Je ne vois plus que toi

Que le jeu commence !!

Avant de commencer ce nouveau chapitre je voulais vous remercier de lire, de voter et de commenter mon histoire. Je suis contente que l'histoire vous plaise, plus de 100 vues et plus de 30 ⭐️ c'est super ! Il y aura pas mal d'actions prochainement, je ne vous en dis pas plus mais je vais pimenter cette histoire ! Voici un nouveau chapitre pour vous remercier.
Merci encore et bonne lecture !

J'ai passer un bon week-end mais toute bonne chose à une fin. L'avantage c'est que j'ai une motivation désormais ! Ma belle brune ! ( Qui n'est pas la mienne mais quand même !) Elle veut jouer et je sens que ce petit jeu va me plaire ! Seulement de la séduction et pas d'attache! Puis je crois que ce jeu de séduction et puis de devoir être les plus discrètes possible est encore plus excitant. Je ne l'ai pas vu du week-end et là nous allons avoir cours théorique pendant deux jours mais j'espère au moins la croiser... C'est pas pour dire mais Madame Ellan est beaucoup moins intéressante et moins séduisante elle est plus veille et beaucoup moins canon !
Je sens que la matinée va être longue ...

Une fois assise sur ma chaise c'est effectivement très long, j'ai comme l'impression que cette foutue horloge n'a plus de piles...

Une fois cette interminable matinée passée on se rend au self Raven, Octavia et moi comme d'habitude. Lincoln nous rejoint une fois à table avec Anya qu'on apprend à connaître un peu plus. On parle pendant de longues minutes tout en mangeant des haricots verts...
Le dessert n'est pas beaucoup mieux, seulement une pomme, c'est pas ici qu'on risque de grossir ! Une fois sortie il nous reste une demie-heure avant d'enchaîner quatre heures de cours supplémentaire. J'en profite pour aller au toilette. Une fois sortie je passe au gymnase pour récupérer les affaires de sport que j'avais oublié dans mon sac pour pouvoir les laver vu que je n'ai pas pu le faire ce week-end...
Je rentre par la grande porte et me dirige vers les vestiaires. Le gymnase est vide, personne à l'horizon.
J'ouvre la porte des vestiaires mais je ne reconnais pas les couleurs de nos vestiaires qui sont blanc et violet ici c'est bleu et blanc, je tourne la tête par curiosité et reste bloqué sur une femme et pas n'importe laquelle, comme par hasard il s'agit de ma belle brune, ma belle brune en train de soulever son débardeur de sport... Elle est en sueur, mon dieu ses abdos...
Je n'ai pas l'air de lui avoir fait peur, elle me regarde d'abord surprise puis sourit ensuite en me disant :

Mlle woods : Tiens Griffin ! Ce ne sont pas vos vestiaires !

Elle rabaisse son débardeur et je l'en remercie intérieurement. Comment j'aurais pu réfléchir correctement avec cette image d'elle devant moi...

Clarke : Euh oui je viens de m'en rendre compte.

Elle sourit malicieusement cette fois puis me répond :

Mlle woods : Hum, tu as appréciée la vue ?

Comment lui dire le contraire. Une femme aussi bien foutue qu'elle, on ne peut pas dire que ça ne plait pas...
J'essaie de la faire marcher pour qu'elle ne soit pas si sûre d'elle.
Puis on est censé jouer non ?

Clarke : Oui la couleur bleu c'est pas trop mal par rapport au violet qui est un peu fade dans nos vestiaires.

Elle rigole puis me dit :

Mlle Woods : C'est vrai il faudrait faire repeindre les vôtres...

Son sourire malicieux et sexy au passage ne disparaît pas et je comprend mieux pourquoi quand elle enlève carrément son débardeur pour se retrouver en brassière de sport.
C'est pas vrai elle veut ma mort !

Mlle Woods : Il fait chaud non ?

Elle me provoque et le pire c'est que j'adore quand elle fait ça.
Elle s'approche un peu de moi mais ça me suffit pour la pousser contre le mur derrière elle. On se regarde mutuellement, très proche désormais. Je l'embrasse alors sauvagement, j'en ai besoin c'est comme un besoin viscérale. Elle répond tout de suite à mes lèvres puis me retourne pour que je me retrouve à mon tour contre le mur. Elle est plutôt dominante alors ?
Tant mieux j'aime bien.
Le baiser devient de plus en plus chaud, ma langue retrouve le goût de la sienne. Les feux d'artifices dans mon ventre ressurgissent mais cette fois je subis une pression au creux de mes reins. Cette sensation je la connais, j'ai envie d'elle.
Je lui embrasse alors le cou, je ne veux pas que ça s'arrête, pas cette fois je caresse ses abdos parfaitement dessinés.