Je ne peux pas vivre sans toi

Chapitre 8

Voilà le chapitre 7 !

Et au cas où : mates = âme sœur

Enjoy !~

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Je suis en train de faire les cents pas dans ma chambre. C'est sûr, il faut que je parle avec Todoroki mais quand ? Et comment ? Je ne sais plus du tout comment l'approcher. Et puis je ne peux pas me sortir cette image de lui embrassant Kacchan. Qu'est ce que ça veut dire à la fin ? Il est amoureux de lui ? Si c'est le cas, pourquoi il a fait tout ces choses avec moi ? Enfin c'est pas comme s'il m'aimait et il ne sait rien passé de très romantique... peut être que je n'étais qu'un substituant de Kacchan ou qu'il se servait de moi pour attirer son attention... bordel je n'en sais rien !

- Izuku ! m'appelle ma mère, tu as un invité !

- J'arrive !

Je regarde ma montre, il est 21h. Qui peut bien venir à cet heure ci pour me voir ? C'est peut être Kacchan... non à l'heure qu'il est, il doit encore être en colère contre moi.

Je soupire et me dirige vers le salon, je verrais bien qui c'est.

Surprise, stupéfaction, étonnement, horreur. Todoroki. Il est la, tranquillement en train de parler avec ma mère. Qu'est ce qu'il fait là ? Je lui avais pourtant bien dis de ne plus m'approcher ! C'est moi qui devait le faire ! Alors qu'est ce qu'il fait ici ?

- Merci pour ton accueil ça fait toujours plaisir. Dit il en tournant la tête vers moi.

- Pardon ?

- Izuku, je t'ai déjà dis d'arrêter de ruminer, tout le monde t'entends. s'exaspéra ma mère.

Je rougis, il faut vraiment que je perde cette mauvaise habitude.

- Bref que fais tu ici ? Je demande

- Il paraît que tu as une feuille a me donner. Je suis venu la chercher.

- Euh..

Une feuille ? Mais la feuille était à rendre pour avant hier, il l'a déjà eu... ne me dîtes pas que c'est une excuse pour venir me voir !

- Tu as bien fait de venir, fit ma mère, je voulais te remercier d'avoir aidé Izuku à calmer ses chaleurs avec un somnifère. Ah la la la si j'avais su qu'il n'avait plus de supresseur... Ah je sais ! Je vais vous préparer quelque chose à manger.

Elle tourna les talon dans la cuisine sans que je puisse dire quoi que ce soit. C'est quoi cette histoire encore ?

- Eh qu'est ce que t'es aller raconter à ma mère toi ?

- Quoi ? Tu aurais préféré que je lui dise que tu avais été agressé ? Tu sais quelle s'inquiète beaucoup pour rien, mais là, ça aurait été pire que tout.

- Oui moi je le sais, la question c'est comment TOI tu le sais.

- ..... il faut qu'on parle.

- Je pense aussi.

Je le dirige vers ma chambre (dieu merci rangé) et je m'installe sur mon bureau tandis qu'il regarde brièvement ma chambre avant de s'asseoir sur mon lit. Je suis un peu anxieux, il ne dit rien et son regard reste fixé sur mon plafond.

- Écoutes, je sais que tu m'as dis de ne plus t'approcher mais il fallait vraiment que je te parle.

- ....

Tu m'en diras tant.. qu'est qu'il a de si important à me dire tout d'un coup ?

- Je crois que tu te méprends sur beaucoup de chose.