Chapitre 23

821 57 5
                                    

Bon je voilà le chapitre 23 mes chères petit cornichons chérie. Le problème de l'autre chapitre à été réglé il est préférable d'aller le lire pour comprendre celui ci.
***********************************

Je le savais...
Pourquoi je me suis accroché à cette homme bordel?
Les larmes sillonne mes joues tandis que je conduis à une vitesse folle vers chez moi.

Trop naïve...

J'ai osé espéré qu'il m'aide à affronter mes peurs et oublié petit à petit les malheurs de la vie. Puré pourquoi je me met dans un état pareil il ne m'a jamais rien promis, aucun de ses gestes n'indiquait qu'il tenait à moi plus qu'à la normale. Je me suis juste entiché de lui, parce qu'il m'accorder l'attention que je recherchais depuis ma plus tendre enfance. La maladie de ma mère m'a empêché d'avoir toutes l'attention qu'il fallait à un enfant, bien sûr je ne la blâme pas pour cela mais cela à laisser des séquelles en moi. Et pour une fois un homme m'accorde de l'attention et m'appelle "mon lapin" et je m'emballe...

Un soupir tremblant sort de mes lèvres. Ma trajectoire à changer sans que je m'en rende réellement compte je conduis sans m'arrêter vers une destination inconnu. Je ne me préoccupe pas de la limitation de vitesse ni ce que je pourrais rencontrer la sur ma route, ni des terroristes encore moins des tigres mutants.

Fait gaffe gare toi, tes larmes te bloque la vue tu risques un accident.

Je n'écoute pas la voie de la raison et continue à rouler sans but à travers les rues. Au bout d'un moment où la voiture zigzag comme un bateau en pleine tempête, j'arrive enfin à calmer mes sanglots. Ils son plus long et moins fréquent. Mes larme coule toujours mais je peux aisément reprendre le plein contrôle de la voiture. Et c'est à se moment que je me rend compte que je me suis éloigné de la ville et que je me trouve en ce moment même sur une autoroute déserte, bordé par une immense forêt à droite comme à gauche.

Heureusement tu n'as rencontré aucune voiture ni foncé dans un arbre.

À bout de force, incapable de continue à conduire je freine d'un coup, m'arrêtant en plein milieu de la route. Mon souffle est saccadée et la crise de panique n'est pas loin, mon regard se glisse vers le sac à pharmacie. Je m'empresse de sortir les anti stress, tellement obnubilé par mon mal être je n'ai pas écouter les recommandations du médecin ni celui de Victor, résultats je ne sais pas à quel moment de la journée je suis sensé en prendre, et la tout de suite je suis incapable de lire ne serai-ce qu'un chiffre...

Mais peut importe on en a besoin maintenant...

Je prends deux cachets d'un coup. Pas besoin d' eau je suis capable de l'avaler sans. Je souffle un grand coup en fermant les yeux, attendant que le médicament travail. Au bout d'un moment les anti stress font effet et ma respiration se calme peu à peu, mes sanglots s'arrête pour de bon et mes larmes s'assèche. Malheureusement mes poignés commence à me démanger, j'en ai besoin... J'ai besoin de cette douleur addictifs qui me soulage.

Tu parle comme un masochiste.

Non je ne le suis pas où peut-être que si qui sais mais une chose est sûre j'ai toujours détesté les tortures qu'ils m'ont infligé. La douleur qu'ils m'ont administré n'est en rien comparable à ce que je ressens quand je me mutile. Chaque coup infligé à mon corp meurtrie était un poison pour mon âme, tendis que chaque trais rougie par le sang était une sorte de délivrance, éphémère, mais qui me soulage...

Une fois calme je reprends la route à une vitesse normale cette fois. Je ne tiens pas à rentrer tout de suite. Je roule depuis un moment déjà. Je fini par l'arrêté sur une petite coline. La vu est magnifique, en bas de la coline se trouve un lac border par de grands arbres magnifique. Je ne sais pas quel heure il et je m'en fiche royalement j'ai besoin de resté seul loin du bruit de la ville et de mon appartement. Je me sens assez pathétique comme ça pas la peine d'en rajouter.

Incompatible mais pas impossibleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant