Sherlock

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Partie écrite du point de vue de Sherlock

Je suis convenablement accueilli par cette jeune femme. Elle m'emmène dans une pièce luxueuse, très éclairée que se soit avec l'immense lustre accroché au-dessus ou avec la lumière du jour qui passe par les géantes baies vitrées. Je m'installe dans le sofa qui est juste en face de l'entrée. Puis arrive cette charmante jeune femme, la femme que je devais donc rencontré aujourd'hui qui me veut du mal pourtant elle m'en donne pas l'impression. Elle est souriante et assez avenante.


<< - Bonjour Sherlock, je pense que votre médecin a dû vous raconter tous les détails de notre rencontre. Sinon vous ne seriez pas là, installé devant moi n'est-ce pas ?

- Assurément ! Il m'a dit...

- Oui je veux quelque chose ce n'est pas matériel mais plutôt quelque chose à qui vous tenez, une personne peut-être ? Je pense pas que vous pouvez me le confier mais essayer tout de même car j'ai en effet des petites choses qui pourraient vous faire tomber, comme vous la dit John Watson.

- Je suppose que ce que vous détenez n'est pas quelque chose de vrai comme la dit mon colocataire c'est un montage. Mon frère a toutes les possibilités pour enlever le montage comme par magie !

- En parlant de votre frère Mycroft c'est ça ? C'est cette chose-la qu'il me faut, plutôt cette personne en particulier. C'est quelqu'un qui a du pouvoir.

- Oui plus que vous. Donc je pense que votre requête tombe à l'eau. Je peux comprendre que vous mourrez d'envie de le connaître mais il serait inutile de le déranger pour des futilités. Pourquoi avez-vous kidnappé mon ami pour quelque chose dont vous savez très bien la réponse ? Je n'ai à vous dire !

- J'étais si persuadé de ce que vous allez répondre, c'était si prévisible, pourquoi l'êtes vous autant Sherlock Holmes ? Je pense que rien qu'en appelant votre frère et en citant mon nom il serait quoi faire. Je ne voulais pas que vous me l'apportez tel un cadeau que l'on offre mais juste un appel suffit pour qu'il vienne de lui-même. Je n'ai malheureusement pas son numéro. Vous allez pas gâcher votre réputation juste pour avoir refusé d'appeler votre pauvre frère ? Non ? Se serais assez stupide de votre part vous ne trouvez pas ?

- Vous avez fait du mal à John juste pour que j'appelle mon idiot de frère ? Vous m'avez également menacé alors qu'il suffisait de me le demander. Qu'est-ce que une femme voudrait à Mycroft ?

- Oui si je vous l'avais demandé vous ne me l'auriez pas donné c'est l'évidence même. Peut-être est-ce un jeu de pouvoir que je souhaite ? Je pense que cette suggestions est déjà apparu dans vos déductions mais quoi qu'il en soit vous ne le serrez malheureusement jamais. >>

<< - Allo Mycroft, une certaine Irène Adler veut prendre contact avec toi !

- Bien ! >>

La sonnerie du téléphone portable de Mme Adler retentit. Je pense qu'il est temps pour moi de partir. Je suis un peut déçu de tout ça. M'avoir menacé pour rien, me déçois. J'avais espoir qu'une nouvelle affaire était au rendez-vous mais j'ai eu tort. Je repart déçu de ce qu'il vient de m'arriver et prend un taxi pour rejoindre 221b Backer Street.

Qu'elle belle femme.

<< - Bonsoir Sherlock, j'étais inquiet toute l'après-midi. Un message qui dit que tu vas bien m'aurait largement suffit !

- Bonsoir.

- Alors que voulait-elle ?

- Rien d'intéressant John.

- Bien je te fais un thé ?

- Volontiers, mon thé de la nuit dernière avait un léger goût de produit vaisselle. Comment les fais-tu ?

- Tu sais ce n'est pas compliqué, si tu en fais souvent tu t'y habitue vite mais comme tu en fais que rarement et dès que je me sauve tu préfère ne rien boire du tout que d'en faire un, c'est donc normal que les seules fois ou tu en prépares ils sont un goût immonde ! Dit John en riant au éclat >>

Le rire de John m'avait manqué. Il n'a pas rit depuis un bout de temps maintenant peut-être parce que je suis quelque peu énervant en ce moment.

<< - Toujours là pour m'embêter mais quand il s'agit de réfléchir à des devinettes extrêmement simple, là, le médecin de Backer Street ne rigole plus. J'aimerais bien voir ta tête quand tu réfléchis, tu réfléchis si rarement que je ne l'ai jamais bien vu.

- Pas la peine d'être bléssant dans tes propos juste pour un thé. En parlant de thé les voilà qui sont prêt !

- Merci, à ta santé John !

- À la tienne ! >>

C'est comme ça que ce termine cette soirée. Comme toutes les autres sauf quand bien sûr, j'ai des enquêtes à résoudre, ce qui n'est pas le cas depuis un moment. Je commence à m'inquiété, Lestrade serait-il devenu intelligent d'un seul coup ?

L'ennuie est de retourOù les histoires vivent. Découvrez maintenant