Chapitre sept -Abylgnes

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Merlin était magnifique.

Arthur admit à quel point cette idée était absurde, mais c'était néanmoins vrai. Merlin était peut-être en nage et se tordait de plaisir, son visage était presque douloureux, mais avec le nom d'Arthur sur ses lèvres, il était le plus bel homme qu'Arthur ait jamais vu.

Arthur s'avança avec confiance, ses yeux fixés sur ce visage elfique, et attrapa le sexe de Merlin.

Les yeux de Merlin s'ouvrirent alors qu'il haletait. Il vit Arthur et sourit. "Arthur," souffla-t-il, sa voix brisée.

Arthur se réveilla face à une bite qui coulait contre son ventre et à un serviteur inconscient au pied de son lit.

"Lever et briller!" Merlin dit, de cette façon qu'il avait. En réponse, Arthur a fait ce qu'il a toujours fait. Il gémit et se retourna, cachant commodément son bois du matin. Du moins, c'est ce que Merlin supposerait, s'il le découvrait. Qui serait sur le cadavre d'Arthur.

"Vous avez la formation des nouveaux chevaliers," dit Merlin en ouvrant les rideaux et en traînant dans la pièce. Arthur se creusa la tête pour trouver un moyen de le faire partir sans le forcer à se rapprocher. La voix joyeuse de Merlin ne l'aidait pas non plus. "Après le déjeuner, vous avez une réunion du conseil. Il y a des délégués de la reine Annis qui arrivent pour le dîner. Vous devez donc vous rencontrer et saluer le soir. Ensuite, c'est le dîner, un bain et vous pourrez à nouveau dormir."

Le programme de la journée était suffisant pour résoudre le problème. Maintenant à nouveau présentable, il se retourna pour voir Merlin tut à la chemise de nuit qu'Arthur avait laissé tomber sur le sol la nuit précédente. Il jeta un regard exaspéré à Arthur, mais ne dit rien.

"Dristan arrive aujourd'hui", dit-il à la place. Arthur émit un vague bruit d'interrogation, mais Merlin était habitué à ses méthodes de communication spéciales avant le petit déjeuner. Il répondit en plaçant l'assiette de petit-déjeuner d'Arthur à côté de lui. "Le druide que j'ai accepté d'être tuteur? Bien que Lord sache comment je suis censé le guider de quelque manière que ce soit. Il sera cependant ici. Aujourd'hui."

Arthur avait avalé la moitié de sa miche de pain maintenant, alors il trouva finalement sa voix. "J'ai hâte de le rencontrer. Gaius est d'accord avec cet arrangement?"

"Il a vraiment besoin de quelqu'un pour l'aider", confirma Merlin. "Il s'entend un peu. Alors, oui, Dristan va prendre mes anciennes chambres et juste ... aider, je suppose. Je ne peux vraiment plus le faire. Je dois rencontrer les maçons, comprendre comment nous ' re va construire cette bibliothèque magique. Et je dois aussi parler à Dristan. "

"Je comprends, Merlin," dit Arthur en mâchant du fromage. "Vous êtes un homme occupé."

"Tu ne penses pas que j'étais occupé avant?" rit Merlin. "Les premières années que j'ai passées ici, vous m'avez couru sans rien."

Arthur sourit à la mémoire. "Ouais. C'est ce que j'ai fait ... Je n'aimais pas vraiment être sellé avec toi."

"Prat", dit Merlin en lui jetant un de ses gants. "Maintenant, lève-toi, tu dois t'habiller."

Il a trouvé Dristan dans les chambres de Gaius.

Merlin savait qu'il avait seize ans, car il l'avait demandé. Cependant, ses vêtements pendaient à sa silhouette élancée, le rendant beaucoup plus jeune. Quand il se tourna pour lui faire face, Merlin vit que ses cheveux sablonneux avaient besoin d'une coupure: ils lui tombaient dans les yeux. Son sourire atteignit ses yeux verts, et Merlin se sentit réagir avec un sourire.

Le destin Albion de ScribblingawayOù les histoires vivent. Découvrez maintenant