Chapitre 8

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Le lendemain matin le réveil est compliqué. Nous avons tellement bien dormis dans les bras l’un de l’autre que je ne veux pas que ça s’arrête. En entendant le réveille sonner, je mets ma tête dans l’oreiller en grognant.

- Aller ma belle, il est temps de se réveiller. Me dit-il en se mettant sur moi, en décalant mes cheveux et en m’embrassant dans le cou doucement.

- Humm gmfp …

- Je ne comprend strictement rien de ce que tu dis mais si tu ne veux pas arriver en retard il faut se lever.

- Humm j’étais bien moi.

- Je sais moi aussi mais tu vas me tuer si on arrive en retard alors on se lève madame la fainéant. Dit-il en me donnant une claque sur les fesses.

- Tu prends une mauvaise habitude, arrête tout de suite.

- Quoi ? Ca ? Dit -il en recommençant sans s’arrêter.

Je ris et me retourne pour qu’il n’est plus accès à mes pauvres fesses meurtries. Il arrête et arrive sur moi.

- Salut toi. Me dit-il en m’embrassant doucement

- Salut.

- Tu as bien dormis ?

- Comme un bébé.

- Oui j’ai vue ça, tu n’as pas arrêté de ronfler.

- Oh ! Ce n’est pas vrai je ne ronfle pas ! Dis-je en lui donnant une tape sur le bras.

- C’est ce que tu crois.

- Pousse toi dis-je en rigolant, tu vas nous faire arriver en retard avec tes conneries.

- Mes conneries ?

- Oui tes conneries.

- C’est toi qui ne voulais pas sortir du lit je te signale.

- Oui et bien maintenant je le veux donc laisse-moi aller me laver.

- Très bien comme vous voudrez majesté. Dit-il en m’embrassant encore une fois.

- Merci.

20 minutes plus tard j’ai pris mon petit-déjeuner, je me suis brossé les dents et j’ai remis mes vêtements de la veille.

- Je suis prête !

- Allez allons-y avant d’arriver en retard. Mais tu sais tu ne pourrais qu’arriver chez toi vers 9h les amphis ne sont qu’à quelques mètres et tu ne commences qu’à 9H30…

- Je sais mais j’aime bien avoir un peu de temps pour moi avant le début des cours.

- Très bien comme tu veux. Mais ça te fais moins de temps passé avec moi c’est quand même dommage.

- Mon pauvre tu es perdu sans moi. Dis-je en rigolant.

- Ba oui ! Moi je veux passer plus de temps avec toi.

- Tu vois quand tu veux, tu peux être romantique.

- Humm je vais t’en donner moi du romantisme. Dit-il en me prenant sur son épaule, encore une fois, comme une sac a patate. Viens femme ! Allons étudier.

Je rigole en lui donnant des tapes sur ses fesses musclées. Il fait la même chose mais sur moi

- Hey ! Je t’ai déjà dit de laisser mon cul tranquille.

- Mais je l’aime, moi ton cul. Et puis je te ferais dire que tu viens de me faire la même chose.

- Oui mais ce n’est pas pareil !

Sentiment inattendus Où les histoires vivent. Découvrez maintenant