j'y arriverai * en commençant à l'étrangler * et si jamais tu oses encore toucher à Junissah je te séquestre et je te viole sans retenu t'as compris je suis ton bouffon pour que tu t'en prennes à elle ? Tu la touches tu me touches salope des eaux
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Je ne suis pas ton fils et tu n'es pas ma mère
Fiksi UmumMa mère ?? Je la déteste. Les femmes ?? Je les déteste Jusqu'au jour où ...